
Sect. II. — FLORIDÆ.
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Clemátides S. pa le iitib u s vilicellisque u n a similes, lignosa;, scan d en tes a c volubiles.
F o lia te rn a lim secta. F lo re s mag n i, axillares, solitarii v, te rnati, p ed u n cu lis longis medio
b racteatis, sepalis 6, p a ten tib u s, o v atis; stam in a sepalis m u lto breviora, lineo-lanceolala;
ca rpe lla sericeo-pilosa, slylls stam in ib u s dimidio min o rib u s, ad apicem sligmatoideum recur-
vatis. Acliamia; cau d a brevi p u b escen te n ec p lum o sa ac su p e rn e semper in c u rv a ta co ro n a ta .
Sectio unic a specie jap ó n ic a adirne n o ta ta ; C. p aten tiliu s iiuidem Ibliis te rn a tim seclis
Iru c tib u sq u e sericeis iiec plumosis d is tin g u itu r; C. viticellis au tem segmenlis aculis, sepalis
ovatis p a ten tib u sq u e n o n m in u s dissimilis.
L cspece i|ui lo u iie ii clic sca le c e lle s ed io li m ’a pura offrir des dincrciiccs spécifiques d’une importance
trop considérable pour que l’on puisse la faire rentrer dans l’un des groupes auxquels elle confine.
S i, a cause de scs fleurs éta lé e s, on est lout d ’abord tenté de la ratlaclier à la section des P a lm le s , les
caractères de l’audrocce, du gynécée et du fruit l ’eu éloign en t absolument. Quant à ce lle des Viticdke .
dont quelques caractères secondaires de végétation, tels que les feuilles florales bracléiformes. présentent
eu effet une grande analogie chez les u ne s et les autres, il ne peu t y avoir davantage d ’hésitation. Nous ne
retrouvons pas en effet chez le C. flo rid a les fleurs campaniformes des V ü ie e lloe ; d’ailleurs le ca lice , les
étam ine s, les carpelles, offrent des différences profondes, que revéle la moindre observation.