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8 6 . ROUGE DE MA I . 67. FL A M E NTIN E , 6 8 . GUIGNE JAUNE ,
MAY DUKE‘
( d u c d e m a i )
(CEMSE)
[ N ” 6 5 ]
A Guide io the orchard. L isb ley , I8 3 i. Page 1 « .
r/i6/V-mi ilianwai. Robebt Hosg, 1866. P age 87.
The Fruits and the fruit-trees o f America. D owning, 1869. Page 483.
CERISE DB MAI
Les Meilleurs fruils. D e Mobtillet. Page 138.
M A I - H E R Z O G S K I R S G H E
(c e r i s e d u DUC DE MAl)
Illuslrirles Handbuch der Obsikunde. Obebbieck. Tome V I, page 369.
F R U H E H E R Z O G S K I R S G H E
(c e r i s e p r é c o c e d u d u c )
Syslemalisches Handbuch der Obstkunde. D ittbich. Tome I I , page 92.
Probahlement d’origine anglaise.
Arbre d’une bonne vigueur aussi bien su r Ste-Lucie que sur merisier.
Il s’accommode assez bien des formes soumises à la taille et su rto u t de
celles soutenues par un treillage à bonne exposition. Son fruit acquiert
ainsi plus de volume et risque moins d’être altéré par les intemperies aux-
auelles résiste mal sa peau délicate. Sa haute tige n ’a tte in t qu une dimen-
à o n moyenne, et sa durée de vie n ’est assez longue que dans les localités
entiè rem ent favorables à la végétation du Cerisier.
Variété anciennement répandue p a rtout et dont les m é rite s de qualité du
fruit sont bien connus. Elle était autrefois ia première parmi les Cerises,
proprement dites et de la même époque de m a tu rité . La précocité de son
fruit est m aintenant dépassée par celle de l ’Impératrice Eugenie qui no lui
cède guère en finesse et en saveur.
2 rapporter la
existe enlre
(M Je pense que c’est à cette v ariété qu’il serait le plus convenable de rs
Royale hâtive de Duhamel, et je fonde cette opinion sur la ressemblance qui ei
l'a rb re de la May Duke et celui de la Cherry fluke 6= pr,h*m,»T ^
l'a rb re de la May DURO e l cernì ae laU h crry liu k e de Dubamel, dont il Ao n a e w e des-
cription complète en constatant les rapports de cette J?
Les greffes que j ’ai obtenues de celle variété proviennent du
iiciilture de Londres et i’ai pu constater de grands rapports entre elle e t la Ler se houge
de m ïï q u e jev aS s ^ et dont elle se distingue p a r l a forme dcprimee de son
fruit par son volume ordinairement moindre et par sa queue plus allongée. Il s u a facile
aussi d e constater quelques différences d ans les organes des arbres de ces deux vanétcs.