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represented in the oirs|iriiiij, but how, to u-liat degree either will dominate, in what parts, coiotirs, or fashions a hylirid
will show its mixed lineatfc, the experienced refuse to conjecture, saving certain easy classes. After choosing parents
thoughtfully, with a clear perception of the aim in view, one must 'go it blind.' Very often the precise effect desired
appears in due time; very often something unlooked for turns up ; but nearly always the result is beautifnl, whether or
no it serve the operator's purpose. Besides effect, however, there is an utility in hybridisation which relates to culture.
Thus, for example, the lovely Cypripedium Fairricanum, from Bhootan, is so difficult to grow that few dealers keep it in
their stock; by crossing it with Cypripedium barbatum, fi'om Mount Ophir, a rough-and-ready cool species, we get
Cypripedium vexillariiim, which tiikes after the latter in constitution, while retaining much of the beauty of the former.
Or again, Cypri|3cdium Sanderianum, from the Malay Archipelago, needs such swampy heat as few even of its fellows
appreciate; it has been crossed with Cypripedium insigne, which will flouri.sh anywhere, and though the .seedlings have
not yet bloomed, there is no reasonable doubt that they will prove as useful and beautiful as in the other case. Cypripedium
insigne, of the fine varieties, has been employed in a multitude of .such instances. There is the striking
Cypripedium hirsutissimum, with sepals of a nameless green, shaded yellow, studded with spicula:, exquisitely frilled,
and tipped, by a contrast almost startling, with pale purple. It is very ' hot' in the first place, and, in the second, its
appearance would be still more effective if some white could be introduced; present it to Cypripedium niveum and
confidently expect that the progeny will bear cooler treatment, whilst their 'dorsal sepal' will be blanched."
r>f C. L. Ingram, Esq., lilslcn.l House, GoclalminR.
HIST0IR1Î irr CULTURI-.
LK Cyi^ripeclium Uth.n«a,u,n, f.t obtenu par M. W. 13. Lr.tl.am, directeur d. Jardii, Houni,,>.c de liinnlngham, m.
croisement opéré entre le Cypni^ediui« Spiccrùiinim et le C, villosum. Cependant le sujet que no.is dicrivo
:i proi'Ient de riiybrlclatloi
n parait particulièrement convenable au.^ hybridation. ; la plante est dune constitution robuste ; la lleur est dune trÎ
it plu.s brillant, plus
anio du cc <iurnier ;
des duLix parents. Les fleurs sont celles tlu C.
que celles de l.i
Le C, .Spiceria
bonne forme et d'un beau coloris.
Le C. Lathamianuin inversum est une pr&ieuse adciiilon faite k la grande famille de. Cypripèdes hybri.ies, il
agriable et surpasse de beaucoup le C. Lathamianum résultat du premier croisement (C. Spicerianum x C. villosum).
l'eu M. lo Professeur Reichenbach dans le 0,ro,ncU du 24 mars, 1888. <lonna la description
" C'est un de ces hybrides qui produisent des lleurs réunissant franchement les c;ir;ict'
villosum avec le sépale dorsal supérieur du C- Spicerianum. Les feuilles présentent
dernière espèce nommée Le pédoncule floral est de couleur ocre couvert de poils foncés courts et minces, La bractée ,
po,nts foncés a la base, a co oration de l'ovaire est diffét^nte, elle est d'un vert ocre pâle, il est garni de poils rougeStres ou blanchâtre.^
La lleur est identique k celle d.t C. villosum en ce qui concerne la forme générale et la dimension, cepentlant le sépale dorsal supérieur
.pi>artient au C, Spicerianum. il est blanc avec une ligne [wurpre au centre, vert h la base, marqué de .luelques liRncs ; il prend à U base la
forine cûmque s élargissant ensuite en ovale large pour se tcr.niner en pointe au sommet, de pk,s, les côtés sont repliés en arrière. I.^s
l>étaies du coté extérieur sont dun vert ocre avec une strie foncée au milieii, de plus des lignes ondulées forment conir.ste vers l'extrémité
Intérieurement la partie supérieure est d'un ocre léger h la base, puis passe au brun I^.ncé au sommet et enfin devient vert rj:lle à l'extrémilé'
Le sépale doreal inférieur a la forme allongée et est de couleur verdâtre, plus court que le sabot qui ressemble beaucoup à celui du c'
villosum ; la couleur est d'un vert ocre pâle. Le staminode est presque carré, garni de poils rouges à la base et bordé de blanc II se
rétrécit t:n pointe et porte en avant une aspérité verte."
M. 1-Ved Boyic, dans un des derniers numéros du Nalioual RevUa. dit : " La tendance qu'à l'hybridation i changer le coloris .se fait
.... .... - -.1. augmentée par le désir qu'on éprouve d'obtenir des résuluits sensibles des elTorus tentés. Jus'ciù'à
Iner la règle qui gouverne le résultat de ces combinaisons. Cénémlement les deux i>ar<mts sont représenté.,
vance^ comment et h quel degré l'un ou l'autre dominera ; quelles couleurs, quelles formes elans l'hybride
problème resté jusqu'à présent sans solution et les plus expérimentés sont encore dans l'impossibilité de se
— très faciles, Après un choix judicieux des parents ont doit laisser agir la nature et ne plus intervenir en
;spondant à l'idée qu'on s'était faite ; parfois il présente des qualités absolument inespérées ; dans
sentir de plus en plus,
présent personne n'a pu déteri
dans le rejéton, mais dire h !
trahiront le mélange, c'est là u
prononcer, sauf dans quelques
rien. Souvent on obtient un ;
tous les cas, le résultat est to
individu
Lijours satisfaisant, qu'il réponde exactement ou non aux espérances que l'on pouvait avoir forn.ées. .. , ..
toujours de l'utilité dans l'hybridation au point de vue de la culture. Les exemples ne manquent pas à l'appui de cette thèse ; ainsi le C.
Fairrieanum, originaire du Dhootan, si difficile à cultiver qu'on ne le rencontre que rarement en belle plante, a donné, par le croisement
avec le C. barbatum robuste et de culture facile originaire du Mont 0|)hir, un hybride, le C. vexiliarium participant de la rusticité Jti second
et do la beauté du premier. On peut citer encore le C. Sanderianun. de l'Archipel Malaysien, qui réclame une chaleur tellen.ent humide et
n.alsaine que fort peu d'autres Cypripèdes la supportent ; ce Cyprii)ècle a été hybrkié avec le C. insigne qui ileuri partout 1 les jcunw
plantes issues de ce croisement n'ont pas encore fieuri ; mais il est certain qu'elles produiront quelque chose d'utile et de joli à la fois. Le
C. insigne a souvent été employé pour l'hybridation et a toujours produit de bons résultats. Le C. hirsutissimum au.'c sépales d'un vert
particulier, nuancé de jaune ei pointillé à l'infini de petites taches brimes, offre
d'un violet pâle. Si l'on parvenait à faire passer du blanc dans
difficile à cultiver et demande beaucoup de chaleur, le C.
supportera vine température plus froide et, en mén.c temps, préser
.Votre dessin est fait d'après une plante en possession de Möns. C.
n beau contraste avec l'extrémité de ses sépale.s qui s
:c (leur l'attrait en augmenterait singulièrement ; mais ce Cypripède est
n pourra concevoir l'espoir d'un produit qui
2ra peut-être un sépale dorsal supérieur blanchâtre.
. Ingram, Elstc.nri l-touse, Godalraing, Angleterre.