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l l l . S T ü l RH ET CULTURIÌ.
CEITK CS]>CCC est uno dus plus belles orcliiil¿es tjiil nous soient venues des Iles du Pacifique, clic a flcjrl pour H première fois dans notre
ùtili il issemcnt en iSSg cl c'est nous-mêmes qui l'avons introduite un Angliilurre. Dans son pays d'origine ellu croit sur les arbres, non loin
do la cfite, l.es jjsc lulo-bul l>os mesurent de jo"'- h so""-et sont garnis de feuilles épaisses lancéoI¿es acumi nées, reunies presque toutes
vers le soinniet. I.'iiillorcscence i:si un racème pseiitlo-tenniiial portant de sept il vingt tlcurs qui sont presque aussi grandes que clans le
Demi l'obi 11111 phalxnopsis. Les sé|»les sont courts, lanceol¿s d'un rose pourpre ; les pítales sont presque arrondis ou largement ovales et
coloró-s d'nn pourpi-e rougL'itre, Le labellum est d'un pourpre marron ; le lobe du milieu est apiculé comme dans le I.). phaloenopsis mais
la colonuioii est moins prononcée <]uc dans ce dernier.
Ce joli Deniirobe a élé déiiié î< iVîoiis. Thomas Statter de Stami Hill, Manchester. La (loraison commence généralement vers le
mois de juillet et se prolonge jusqu'en septembre. Les ileurs se conservent dans toute leur Tmlchcur pendant plusieurs semaines, et comme
dans pkisieurs autres Dendrobes, le Statterianum produit des liges llórales pendant plusieurs années de suite sur ics anciens pseudo-bulbes.
Le meilleur traitement qu'on puisse donner à celte espèce c'est d'empoter les plantes en terrines peu profontles ou en paniers. On
emploiera une bonne quantité de tessons, tlu terreau végétal (peat) et du sphagnum. Le meilleur endroit pour ces plantes sera près du
viii-age afin qu'elles puissent rece;'oir autant de lumière que possible ; s'il devient nécessaire d'ombrer on ne le fera que très légèrement.
On donner.'i à ces plantes beaucoup de chaleur et d'humidité pendant la période de croissance afin qu'elles puissent atteindre leur complet
dévelop¡)ement. Il faut surtout avoir soin pendant la saison de repos, de tenir le sol assez humide pour empêcher !a dessiccation des
pseudo-buIbc» et pour maintenir aussi les feuilles aussi longtemps que possible.
•n lie Mon*.Noire planchf est d'aprSs uni: piaule de Thomas Statter, Stand
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H C S C H R E I B Ü N G UND KULTUR.
I.1|I:B ist eins der prächtigsten und besten Dendrobien von den Inseln des stillen Oceans, welches zuerst in unserm Etablissement im Jahre
1SS9 blühte und durch uns von seiner Hoimatli, nahe der Küste an Bäumen wachsend, eingeführt worden ist. Die Scheinknollen sind
ein bis ilrei l"uss lang und tragen dicke, lanzettfiSrmige, hmgzugespilzie, gegen tlie Spitze zu gedrängtsiehende Blatter. Der Bluthenstand
ist scheinbar gipfelstilndig, traubenartig, sieben bis iwanzig Blumen tragend, welclie fast so gross sind, als das ihr verwandle
D. phahenopsis. Die Sepalen sind kurz, lanzettfürmig, zugespitzt, rosig purpiir; die Fetalen fasl kreisförmig, oder sehr breit, rauten-
(ormig, rüthlich purpur-gefärbt. Lippe intensiv purpur-braun, mittleres Läppchen kurzzugespitit wie bei D. phalainopsis und von einer
helleren Farbenschatiirung.
Dieses schöne Dentlrobium wurde Herrn Thomas Statter von Stand 1-Iall, Nfanehester, gesvidmet. Die BUithezeit desselben ist von
Juli bis September, und die Blumen haken sich in derselben Schönheit nahe zwei Monatelang. Es bringt wie viele seiner Verwandten
uuuniurbrochen Blumensiengel an denselben Scheinknollen verschiedene Jahre hindurch hervor. Man sollte es in Schlissein oder Kürben
cultiviren. wobei man die beste, braune, faserige Haideerde (peat) und Moos (sphagnum) für seine Erhaltung verwendet. Es niuss an
einem hellen Ort nahe dem Glas placirc werden und wenig oder keinen Schatten erhiilten. Ein warmes, oder der heisseste Theil des Ostindischen
Hauses ist air seine vollkommene Entwickelung nothwentlig. Wahrend der Ruhezeit desselben darf nur das nöihige Wasser
gegeben werden, um das Einschrumpfen der Scheinknollen und Verlieren ihrer Biälter zu verhindern.
rc Abbildung isi er Pflanze I der Samml Iti Hall, WlütefR'ld, Mancliester, gemalt «-orden.
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