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CiiTTi; chiiniiamc^ .;s|kV«, firigiiiain: lUi ri)yniimc clc Siam. a lluiiri pour la pixi.nicrc Tols cn 1S85 clans la collection de Biirfor<l Lodge a
été ildcrilc Jans Ic Gar.tcnos Chnukle du 30 mai, p. 692, par It Prof. Rcichcnbacli. Ellu se distingue des autres Saccolabium [wr ses
tiges florales érigées, la pinpart des cspèccs du genre portant de longs racècnes pendants, dont les Ikurs très nombreuses et serrées les unes
it de coloris, depuis le blanc pur jusqu'au pourpre, au violet et à l'orangé critinoisi. Aucune autre espèce que le S.
JUS sachions, ne présente une teinte d'un bleu azuré sur ses fieurs, et c'est cncoro Ih un des caractères qui la
de ses congénères. Dans uu grand nombre d'individus on observe toujours des variations assez considérables de
si que, parfois, les llcurs sont presque entièrement blanches, tandis que dans beaucoup d'autres c'est le bleu qui doniim
colles te, ai
distinguent 1
it d'ailleurs le degré de la variation, le S. cccleJite ei
le genre Saccolabium est des plus reconimandables, (
collection d'une douzaine d'espèces, telles que les S.
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m véritable bijou qi
IC dédommagerait mieux un ama
;um, Bellinum, Blumei, coeleste, c
défendre d'admirer. Au surplus, t(
ir de
soins et de ses dépenses qu'une
giganteum, guttatuin, Harrison-
D'après les notes de notre collecteur le S. coeleste croit en épiphyte sur les arbres dans les localités les plus humides et souvent
même submergées dans la siiison des pluies. Par cette grande humidité atmosphérique, jointe à la chaleur du climat, les plantes se
développent avec une merveilleuse rapidité, mais i la période pluvieuse succède presque sans transition une sécheresse excessive et
brûlante, pendant laquelle les incendies de forfits sont fréquents. En quelques heures sont par là détruites d'incroyables quantités de fleurs
charmantes <|ui, un instant auparavant, brillaient de tout leur éclat.
re chaude. En hiver la te
Après ce que nous venons de dire, on comprend sans peine que le S. coeleste appartient k la serre chaude. En hiver la température
n pourra l'élever de quelques degrés de plus
se tiendra entre 65- et 70' F. (18' et 21' C.), cn été. entre 70' et 75' F. (si" et 34-° C-), mais .
au moment de la grande végétation. Le rempotage se fera avec des tessons bien propres et du sphag
légères, el suspendues aussi près que possible du vitrage,
N01.-C planche est i.ciiuc d'.ipris une plante de la colIcction du ii.iron J. II. W. Schrfkler, Thi: Dell, Staincs,
BESCHREIBUNG UND KULTUR.
Diesr hübsche und sehr charakteristische Art ist aus Siam eingemhrt. Sie gehört zu der auch als Gattung (und zwar mit vollem Recht)
aufirc^siellteti Abteilung Rhynchostylis. Roebelin, der fur uns reiste und der sie entdeckte, fand sie auf Bäumen, die noch einzeln auf
Keisfeldern standen und welche das Feuer «berstanden hatten, durch welches die Eihgebornen die Felder zur Reiscultur gewonnen
hatten. So weit bis jetzt bekannt, blühte die Pflanze zum ersten Malein Europa bei Sir Trevor Lawrence, M.l'., Burford Lodge, Dorking,
England, welcher die Blüten an Prof, Reichenbach sandte; sie wurde sodann im Juli 1888 der Royal Horticultural Society vorgestellt
und mit einent Zeugniss I. Klasse geehrt. Abweichend von allen Gattungsverwandten hat S- cccieste aufrechte Blutenstände und
blaulich weisse oder weisse Clllten mit blauen Spitzen an den Sepalen und Fetalen, die Lippe ist meist azurblau. Die Variabilität ist
auch bei dieser Art ziemlich gross. Leider ist die Pflanze in ihrer Heimat, wie schon oben erwähnt wurde, der Beschädigung durch
Waldbrande ausgesetzt, die um so gefährlicher werden, als auf die Regenzeit, während welcher die Pflanzen wachsen, eine Zeit absoluter
Trockniss und grosser Hitze folgt. Wir haben ermittelt, dass S, cceleste am besten bei einer Temperatur von 65—70° F. (I4-5''—
C. 17° R.) im Winter und 70—75° F. (17'—19° R.) im Sommer oder selbst noch hei etwas höheren Graden gut gedeiht und ilppig wächst.
Die PHanzen werden am besten in Scherben mit gehacktem Sphagnum (also sehr luftig) eingetopft und ihrem natürlichen Standort
entsprechend sehr sonnig d. h. dicht unter dem Glasdach aufgehängt
Es ist im Allgemeinen zu bedauern, dass die Gattung Saccolabium so wenig Liebhaber findet und doch giebt es in derselben eine
ganze Reihe süperber Pllanzen, die jeder Sammlung zur höchsten Zierde gereichen und deren Cultur in jedem Warmhaus möglich ist. Es
gehören hierhin etwa folgende Arten : S. ampullaceum, bellinum, Blumei, curvifolium, giganteum, gututum, Harrisonianum, Hendersonianum,
miniatum (eine kleinere Art), prxmorsum und retusum—alles statdiche Pflanzen mit vielbUltigen, oft enormen, herabhängenden
Bl Utentrauben,
t nach einer l'l zc aus der Sammlung von Garon j. H. W. Schröder, T ! Dell, Si ICS, gemalt.
Uli