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 NARCISSUS  CALATHINUS.   v a r .b . 
 F a  m. des N a  r c i s s e s .  *71755. — H e x a n d r i e  monog ynie.   L i j v . 
 Narcissus  calathinus.  N.  spathâ  multiflorâ,  nectario  campanulato  subæquante  
 p e ta la ,  loi iis  planis. 
 A .  floribus  horizontalibus  luteis,  iaciniis  perigonii  patentibus. 
 Narcissus  calathinus.  Liliac.  17 7 .  ubi  vide  de  synonym. 
 B .  floribus  pendulis  albis,  Iaciniis  perigonii  reflexis. 
 Narcissus  reflexus.  N.  foliis  angusto-linearibus  virentibus  dohso  subconveiis  
 b inerviisque, scapo  cylindrico lævi  1-2  floro, nectario  campanulato margine  
 sexcrenulato,  petalis  reflexis  alterné  latioribus  subæquali,  floribus  cernuis. 
 .  Lois. Mèm.  sur les Narc.  indig.  p. 44. Mém.  dès Savons étrang.  2.  p. 633.  
 Narcissus  reflexus.  N.  scapo  tereti  paucifloro,  foliis  carinatis, corollæ  Iaciniis  
 lanceolatis,reflexiusculis,  coronâ  campanulatâ, sexcrenulatâ  vix longioribus.  
 B  rot en J l.  Lusit. 
 N A R C I S S E   A   G R A N D E   C O U P E ,   va*,  b . 
 D E S C R I P T I O N . 
 Nous  pensons  que  la  plante  dont  nous  offrons  ici  la  figure  est  une  simple  
 variété  de  celle  que  nous  avons  fait  précédemment  connaître  sous  le  même  
 nom  :  cependant,  comme  elle  en  diffère  à  plusieurs  éga rds ,  nous  allons  en  
 donner  une  description  séparée. 
 Une  bulbe  ovalç^,  blanch e ,  donne  naissance  à  des  feuilles  radicales  peu  
 nombreuses, droites,  longues de deux ou  trois décimètres, larges de cinq  millimètres, 
  d ’un  vert foncé, planes  en  dedans, convexes sur le dos', que ses nervures  
 longitudinales  très-saillantes  font  paraître  strié.  La  hampe  est  haute de quinze  
 centimètres, lisse, glabre, à peu près cylindrique, ou légèrement comprimée. Les  
 fleurs  sont au nombre  de d eux,  pendantes,  portées  sur  des  pédicelles  inégaux,  
 courbés  subitement  au  sommet,  et  enfermés  dans  une  spalbe  membraneuse  
 aussi  longue  qu’eux. 
 L ’ovaire est gros, ovale-triangulaire,  aussi  long que  le  tube du  périgone, qui  
 est  triangulaire, d’un vert pâle.  Les divisions  du  limbe  sont blanches  avec  une  
 très-légère teinte  jaunâtre,ovales-lancéolées,  aiguës, striées longitudinalement,  
 recourbées  à  leur  base  en  dehors,  et  dirigées  en  haut  un  peu  comme  les  divisions  
 des  fleurs  de  cyclamen.  Le  nectaire  est  gran d,  en  forme  de  cloche#  
 aussi  long  que  les  divisions  du  périgone  et  de  la  même  couleur  qu’elles.  Son  
 bord, qui  ne  se  renverse  point  eu  dehors,  et qui  n ’est  nullement  froncé ,  présente  
 six  échancrures  ou  crénelures  un  peu  profondes.  Les  étamines  sont  au 
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