LVI Des nouveaux commentaires et citations supplémentaires.
i i
I1 i.
les éditeurs; ce n'est pas non plus en harmonie
avec l'exactitude scientifique. En outre l'Index
Kewensis est assez incertain et plein de lacunes.
(Voyez Journal of botany 1896: 298
bis 307; Deutsche bot. Wochenschrift 1899:
4—7; Allgem. Botan. Zeitschrift 1902: 98—100
1903: 101—105; Botan. Centraiblatt XC: 685.)
3) La Clique française Malinvaud —
Le Jolis — Levier, qui essaya d'escamoter la
priorité du Code Parisien (voyez Rev. gen. Hin-
13—14, 25-30, 43—58); mais la priorité est
la base de ce Code. L'un de ces escamoteurs
de nomenclature Mr, Malinvaud, secrétairegénéral
de la société botanique de France fut
la cause (voyez Le Monde des Plantes 1903: 21)
que cette société ne se partagea pas à la commission
internationale pour la nomenclature
„et qu'elle n'a aucune part dans une agitation
factice qui menace d'aboutir à la faillite des
Lois de la nomenclature". Eh bien, il serait
impossible d'exposer ces lois et la société
botanique de France avec plus de honte que
comme Mr. Malinvaud l'a fait. En effet cette
société comme marraine des lois de 1867 est
obligée moralement de soigner l'existence future
de ses lois qu'elles fit naître, mais c'est impossible
avec Mr. Malinvaud; car ce serait
donner la brebis à garder au loup. La société
botanique de France est plutôt obligée de
prendre part directement à une reforme des
lois de la nomenclature botanique. Que ces
lois n'eussant pas besoin d'être reformées,
cela ne pourrait être prétendu que par des
hommes qui ne connaissent pas ces lois par
la pratique.
4) Lacl iquedequelquesamericains
(voyez note 24) qui maintiennent les règles
inexécutables de Rochester malgré la preuve
qu'encore 20000—30000 noms seraient à changer
avec ces règles (voyez Rev. gen. IIH p. CCLXIV
et III": 134—153 de l'introduction). Si ces
botanistes américains des Etats-unis ne s'attachent
pas à l'ordre international, on pourrait
parler d'un „botanical Tammany-ring".
öib) Un autre des escamoteur de nomenclature
mentionné sub 513, le Dr. E. Levier,
qui^ même fut élu — on ne sait pas avec quel
petit nombre de voix et par quel électeur —
dans la commission internationale, a décoché
contre moi un pamphlet de 12 pages étroitement
imprimées, après que ses articles devenus furieux
furent réfusés par le Bulletin de l'herbier
Boissier et le Botan. Centralblatt.
Je renonce naturellement d'y entrer, je ne
veux que pendre plus bas ce pamphlet, parce
qu'il l'a envoyé aux membres de la commission
internationale et à mes amis, de sorte que je
l'ai lu. Ce monsieur, dont la capacité en
nomenclature, se montre par |e fait qu'il
n'ajouta pas un paragraphe aux lois malgré
ses bavardages interminables, ce monsieur prétend
que je l'avait nommé „Schafskopf" (tête
is also not in harmony with scientific exactitude.
Moreover the Kew Index is pretty unreliable
and incomplete. (See Journal of botany 1896:
298—307; Deutsche bot. Wochenschrift 1899:
4—7, Allgemeine Botan. Zeitschrift* 1902: 98
bis 100, 1903: 101-105 ; Botan. CentralblattXC"
685.)
3) The French, c l i q u e Malinvaud — Le
Jolis ~ Levier, who tried to charm away the
priority out of the Paris Code (see Rev. gen. Ill"-
13—14, 25—30, 43—58); but the priority is
the base of that Code. One of these nomenclature
charmersMr.Malinvaud, general secretary
of the botanic society of France has caused
(see Le Monde des Plantes 1903: 21) that this
society did not participate of the international
commission for nomenclature "and that it has
no part with an artifical agitation which menaces
to end with the bankrupt of the laws of nomenclature".
Well, it would scarcely possible to
expose more to shame these laws and the
botanic society of France as Mr. Malinvaud
has done it. Indeed that society as godmother
of these laws of 1867 is obliged morally to
take care of the further existance of these laws,
which she has caused ; but that will be impossible
with Mr. Malinvaud, for that would be
to set the fox to keep one's geese. The botanic
society of France is rather obliged to participate
directly of a reformation of the laws of botanical
nomenclature. That these laws not be
needy of reformation, can only be pretented
by men who do not know these laws by practice.
4) The clique of some Americans
(see note 24) who maintain their inexécutable
Rochester resolutions although it is proved that
by these rules still 20000—30000 names are
to be changed (see Rev. gen. Ill i p. CCLXIV
and IIIH: 134—153 of the introduction). If
these American botanists would not attach themselves
to international order, we can speak of
a botanical Tammany-ring.
b) Another perverter of nomenclature mentioned
sub 513 Dr^ E. Levier, who even was elected
— it is not known with how few votes and
by whom — into the international commission,
has discharged against me a pamphlet of 12
narrow printed pages, after that his last furious
articles were refused from the Bulletin de
l'herbier Boissier et from the Botan. Centralblatt.
I renounce, of course, to enter in details;
I want only to hang deeper that pamphlet, as
he had it sent to the members of the international
commission and to my friends, such
I could look in it. That doctor, whose capacity
in nomenclature is to be seen by the fact that
he, notwithstanding his interminable tittletattle,
could not join an only paragraph to the laws,
that doctor pretends that I had called him a
New commentaries and supplementary quotations. LVII
!
de mouton). La chose est plutôt qu'il s'appela
soi-même „Schafskopf" dans une lettre à publier
conditionellement, dénomination qu'il f a l s i f i a
plutard en „Schaefer" (berger) dans le Botan.
Centralblatt (voyez Rev. gen. III n : 55). Les
conditions pour la publication furent honnêtement
réalisées par lui. Je reconnais donc son
honnêteté, s'il en montre. Mais j'avais caractérisé
1. c. 58 comme „Verdreh-Genie" (Génie
de tordre ou de fausse interprétation), ce qu'il
ne répéta pas prudement.
Dans les combats, que moi comme défenseur
principal du Code Parisien ai livré depuis
dix ans contre la corruption bien étendue dans
la botanique je ne rencontrai pas rarement de
tels malfaiteurs; leur désignation juste et forte
était un devoir. Que de telles désignations
se trouvent ainsi plusieurs fois n'est pas étonnant
et n'est pas-du-tout une disculpation pour
un malfaiteur.
52) Mes additions au Codex emendatus sont
corrigées en bon Français plusieurs fois, dernièrement
par M. le Dr. Morot dans le Journal de
botanique. Le texte français du Codex brevis
fut corrigé par un botaniste de Genève, qui
améliora trop les restes du texte des Lois
de 1867 et cel du Dr. Morot. Il est ainsi difficile
de trouver un texte qui plaira à tous et
j'ai préféré quelque fois le texte original
d'auparavant. En cas de doute du sens décidera
la comparaison avec le texte des deux
autres langues. Pour la revision du texte du
Codex brevis j'ai à remercier M. le Dr. Rendle
du British Museum et le conservateur de l'herbier
DC. M. Buser.
Cela s'entend de soi-même d'après le
droit commun (spécialement droit des domaines).
Si par exemple quelqu'un met en ordre un
terrain peu cultivé, il reçoit Jus quaesitum pour
ses travaux qui quelquefois duraient très longtemps
et pour ses dépenses, c'est-à-dire droit
que ses améliorations nécessaires et améliorations
utiles soient reconnues. Ce ne sont
que les détériorations et leurs frais que peuvent
être rejetées.
Ça s'entend aussi de soi-même que toutes
les règles déjà publiées qui sont adaptées au
Code de 1867 ne peuvent être rejétées sinon
la détérioration est prouvée. Mais comme le
bureau parisien était si horriblement naïf de
négliger toutes les améliorations déjà publiées
par feu A. de Candolle, etc., qui ne peut plus
soumettre ses propositions au Congrès en 1905,
j'ai protesté 1. c. contre cette naïveté et ajouté
§ 21 d le. L'envoi de publications antérieures
en beaucoup d'exemplaires, avec des améliorations,
est aussi quelques fois impossible
parceque leur édition est quelques fois déjà
épuisée ou les améliorations se trouvent dans
des grandes oeuvres trop chères pour être distribuées
gratuitement.
Un Congrès n'a pas même le droit de rem-
"Schafskopf" (sheep's head). But the matter
is, that he in a letter conditionally to be
published had called himself a „Schafskopf",
which denomination he falsified afterwards into
''Schäfer" (shepherd) in the Botan. Centralblatt
(see Rev. gen. Ill 11: 55). The conditions for
the publication were honestly realized by him.
I recognize therefor his honesty if arriving.
But I had characterized him 1. c. 58 as a Verdreh
Genie (Genius in perverting), about which
he prudently was silent.
In the combats that myself as the principal
defender of the Paris Code had to fight since
ten years against the widely spread corruption
in botany, I met not rarely with such malefactors
; their just and strong designation was
only duty. That such designations occur several
times is no wonder and nevermind a disculpation
for a single malefactor.
52) My French additions to the Codex emendatus
were corrected several times, as last by
Dr. Morot in de Journal de Botanique. The
French text of the Codex brevis was corrected
by a botanist of Geneva, who improved too much
the occurring text of the Code of 1867 and the
meliorations of Dr. Morot. It seems therefor
difficult to please all with good style and I
preferred several times the original old text. If
there will be any doubt about the sense, the
comparation with the text of the two other
languages will decide. For revision of the
Codex text I have to thank Dr. Rendle from the
British Museum and to the keeper of DC.'s
Herbarium M. Buser.
53) That is a matter of course according to
common law (especially that of domains).
If for instance anyone brought into order an
uncultivated ground he receives Jus quaesitum
for his work of sometimes many years and for
his expenses; that is to say: right that his
necessary meliorations and utile melorations
are recognized. Only deteriorations and their
expenses can be rejected.
It is also a matter of course that all rules
formerly published in accordance with the
Code of 1867 can not be rejected if not the
deterioration has been proved. But as the
Paris bureau was so horribly naif to neglect
all formerly published meliorations of the late
A. de Candolle, etc., who can no more submit
his propositions to the Congress of 1905,
I have protested 1. c. against that naivety and
I have added § 21d I®. To send in former
publications with meliorations in many copies
is also sometimes impossible, if they are out
of print or if the meliorations are included in
great works too expensive for being distributed
gratis.
A Congress has even not the right to replace