Mfe & fè;,termine en cône .a it ‘(ïïg. é.)< Le fommet a da cône
efh formé par un'petit nombre d’épines. De là vient que le cône,
eft pius flexible à ,1a pointe-qne Vers la bafe. Cette bafet t eft
auffi-.epmpofée de (plufieitfs épines tfès :déliégs,, mais coniques ;
comme pHc (Eig. à m f La P ointe •ƒ> de ces épffies coniques eft
tournée vëfs la partie interne de la Tethie , & la bafe n regarde
la furface fphérique de l’animal.- Elled ïiéfe touchent pas , & font
fêparées par des globules1, pffeiix M double moyen de
rendre,leur mouvement plus Ee,çone a it (Fig. 6.) eft
tout revêtu .d’ulie fubftançg charnue &fihreijfe. S?, bafe // eft
en hémifphere de.fe tè^mine'àundés tubercules qui paroiffent
fiir.tpute la furface de5|a Tethiè A (Fig, i»-) &; qui la forment
par le moyen des bafes n>. ( Fig. 4..) ;des épines pH cn. On voit
en dehors quelque trace de ces bafes.; Voiez-la figure
L a partie, de cet- animal qui e(t entre la vertebre c & la fub-
ftance corticale l^TigyâjL & dans làqueile.eptrent & fe cachent
les rayons que nous vénons de décrire , eft diarnue3j molle, for-
f il,' & un peu ’ fpongleufe. Ses cavités renferment une limphe
claire, peut être, analogue au fang des autres animaux. La-
diair qui lie les cônes & forme la partie. corticale de l’animal,
eft beaucoup plus: folide & fermer De. plus entre un cône &&■
l’autre s (Fig.^a.J.font pofés des faisceaux a de fibres çendineirt
fes. Lorsque'ces fibres fe contractent toutes à la fois, la Tethie
devient moins volumineufe; &dès que lès .fibres fe reladient, elle.
reprend fa groffeur ordinaire par Télafticité des rayons. C’eft
ninfl qu’on yoit dans cet animal un mouvement de fyftde & de
diaftolè.^Mais fî les-faisceaux de fibres a (Fig. 2.) fe racourcifi
* fent fucceffivement, alors 7deux ou plufieurs cônes r fe rapprochent,
la Tethie perd l’équilibre , & tombe en roulantdu coté op- -
pofé. Il fautpbférÿer que pendant que les canes fè rapprochent & s’é--
cartent,fes cylindres reftent fermes & roides, & avec les cônes fervent
de point d’appui. Je dois auffi avertir que ce mouvements
dè'xotation n’a pas heu dans fous les âges de la Tethie. J’en don*
nerai un exemple dans la defeription fuivante.
HJ.