le du cuir. Son pied a ordinairement depuis trois lignes k cinq
de largeur.: Il en fort; Une' tige mince, qui fè partage en-deux
branches, & ces branches^fè fubdivifent en deux autres,; & ain-
fi de Ëite. ' .Elles, font ordinairement plattes.^ Le centre renferme
.une ëlpèce de nerf, qiii rend toute la plante, un peu plus
ferme qu’elle ne le:; feroit^ La plus-grande hauteur de la plante.
eft ..d’environ fl|: pouces.; -,
J’ai ^ quelques plantes j du genre des Firfoides qui n’avoi'ént
que ides fleurs mâles. J’eri ai trouva des deux efpèces en plu-
fîeurs endroits de.la Dalmatie, de Mûrie, & des rivages de Venir
®, Mes jpblèrvatipns font des mais dé juin, de; Juillet , &
d’Àôut.b-
P e R ëaumue, a donné dans les Mémoires de l'Académie
Royale, des Sciences de Paris pour l’an 17 1 1 , la defcrip-
' tiôn; dtüne plantef congénère k celle ci:' Dhifloire qu’il fait de
cette plante 1 eft longue mais il n’a examiné les fleurs que
fort l'êgérèment. De là vient, peut'.être 1, que le célébré Lin-
næus dans - fan Traité des genres des plantes,. n’a pas ofé déterminer
fi- les fleurs de, cette plante étoient mâles ou femelles
- i v . ,
, Acinarïa à tigè cylindrique , avec tel branches inférieures
piaffes, Çf -ïes plus hautes roùdes. Acinarïa, ou
Agrejloi marino d’imperato. *£,
P L A N é H E V., F ig. i . .
T T o îè ï encôré une plante qui a été delKnée 6c décrite par plu-
- ^ r; neurs Botaniftes , mais; avec ■ ühé ' extrême négligence: Je
puis alfurer' que pferfonne ne IV vue toute énti'ere. Les defcrîp-
tions & les defleins que nous en avons} font tirés de quelque brari£
m .^tiVtifcfés Imperat0 &c Lobelfont tombés daïis cette-faute.
C e t TiÈM)lànté "â un large pied A"(fËig. LJbj d?ôù Véîevent
plufieurs tiges cylindrique&j.gà'rnies, tout au' tour d’épkie»r dont
4es unes rdlÉL.ifimples 6c les autres branchues ; ( voyez la Fig. $ )
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