C H A P I m ^ K E V.
Defcription de queïqup^,Plantes. Marines. ;
EÉ1
Cermnicmtheme très^branehm^bas, transparent^ rouge. Fucus
Capillaris, qm, musrment deflQrient fofyik nom de
Rochejp. Imp|erata
P L A K C f f E IL
LA ïafgeürordînaire dupied de cë'tte plante, ne va gtieres au
• delà d’une lignes & demi | - raefurë de Paris, dont je me fois
toujours feryi» La baie de ce pied;, la partie par laquelle il tient
aux pierres, eft applatièî-' Fnftiite le pied fe rétsrecit;un peu, &
en s^êlèvantAf forme Une petite-’ tige ronde ] qui fe partage ordi*
nafrèment én^lufîeurs- branchés aufli r’ondes; Ges branckeSi dont
îe nombre grand, font-ptesque toujours' beaucoup plus!
minces àdeiir- origine qu’aillèurs. C’eft ce .qu’on remarque dans
la plus grande partie des plantés marines. • Chacune de ces;bran#
ches fe fubàivl^ek'pluüeuira^^Çs^randkesplus petites. Toute
lapante n’a ordinairement !qîie quatre pouces de hauteur.
pW B it dai^chaque branche de petites dxcrefcences1«tf(Fig. i.)
Lorsqfdnles pt^bfve avec le micçofdope j * on connaît que ce font
de^ v^S e s ' fruits»- A leur naiflance ils reflemblent parfaitement
à un demr globe ;; ( f ig . Z- ) A mefure qu’ils,,croiflent , ils- s’éle*
vérfn& fe dilatent : ns deviennent dei globes» Enfuite la partie
ffupêriéurë du globe j ’étpnd & pouffe un jpetiÊ col r;(Fig. 3-)
’dont la partie iirperieure fert de fleur» Ofdifeairement il eft fort
étroit comme en i. (Fig. 3*}’ Quelquefois pourtant'if eft plus
large &étendu ïcomme..en u (Fig.- Sa lurfaee plane | (Fig- $•)
eft inégale &c tuberculemfei ' Au centre eft; un petiç troti L 6Fig>
pt)>s|uï per.ee le péricarpe & va jiifqubùi y£ai ftuit A;(É j j É ) il
eft rare de trouver plu(ieur.s fruits dans un fe|i' j^ffarpev Lors*
' F) 2 1 qu’il