Jk~ qulellefptt, iparçequg ^afai. ^ c e l l e la, pas
pnême dapslesj çongs-qui ne cOfE^enojent plu? de femence. Lof^ue
fa feBpfi^pe •§&• ..3' ) df^ftpeut aifement
for-tir pgç|e au .çgntre {Fig.-,*»)
çp jgui - n’aErife ga$ . a vant.-guej la Jgnjericelait mûre. Alors il eft
temps qi^fjleifc6 ® a j ç ^ g d e j«
{ .Qnlme VjOit/ jamais ic^e,:p^verG^e au centre àn Caiiopilophore
$yaja^ t,4^^p#:)%'-3la--%q^pf^r/-:CP -gui arri^.., à mpn avig,
^ingi^lemepl i»R^qeJLjy a. (ieJ’aiç. £|g|èrmé. dans le-çreu^ <pj
ç^meajçej^fû^ -^fÿjgf:i.,J^ 1pon,ti^^^paria;:fiig|e & par
le; moyen desJtçpuf ^,%â§|^?;As|)./f communique •£ tou,te la plante»
,Cef ;à, tinir ^^l-an|e;cdtoi^e;? •&
que yoga • connoiffez bien, £esr spjfages: n’âuroient pas lieu fi Pair
mojt quelque ' iflye. 4m
j J ’ai faiç toutes i;ce? obfervatiops aux mois de, Juin £c de Juillet
gn Palmatiltp^ des îles Incoronqie $ç. Je Rqgufe,
I I I.
Virfpicle à tige cylindrique, à branches plattés? '& égaler dont iék
, extrémités i f ont renflées, .£=? partagées en deux \ ou trois
autres, branches, :Çptte plante eft cof^énere à la
Quercus Marina de plufieurs Botaniftes.
P L *A |N C n E IV . Fie.- iJ
Cette plante doit être.mile au .nombre des plantes herma*
phrodïtes, puifque/elle a des fleurs mâles & des fleurs femelles.
Les unes & les autres font formées par une petite levre ad a
tiFig. 2.) qui, ne piaroit au: nucrofcope qu’une produélion de l’écorce.
V-oiez ia Figv 2. & la Fig.y.Ghaque fleur â/la figure
d’ùn code•jrdiiqué & dont la plus-petite bafè eft concave, :& terminée
par un rebord très mince,: inégal £ Voyez la Fig. 3),