•dureté de C o n tâ tA mèfee que l’oeufcroit les Polypes fe
multiplient, & des nouvèllés %aâolil& fp fermât. J
T ous voyez ici une végétation - dè peinte & une propagation
d’animal. Jugez donc fi U Contât appartient à.ïint'oiïià
l’autre de ces deux règnes , ou s’il né- faut pas le, ppfcer dans
u|frang m itoyen^
J è viens de vousexpofer 'avectonte da-dilageaee pofliblp la
nature n’avançant que dps faits fûts*
l ’encre que vous ne trouverez pas mauvais que je décrive deux
autres Polypiers. Ils fuivent en partie les mêmes loix: que Je
Corail, & en partiels s’en écartent.; ©èft pourquoi ils font
très .propres à donner unéjufte idée de qette uniformité, jointe
à la iyarieté qu’on admire dans les loix de la Nature. Je parte
rsuLd’abord du Madrépore.
H .
-Madrépore à tige, avec ks branches fépar-ées, ^ qui m'ont pas
quatre lignes de grojjeur, Çÿ avec des-cellules qui ont
la figure dm calice.
P L A N C H E TII. E ig. i.
L E M à ix r e p o -r e n e difFére .pas d u ‘Corail pour la dureté.
■ Sa fübftance aufit approche de ^cpüè de Pos.ou du marbre.
Le Madrépore eft très; blanc, lorfqu’il eft poli. Sa fiirfaee éft
ihiée fuivant la idireiâipn .desbranehes. En. dedans il eft orga-
nifé d’une façon fingii^iæ.'-Au centre eUmm cyteufee^i (Fiig.
3 J.gui fonvent eft dans toute fà longueur pieteé de deux ou
•trois trous.- De ce cylindre partent .environ dix iept lames
k k k k k { Eig. -q.)' qui 'M rendent à. la*circonférence mm m
par la ligne la plus courte.
D’àUTites lames; q q i qq Acc. fEîg. %. )• coupent transverfa-
ment les premières. - Toutes <cês interfeâions. forment dans la
• tige
»ùËm.