dé lit Mer Adpïàftfte^s -- i j
des veptSi i Ce phéuoijjepeip’çftfpa-s difficile à .expliquer. La für-
face de Ü’eau eft plus rude;, qdfréelejde l’îiuilgi Süe yenprén-^
contre-cette furface, »m(|ibsf ,j|$ip, il »s’y.',attache) pour ainjS dire*
& il Tagiteili-mais $’il rencontre la furfaé2îlijr©-&glijOfante de l’huile,
il coule & paljfè, fans y çatjfer un mouvement fenfibleîhJ
D an 3 ces circonftances, & à cette’profondeur je (puis ;diftin-
éiement obferver le fond, remarqueras îŸarie|ês,. & difcé’r^ér
les productions qui s’y tr.ouve^it^ pourvu ,q’U^il;Métfteîî|^x. ou
graveleux: car alors l’eau eft limpide & tr&lparenëeMai^fur
un fond bourbeux ou pleiè- de vafe,; comme, .dans;'. Igv^lplif de
Fenife, les eaux font troubles, Sc. ne perjnettent'pas qu’qtt^ypjé '
ce; qui eft à une Certaine profondeur Lor{qiie ;J,ei dlftipgue cp I ?LïïïFfg t.
qui eft au fond dp la mer, .jeramafle aifément la production marine
qu'eue foühaite, par le moyen d’une grande tenaille C D E FG H I ,
haute de deux pieds & garnie:'(le pinces* fort grandes, i Un bras Ç D
de cette tenaille eft. attachait une llongué perche A B , laquelle
on »peut en ajouter d’âuthes' lorfque les 'drconftances, l’épii^ent;
L’autre bras eft terminé par un anneau I , lauqîuelkij’attache,1 une
petite corde* je fais palferla- corde au- deffdusd’une poulie?sL, qui
eft à l’extrémité inférieure de la perche* Cette cordéî4/L M coulé .
ainli le long de-toute, la perche-: <Sc la’ tenaille, qui n|y,;eft attachée^
que d’un coté ^.fè tient-Quyerte-par- lapefauteur du bras ID,
Te plongé tout cet attirail1 dans”' î’èau1;' j’apprdcïïFIe¥!pîï!e,e,s de la
produ&ion marine que j’ai deflein d’avoir ; je tire la corde, .en M,
la tenaille -fè ferme & laifit ce qui ’fe trouvé- entré, fès pintes1, .n
L orsque la mer eft agitée, & lorfque l’eau éft pîtis haute
de dix ou quinte pieds, en m mot lorfque je ne 'fuis1 pas Tjiè'n
voir au fond de la mer f p nie fers d’un autre ' înftriiment, qui
’ .n’eft
* Le texte -eft ©bleus: dans cet endroit. Après avoirparlé du- îofi® b%ïîibeüx.&, Ses'eaux
troubles.dlf^Btinue. Allora dtmque voiendo raccogliere &C0pàîd^tf||pâtà|éU^fetf^ra^i^ 4 r
ter cet allora al*eau trouble dont i{ vient de parler. Ma^, cette eau troujjlè empêchç-de voir;. ©
•& l'auteur dit un pèu plusjbas quefla tenaglia alcorpo cbe aver defidero l’adatto &c. Comment
(peut il ajufter cette tenaille à un corps qu’il ne voit pas? ï l ’i donc fallu ai3efjfn|peu à la
lettre; & expliquer Ÿdllora du texte. :En confequence j ’ai ajouté au paragraphe fuivant l§s
mots qui font Italiques. Note du TraduSeur.