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■ Peß0 efUih^iM. ïbût' cylindriques. Je donne à ce genre le nom
dVAulopioT p
, L a .quatrième légion eft pour leéjfeolypieri' à lù^ance char-
. nue. s Jferl ai tpQUVé -deux centuries.'^ ■
, J e mets dans la première centurielles Polypiers k tige. Ils
forment ürië fehle cohorte , dai . liquelle -les cellules fönt répandues
par toutes :les parties du Pdypi&p.
Sotrs eetté cohorte il n’y a <|run -genre , & foua ce genre
il n’y a . qu’un ordre. Les cellules enfoncées dans la partie
charnue ‘cofcftituent le genre: & les cellules’ faites en forme de
lampe fondent Vordre^ auquel ƒ ai donné le nom de- Sarcoden-
'AhMm
• L a fecor^ei#«£«râ contièdt VÈé Polypiers fans tige & mém-,
braneux/. Elle n’a qu’une cohorte » qu’un ordre & qü’un
genre.
: L es cellule^ éparfès par toutes lés-membranes diftinguènt la
cohorte. Les ^cellules peu élevées-1 aü deflus de la fUrface des
membranes- forment Vordre. La cavité* prefque ronde , & les
ouvertures étoilies'ëdes mêmes - cellules corfftituent le genre que
Appelle Evaßerio.
~W*oi l a s la méthode que j’aû fui vie pour arranger lés Polypier
î. Je vais donner Phiftoir^’exaétéde quelques ' uns} afin que
vous puffiiéz. vous former une'idée jiluS claire de cfe qiàôjë viens
de dire ; & remarquer; le premier pas que fait la Nature pour
fortir du régne végétal & s’approcher'dm régne animal. Je parlerai
d’abord du Corail.
, : I.
Corail rouge.-
P L ; H E VI. F ig. I.
QU e t que s u n s ■ ont cru que le Cor ailx tire fön nom des
i.mots xogeTï &-(5tÂoj plc’efl k dire, ornement & beauté de
; la.^mer;». comme1 fi la mer ne-^conteiiôit rien d’auiïi beau
que le Corail. Delà vieht , peut^êtfeV qftë les - anciens &
F l M H S B SB ■ les"