uvoiil ics .-Imri Ivs Oln.rs tic- rAnlilil,;,i,
I i;iiil <l.'ii>. joiinK'r.-. il.' iiijn li.' ¡xhii' I'nuK'lii
...nil- ih L, l.dir ZrlKihiiiy ot -lo « s vid
iJ Wíul.v-VüCnúli-h, <|.ii coupe ol>lic|,u'iiiciil Ics I
.lu pour ullciniliT lii R>k;-i;i ol k-s l^iim
^'iu-dWI'l. XC).
,C5 v„il;i tIci.K- r< s niiiictisi's nmslrui'linns, I
rli..ii.,. ,•! i-.,iiil,inr U-1II Í ric h.-s ilrl.-iik Qiic-lk'.-,
;'i l';ii;fii<viia'iil dr c-.s l.lor» i-iici mos. l-sl-rc .1
lU- nirluTS. <rlk- tiirirc cnlie .iiilros (k- (IS pi
i. 1'iiii.j -raudo, l o ;uitiTs poúlcs, j;i¡lll!,sciil (¡¡iiis cv
>'„(<-r<- une k.i» clans la ville mémo de Zebcdnny; c.
)K'S du vilLijí.' d'Aii.-Hnxviif- Cesl im pon !iu delii •
ipil sépaiTi.I n.imiis de li;i:dbcc. I.r second joui
roiiliiiuoas pnr Ies viillúos dr l'Aiilililwn jusqu'au I
Uagiio. II nc lions irsl.' do lii <|u a IVaQcliir les haute
iiiple d Héliopolis, <iui nc lavdeiil pas ii se décoiivr
lufondenl pnr lu^énie
-alen.v, il I'tillu
acniiçii Iciu's gii
.'S foiTcs pi'Oiligiei
ts .¡ui ^ fragilaiis
la earrlriT.' Ccpoi
• Q-^'-l"«- gramU
0 llalid. ils Misse
l.es temples .k Baailxr o
il i-cprnduil IViisenibk- comi:
pni'iail el les nielles scidplée
igueur sur 17 de liir^'cur cl i^ i/i d'épaisseur, (¡ui
11c à noire droile, el élail sans iloiilo desdiióc à prendre place ;i eôlé de ses Ivois soeurs,
>uelie inl'érieiire ,lo la miiraille l). du lemple, ijiiaiid ime circonstanec quelconque l'a l'ait
à lelonnenienl se inélc tin antre senliincul, eekii de la petitesse de lonte iruvre )ui-
I ecs inonunicnts, les plus içigaiilosques peut-èlre du monde entier, à l'eNceplion de la
ir ainsi tlire dans celle immense plaine, et semblcnl iceasi^ par les eliuincs majestueuses
ions de prés ces cnlonncs de fio pieds <1 e liaulcur, surmontées de cliapileanx d'un travail
. ilniil la .nerxeillensc setiîpture fail l'elfct .l'un tableau, ces murs ilonl les pierres sont
taillées, nous demeurons, au milieu même de noire admiration, frappés de l'iiislabililé
il'ondns à la l'ois devani la ^'raiidenr de l'oeuvre de ses mains el la terrible destruclirin imi
de .01.1 (cmpsalliréajusletilrel
k'S détails. i.es plates-formes élevé,
dti petit temple, les murs, les coinn
ees merveilles tic l'arcb
)ii resle, il u'esl pas de
^ious
jumbi-e d arlisles. La phologiapbie el Je cravnn en
s temples, les iiorlii|ues, les pavillons, les péristyles,
ol leurs ekapileaux, toni a été mesuré ' de façon ¡1
misse tloim
l'ajou.i
c les
.lafoiid el d
•, et les orne
de len
galerie, il semklc
Ils sous lesquels i
Ivie (Il
d lenqdc.
10 idée de la grnudeui
assifs edili de grâce et d
temple, ou le
.s bel •c de c,
s de Baal eilles
I eoiinalliiiMpi'
e peutaflini
•s passés, et eonliuueronl ;i èjrc celles des siècles kilui-s; mais,
ndies déliiils, on esl loin d'èlre remoiilé à leur origine- On s'aceonlc à recoii-
>p!irlieniienl àeet i'ige reculé qui se dislingue par réiiormilé de ses malériauN;
e épo.|ue. Persoune nc conicstc l'identité de liaaibce avec l ancieiine llélioee
rerlitu.le qu'elle soit le RaaI-Gad, UaaI-Hanion ou Baabitk de l'An-
'. L'empereur Théodose commença l'oeuvre de dénioliliou des tem|iles
(uérauls musulmans en prirent ¡«.ssession eu (i3G, el le nom cniélio-
Isse expliquer la cause de ce ebangeinent. Le grand leinj>le fui ron-
nu culle ckrcti.
.i de liaaibee, sa
•lei-e.ss<-, et e'e.sl sous eelle forme que les aiileta's arabes le eoiiuaissent. l'endaut la lulle de.s dilTérenles dynasties
lies qui ravagèrent la Syrie, liaaibee partagea le son général tie ee malbeureiix i)ays. Bile nesl i>kis anjourd'liiii
.d village silué il rE.de l'nii des It-mples, et luibilé par une popnlalion .loni les trois .p.arts sont Melai.ilek,
l'aulre i|u:irl itppa nient à l'iiglise greer|ue. Les m tirs de l'aiieienne ville soul encore en plusieurs endroits à moitié
rpiin/.e minutes des temples esl la source tlti ruisseau ijui arrose la ville, et doiil les eaus sont employées eiisnile
m tic la cam|iague. Mais il esl temps de poursuivre notre roule, el de nous diriger vers le iV., après avoir jeté cm
rabies r l.XCI!
le pay s : a lierii village I e du
r l'Iitu ri ^cco
elle-n
.•ue de dislaneest
1 avec la célèbre;
..•liUisformeravc
i-mie, qui ¡aillil a,
les ceUesqiie noi
ederOronlèsipit.bablemcul
ermerqn'tm seul el imignifiqi
•ipngrapki,
l'éloigné:
•M. cieruiéi.
leLjboii.,
m lit encaissé entre <1
llajnide ^Muki
la reine des rivic
nousn'hésitoi.
C!idiiél7.ai II Ilins. Wi l l . :ì:i:
.ile nolablodiííérciK-esavec la
s des oiHkil:.l¡c„is l'réquenles el
ul pUisgrtiii.l ties tleiix l.il.ans.
I tpii
,veb, r le Fikcb
XXW, ii„[trèsdel)eir-\làr-Mai
>ile la Syrie^()jd.QuaTiliieclles<
pas i, dire qu'elle est la plus aban,
.leroebersau bord même dn H,
sources: mais, dti Iniiit des gradi
avee une Torce surprenaiile.
LecouvenldeMàr-Maroini
deu>; étages de eluiinbres aver ti
I ne peni approclier tpie di
. F-lev i-dessti>
-, eetle rei ralle de stiinl
la disia nee .l'une lieu
i., se troir ,e le Kamoa f
encore do inslaniiit des
ni les anc iens auleurs.(awlinson , qui pense qu.
ii'ici rien n'e.sl encore b^
l.es pierr es qui ont .S.T
M:u-otin, footìaleur delà sede des Maronites, forme une vérilal
te environ au N. R. de la stuirce, stir une élévalion qui domine 1:
rl-Hermel fPI. XCIL. singulier monume.il, fori peu eoi «Ics
. temps, aussi bien que le nom de l'iircbitecle ou du ]iersoniKige ei
,
Abiilfeda seni parle tlii Cayin el-Harmel. Riner f>ol. X\ II. |
le le luounmenl esl .l'origitie ancien-assyrienne Tboinson en ¡11.
rose. La plate-forme, soil les trois iiiarcbcs tki ]iiédesl:il, esl eepeiulanl e
regardent les c|uatre poinis cardinaux. L'an};le S. (). s'esl éeronlé. entra 11
rouverlnre ainsi formée nous permel de eoustnler que Vexlérieur du moi
les mêmes matériaux qu'au rk-bors. Notre dessin (PI Xi^llil rend siiperiliis
que nous avons rberelic a rendre k-Kamoa avec loiile rexaeliliiiie .luc 1
Si I on cnupare noire dessiti, soil
nn rein.arquera des difirrenees aspossible.
Les coucbes supérieur
arabes. 011 d'autres pn.^saut.s. ,san
nier par excellence,
Un ponlsolide. jeté sur l'Oi
monlagnes.au pied même du Lil
rirbesses iialurolles, el-IIcrmel, j
en sont probablemeul la eause. I
Nons stmimes heureux de ^
pins que la diflieullé delà monlé
ou de eyprè.s, de ]iin» et de sapin
ment ce sentier a été k.nlé par I
il poui •s bas-'
lolables ]iour
i de griffonnages
vcléire. Dceidêmi
au^illagc de 1 Icrinel. Don
iinevt-gêlalion luxuriaiile
village, .semble en déeadei
lires rpii jailli.s.se
nibrage de noyer
mplcie. Le man.
u les belles crêtes ,l,i Libar
iani de ees bailles ri-gioiis c
ilier nos peines. Depuis lier
iiebe UI
ceulrale, dont nous avons 1.
iérobeul In vue tie la liekàa
dnni qualre heures nous u a])crceviins d'aulre habilalion liitniaii
revanche, ces superbes forêis, ces groupes iniineiises de pics el île <
bicnl grandir encore à mesnrequon s'en approche; ces rochers ai
de la nature dans l'arraiigemciil des Iront s. des branches et des r;
lourmentés ailleurs au contraire de lontes les fiii:ons, se jouant aius'
auquel la solitude vieni ajouter encore une saisissante solennilé.
' llobiiis. >ii.sc,iloi>ieiil Iti crStiiliiliWilnm