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il le joui', l'midnii! que i
niimo.its il« la luiil; nin lióle IDC
ûus dil-il,
i I.K l'A\S D'iSIIAl-.L
tioiis ii'iiul'ions niiouii l'cpos jiisini'à roiii'oiv, l;i iiimillc fui dcboul bien îi
aiiloiiv ilii (eu, preaaiil notre cafO, je ne pus m'einpcchci' ilo parler île iio
ié])f)iulil (¡lie j'citnis bien ceruiiieniciil daus l'crt'cnr, car on élah alors eu bivcr, t
di' CCS incominodcs iiisccles. Qii'cst-cc <|ue ce ilevail ôivc en cti", pcnsai-jc '. »
Sidon, on peut, en Caisaut itu léger eircuil, prendre une très-belle roule, A Jlouui nous dcsceudoiis
dans une vallée profonde
Nabr-Sanik, torrent de l
cotés |)ai' de hautes
par lies rocbers de grès, couleur d'ocrr, contre lesquels des pins au feuillîi;
[>ar l'air vil'qni descend des hants sommets, le Sanik. semble cacher sou Ci
dans l'nn des plus romantiques et eu ini'mc temps des plus grandioses siti
nous suivons le coui-s de ce torrent qui sort de la vallée et coule sur soi
C'est là que coule un iictil i-uisseaii qui forme l'une des principales branches de la rivière
i|ui se jette dans la nier à environ trois (|«ai ls d'bcuro au sud de Sidou. l'ermé do tous
ilagnes, dont la plupart sont de pieri'e calcaire et boisées de chcucs naius, et là interrompues
lesquels des pins au feuilliige vert sombre accrochent leurs raciucs, rarraiclii
. (|ui ombragent ses bords de la plus sauvage manière ; nou.
. boisées de chéiics naius, et
e vert sombre accrochent leurs n
urs outre les lauriers roses et autres arbrisseau
s du pays (Planche IX}'. Tournant au sud-oucs
lit rocailleux au pied du village de ISirtch enli
Qous avançons vers le hameau de ¡\lujcidcl, c
nous quittons le to
le Nahr-Haragnùt, <
.1 nord-ouesl en traversa
c tardons pas à regagner Sidou par •
t la colline qui le sépare du ci
c nouveau chemin.
.'S d'eau parallèle appelé
llAS15i;iYA