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iioùjiu' lo n'ii;inl, I
> hi bo I r dóli K IK'I.II ill hie
ar.solú (In ¡iiiys el tk'S vilk
rnk'.s ill' riàiTiiel luiiis I'eii
a lsn.i:l,l<.r.(iuil
iiaolcs: jc rcdui
icTcliu s.
a rlé aouvciil animiirv |>;ir les (iropkcUL'acc-iiiiiiilissi'iiH'iil ilfS parempiit
d uiH' saiiiU: fnivuiir, lorMiiic iidus itmi|iai'niis i-o qui! iiiiiis vovoiis avtr fe ijii'il :i dit; iiuiis
nous verrons swcomplir aussi ibrmcllemeiil, aussi lillri-iikmcul, louti-s los bcncdiclious promises
rcvvnu au .Sci-„eur i DeH. X.XX, i —:.1 ; - Jc dilruirai vos liiiuls lieux, dil-il; je ruinerai vos laher-
Lissi vos villes cil awerls. • (Lév. X W I , cle.j El s;i parok' élé ;uvuiapUe. Mais l'£lcruel a dit
; je rak'iiianck'i ai iiu'a brebis, et je les reelicrclicrai. Comme le pasteur se Iroiiviuil parmi son Ironrcbis
dispeisécs, iiinsi je re.-herclierai mes brebis, cl je los relirenii de Ions les lieu), ou elles iuiroul
.1 éni dispersées au jour de lu nuée el de l obscurilé. Et je les ramonerai dans leur lerre, el les nourrirai sur k-s monlagnes
. d lsnud auprès des cours des eaux ol dans Louies les denieiires du pavs. Je les paitriii dans de bons pàinragea. el leur |>iire
.. sera d;ins k'S liantes montagnes d'Isnic-l; et là elles coiielieront dans iiu bon parc, cl jiailronl en de iji as pi'ilnragcs sur la
. uionlagiie d'Israt-l. Moi-même je |.;iilrai mes brebis.et les ferai reposer, dit le Seigneur l'Kleruel, eU:..(lW'eliiel, XXX l\ ,
I I —if>..
Mais revenons sue nos pas. >ious conliuirnons la baie lonûée par le l'iniii de Jlàsbeivii, el. a iiue lieue environ au sud
(iu village, nous arrivons ;iu\ bords d'uni; sccnnde vallée beaucoup plus profonde ipie la première et pénétranl. pour .linsi
dire, an cranii- même du llermou. C'est adv-Srhebali, i|uo nous avons déjii fail counailre à nos lecleurs (Pl. Xtll}, ainsi
.jne le botirg de Hibariycli, sur la rive gaiielie, où nous nous arrêterons ipiel.[ucs instanis pour conleniplrr les ruines
inagniliques d'un ancien temple. Buivkiiardt est le premier voyiigeur (¡ni ail visile ce monument' ; niais notre dessin
(l'I. XVI,. conslale ipie, des colonnes du portique dont il fait mention, il ne reste aujourd'hui <jui- les piédeslau\. et que
l'onlrée du temple élail située à l'est, el non à l'ouest, ainsi cjuil l'al'iirme, faisan! face au sommet de la montagne. Dans le
pilas.r,
>111 e
a l'angle S. (X on n
assez bon étal de
Sous le porlii nielles e rnie de coquille
luuàlrc, et ¡pii ont 1 apparence de la même forma
)nt pas taillées eu lii.'icau : mais dans le> parties ([U
on en voit qui onljusqua upiedsde
celles de Ilibariveh sont peut-être jilus
ion caleairc que ccHe observée dan:
fonnenrla buse de la conslruetion
;endu que les ruines de Tlieltliàtha
s satisfaisant que celui de la ¡>lupar
It Jler liarle IS hai.
,s du I nullo
I dessiner au milieu d i,n petit cercle de spcctatcnrs,
imées Raliil-Aisafa el RahU-Uoslra cpie je ne pus ré:
La Pl. X^ Jll, qui représenle Kalát..\isafa, fera voir
:aiile ils attribn
Ce ii'c-sl lias là cc|)ciidanl l'opinio
(|u'on reiieonlrc à une ecrUline distance et qui, à l'exa
tel monnineni d'antiquité dont la beauté nous ravit d'ai
en avou.s eu la preuve a Hibariveh. Pendanl que je m'occ
tendis vanter si cliaieun-usement la l.eaulé de deux ruin
plus longtemps a la tenl.ition d'aller les visiter immédiat,
bien peu nos paysans de Hibariveh sa\aicut apprécier leurs belles ruines, et quelle valeur i
aux débris abandonnés (¡u'ils désignent sous le nom de Kalàt-^isafa. Cependant ces dernières
assez ; elles présentent encore une vue magnilique de la plaine et du lac el-ll.ndeb,
formant un faible point blauc, l'extrémité méridionale du lac de l'ibériade. .l'ai élé charmé <k
Pour iirriver de Hibariveh a Kalàl-.\i.safa. notre guide nous conduit a Iraver.s des jardin
la direelion méridionale de la vallée entre lliiiariveh el le Khalwet-el-13iyàd. Le trajet dure
mité de la vallée, des liai.te.irs .pie nous venons de gravir, un ni;.gni(ii|ue paysage se <iéplo
A noire deoile s'élèvenl des r<i<-hers d'un ton ocrcux : sur le plateau, à
Hàscheivat-el-rok.har, renommé pour ses [>olcri.s. I,es aaii.-s du majesl:
parsemés, en eel endroit, de louiïes épineuses api>elées M l
vers la plidiic du llàsbanv, en longeant le côté
.ciproqut
nfl're
Il de disi
earaclére
. aperçoit.
iérc;à l'exlrérdsiPl.
XVIl;.
t le village de
lier s iierii
i forme aujourd'hui principalei
s leipicl vou.s allez pas.seï
n il pleut d« deux. C'e..t 1
upent la gauche du tableau
id de la colline de Kàseheiyal-el-Fokliar
. de jouir (pie du speelaele des lielles i
iroviiKc de lielad-Besi hàrah: ce^ monl^
du bleu violel au bleu azuré,
tinte leur réalité, les paroles que l'Eleni
pour le posséder est un pays de monta;
1 pays Mil l'iiteriicl, I . Die:
' TrniW. i/i Syria, clc.. p. 31j.
= Xarmlk e. I. 139. IlnA </oiir, dr., 103. D'apri-s iino n|>pireiition
vuiin.ilive, j'ai ivului In lonRUPiir dii lemplo. ii 40 piol!, sans complor
.n'liqiiO.ol sa lar-riiriila ninilii;; pi'prri'lant ilea inlivcmTOls fails pnr
Is Rfv. W . M. TliomsKi nnl ilnnii^ Ics i^liirin:» plui
pour la 1an|!uciir lolnir dp l'cat ii I'oucsl, cl l.'> ct I
pour colic (In portii]iic. I.c nair cxwrii-i
s ile M pieds,
Sri sur n lie l(irf.cii,-
11(1, u picils df limirabie
leinps. • imp,-,
Ke¡'r-llaiiiani <|ui s'élcve dev
" '-."le Libie caravane
verts el de ses caroiibi
moiitagnes Ideuàlres, tout parle a noire e
a reiivci-sc [c dessus el dispersé ses liabili
iiUaïe, X.\l\', 1, elc,j
e,s|inl, et l'oi
\ous gravissons Iverr-llaniam par le
lU's de Kalál-.\i^afa^Oll Ai.ssnfa,
e nous l'avons déjà vu, l'cnlréc !
On ne peut mettre en doute \.
lc.s gri.s du village
oisina^c.sur la cv,
I', el les ireiiihlenieiils de terre seiuhleiil i
•rres peiirhenl de ec cc'ilé, i'eiil-èire ce
0 •.„,.„>„„, ,1,. „„i, la.ísío,i„
.. Des si lus, el dc.s puits dcsséché.s depu
die vainement quel lieu de l'aiiliquilé re
aux ruine,-, de Kalàl-lii.sini. le lemp.s no
méi'idiouiile, el qui do
.lise plaine et les man,i
ensiou des pierres, les i
'est rolé deboiil (iii ui
avoir ébianlé le point d'appui ccnlral. n en juger par
il l'ail partie d'uu temple. Une imusse de -laiids hlo<
il jour à travers les débris dVdiliees el les recouvie
iips immémorial, l omplélcnl l'eiiM iiihle de ivs riiiui'
¡I Kah'il-Aissafa.
e poi
a hi descriiitioii .pie nous en donne llobiiisoii. d'après l'exeuisi
Celui des riiine.s de Kalàl-Ai.ssafa ; senlenicjil les premières eoi
savant voyageur dit y avoir reeomiu les restes d'au moins. qquunait re leinples. Il prus
: (el endroit l'ait parli,•
liaaliin. kalàl-Hostni l'or
iippelait les UauU - Urn x
me éni<r,ne iiidcchiirrahlc.
Il .lusipian premi.
e Wady-Seniiyib, l'.lle l'uuri
niche d. s offre
village
paysage
la(¡ ielle le lit du Jourdain supçricL
pie<Ilss aavveecc sseess champs el ses jardins
n;.-,que ne peut qu'y gagner. Plus loin Is
pâlit de plus en plus. Le.-, belles moiilagi
niais cette couleur s'évanouit à mesure .y
laines: c'est lOulès. faucioiinc kédès. la vil
baigne, c'est le beau lae de Mcrom. sur
• »^renl éeha,:
illers a ce phiisir. jouissons tucoie line deriiiere fois du specli
nidi. La colline ile Kliiirbeh nous l a caclu'e [x udaiit .piclipie
riilloiiai lie la liaiiteiir ilc Hiiscliei) at-el-Pnkliar i, PI. XIX,. l.a plainc a
sou coiirs siniicus. cii deveuanl loujours (ilus proliiinl, sr di.'|iloii
• en est en jiartie i.ilcicepU'r par la colline boi.v'e de kluii l.cli, l'( ITe
•dure de la |.laine eomineoce a pren
ips, ,
,, à I I bleu
fed. e
•S lepad leJi
is éloignerait
lércdient á nos i-egards. Uu poliil hiaiic brille sur ees haiiteurs loinvillc
de reluge de la IriUn de .N'ephlli.ih. .\iin loin de la, le llanc aliriqil d'nne niiiuq,
u parail avoir éte remplacemeul de Ilalsor. Le <jui le
ur les bords duqiiel .losué surprit h-s cliiq ruis cauailéens. réanis eonirr lui avee
Cüiukiile de .labin. rol de llat.sor. •• lU les kraéliles les hatliivnl telleinent qu'iis n en laisosué.
XI. I-Ij.j Mais l'iiiiinense horizon n'esi [las iiinne horné par ce lae, qiil, .-.emblahle a
ou.'^ les rayoiis du soleil. <\u déla des moiUagncs de Redes, im volt s'ékver les sommcis des
penles, vemuil se relier cu deseend.uit a celles de.s montagnes de liasijao. ne laisseni (¡»'uu
va vcrser ses eanx dans le lac de (^alilee, 1 larde de inienx le
.joiu-d'lmi du bilí de milrc exeur.sloiiluiiis ajiiuriions á une occasion proel
rd •• U, seiitler (,iic imus siiivmis nous i-onduil l.ieiilnt a un pelit pont
mile iusiiu'á l'ancien khan, nominé kh.'ui-Ilüsbeiya, nous nous arrélons ponr
empier .'i loi.-.ir le maí;nili(pie paysage (¡iii se d.';ri)ule dev
luen-sc forél d'ollviers (pii couvre la vallée, el la ve,
es el escar]>é.s du njebel-i\iliàn el du J.lbau; placés en lace
. XXi, Le
•l'ire les cnnleurs ((tic présenle l'aspect d
' des llanc
elles sont diversifiées I'
. [rinle iilombce qu'on (
I des ombres projetées par les
ndigo,ou bien ciicor<
^ paysage est magnili,j