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l'A>,S D'lSH
(ics cliosrs, iiiu; IK
,11.1c- r.çnn, . lin.' nous (lí'loiii-
I. Los clrogni;iiis, loi'si|ii'il.s i
..11 I i.nc¡,-ii l<,>sn'<.-n,
i.l kllúu llMII.
SI'Z :i^'iv;ihli'ii
,ii!)i<' chi Ml;^,w•ll-.^c•l.^-Vol
ü chiiis h nu-r. No.
s criu'uri- ciivimii ;
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ville. Lii
.I nno Innlc c
?nl íPkniolu' IV;'.
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n sol.'il s R'i on
.11 t|n.' Siclon. k fils iiin.' (ic On,
. I. (., en simple- coni- ,1'ccil jcl
• . iiAlcVui ele sainl l,,.uis ce, upe n
icnl ni li-nc; i.nsc'c clan, les cm..
,•<•11.- Ic.vilik- hi fonclalion .|-
.'•1;,Í01U |ioinl C'iii|),'fliéc-s par .k-s n
nile.Tssnnte
n. ;,¡l OI, nnn Ibiulc'' l;>
s,,i- la posilion liri'sciu
inicnani la partie la |i
, Je CiK.-on i, íormci- .
.e vilk-. I.L-s rOL-liers o\
ina-e.
c-élcMi '(k'i,., \. i5, IC)!, ilinsi ,p,e le (lit .losòj.lio
• Sania non» 0|.lic|ue ••..ninicnl c-c Im.ur cl<- lOeliei.s
élevée . Planches 1\, \ . \ I cí \ l l j , ,-,iche,-s (pii se
,l>i'i nalni'ol cnnlix' h-s oiagos ,l(' l'onc.'^!, oiil hiit
em une rulniite assui-ée. Les plaines environnâmes,
, p,'( aicnl la plus riclic leilililé. Les
ifiics iinpralicables, el loi, coíiiprencl i|
ils eie rodio,'S savaiiQanl clans hi Dicr,
.«••vieiir (lu
•iicio.
, xvrii.
ville, .sí,,'.ílc'' (le posilio cees l'aoilc par te
,'.„,i; de ,n,'ln)¡>ole ,1e 1;, l'hc-,úeie. .. Si,Ion
., XIK, ,.8; XI. S,. Cenx ,1e Liu'.s ,le„ieui'a
Il c,i s,',iel,' il l;i h,.;on .les Sidoi
->i„ (le Si(i,>,i . üíí., 58;, cl f|ue
,n ,l,.n, l-:>a,c-se se,-l confe Tyr
¡(•I C„nl,'e la ville : Los liahilanls de Sidoi, ol -l Ai vad
on Ihrani, roi (le Tyr, rpi'il ne se ln>,ivnit pninl p:i,',iii les h
. e,.i,pei' le l>ois •• (! llois, V, G; 1 Cln--, XXII. ,1. et (is.h-iis, Ili,
•oI e,.n,l.l,'U la,ueuseélail relie ,n.'l,'opnle .le i'antiquilé.
'ai,s 1:, .iivision .le la Tei-re pronii>
iiilijugncenl ja,n;ils I. :<,> Ai
. ¡liiisi ne ponvaieni venir assez. p,o,llpto,»ei,l
Toi (|ni éli,is ,'e,Tiplie .i.^ inar. Inni.Ls eie Sidou
e leu,-s pln-<
h,«IO,'. lh. la
..ppr.
.Sid
s ^.In^.. X,<i, 1-
k. l,;,h. . s lWl e
•li.-s de J.-,'oho;
par Jiisué-, Sidon h,t assiguée à Asber X
Sidon, ap,.. i les avoir d'ahord so.,ill.-s p;
sf,-m,ne.sélra„gò,-es, d,-s Sidr
1,5,. Le mallieur. tp.i residía pour Isra.-I, .|,ian.
>l ox|.,-imé ,.ar ros molsi.Ktilamva .pn-, , ,ui
(ils de Nebal, il | u-il pour fenm,e.lé/.:,bel, filhc
la
; „Kiis h'.s hsi'aélile»
alla e I ji;,a
hàli •i,'. Kl Aehiil. lit un I>l
li. pour irriter rLtemel, le Die., <
,.-t-il p.s ta,dé a saccc.phr. .h-r.'.
••Isai-, roi d.; liiibylonc iJér. X\\,
•nphilic: . Fils do l'honi,)Ks loun
l);,'n.l'£teruel:Void,j',-„vruxa
janrai e.écuU'. le ehàtin.cil sure
rues; ol les bless,''s à innrL Icnlie
jo suis riilenud. Kl elle ne s.-ra [
.|n„urundece„x.|uisonl aulotu'.
2.1, 23 Cl 24;.-Parole .p,i esl
vous avfz ven.hi I.-s cilants de ,Ii
eonlive, » Ainsi lulmi.iiiil
lerai lever du lieu anquc
l'A\S iriSRAUl.
nnt hd. El il iU-c-,
0 pr..> a <ieM
âge; ,1e sorte (¡u'Aeliid) lit cnrore pis ,|,ie to,is les i-ois ,1
fsriiël (I Uûi.s X\ I, . Aussi h' j.,i;e.n, ,it île l'Kle
lie lui imnoiiea la coupe de hi iureur de Dieu. .|ul l„i .
\X\ II, 3, et XL\ II, ij); lÎ/.éeliiel Cul oi.vo)é eoul
•Ja liiiT vers Sidon, et prophétise contre elle. El lu dir
oi, Sidou, et je serai glorifié an milieu de lui ; <•! on snin-i.
e, et .¡ne j'y iiiirai (-¡é siinrtilié, IVinc-rai conti-e elle la u
par l épéo,|ui vie,,,ha île lontes pni'ls
¡1 .ht le Sei;;,.ei„-
r la n , ,l'lsra(' • e|.ii s de
l(li„ pille,,
,t<ii,cje
liiL'quahie déelara
-, et ave/, emporté dar
• .Inda, el Ics enfants de Jérusal
•e l'Éternel .-outre Tyr el Sidun |
dl6, eie.,,Joel, I, ij-bi. ..
:lcs ont succide aux siècles dcpn
•ioQues, iiiacédonieinies, persane":
a Plié,
s, égyptie,
.•o„([ué, ants ,iialioinélans. Ln vain Sidou os!iay:\ do relever lu
rroisés - cll'ort dont on voit nn .souvenir .lans les ruines du f
(¡ne I on dit avoir été bâti pi,r l.ouis IX de l'rauce En vain
hiUissant des klii.ns et d ¡nili os eo,-,leu>; édifices, [larini lesqucl,
n piilaii
de son anliipie imi)orti,nee. Le sceptre de ploinh d'un gou.eru
la tenir courbée. \ coté de ces .nuises, d'autres cni
leinps, airaeha à la inétropole nue partie de sa gl.
richement approvisionués, ainsi de nos jours licirout s'est élevée et croit elia(|i
Ni l'admirable situation de Celle-ei, au milieu de ses jai-dins depuis longtemps (il
l>enveiit l'Ire cultivés (Planche A"II), ni sa position eoninic le port naturel 01, i
nisle.Seii;nei,rri:tornel(Lzéehiel,X\\ III,
l'aveur d ls,acl {iùù/., 'if, et -M, : - \ 01,s
s les ph,s próeie,,scs et les ,neilh',ir,-.-.. Ki
,ls ,les G,e,-s, ali,, .le les él,.ig,.e,' de h'ur
,anl,-e.lesespropl,etes:-„ Voiei,jc h-s
lus; el jc i'erai ,vlo„rner vo(|-c réconipeusc
<1,1 Ics ravages faits par les Sa,-,
po,,r .p,cl<p,e temps, olle fui
•akln'-cd-nin(i595-i(;o.3)'essaya.
ilcmpèché
,r lui-nu'-me, c
i(|ue a conti,,
ihlissen,e„l. I
e pene la balan •a faveur dan i.el de dév
Peut-é défaut d'un ancrage sur esl-il aujourd'hui, autant que toute autre <
à la rich.-ssc et à la prospérité. Uuc ligne-de roc-bers s'avauçmt du nord dans la
spacieuN, capable de contenir les hàtinieiits, petits el grands, de tontes les nalio,is .|
,iieie. Un Jour, j'allai eu bateau visiter ces rochers, el je Irouvai sur leur surl'arc les
de tou,-s\ Mais ee vaste bassin doit avoir été depuis longleuips détruit, el iu,e ]icl¡
c|ui joint la ville lui château situé dans la me,-, el érigé probahlcnieiit par les croisés
du temps de ces derniers. Qnaud l''akbr-ed-Di,i entreprit de faire de Saidii sa résid.
avec de la terre et des décombres, afin de se garantir des vaisseaux de giici-re avec
essayer de le tenir en éobee; et depuis lors Saida a pu être littéraicmou! appelée
?r n,i abri dans les e s pouv aux basses de l'étai:
,,oter
.. la gra
s d'antiquité .pie reiiferinc la ville s
ne, vollii tout i;e qu'on reucontre. I
. temps sont beaucoup plus nonibr
vscs, Cl si l'ou visite les beaux jar
.'ubes de pavé on mosaï.pie el d'auli
Vrvioux, cl d'aulres voyageurs ont d
- a di'i embrasser \iu vaste espace a
I peu
.ng.|uieu
3 chose. <;;,
ic .s'appesa,.lir sur
,éme,|iH..Tjr, dan
Mediterranée ii se:
lUX dépeu.
e Ions les fruils (
i rapp,-oché .le 11
ivalo iieirnul.
ihsiacle au retoui
ciconemenl (brm
|ues évidentes d'aucicjis ,
,'lie senlement,au sud d
iclies l\ e.l A'I!}, formait
p,-inciére, il fit combler,
uels la l'otte essajait ou
ville sans port, h-s batc.-i
i-d'hiùla place.
s groi
tsert de seuil
é de l'est.
eu ,elicf d.;puis plusieurs gé,iémt
de preuves (|ue l'enceinte de
.s jardins, d.
;i l'est de h
r de la ])elile Saida actnclle. Uroec et lirowi
d'un tr.'-s-beau dessi,i. Il ,
essauls fragments d'anli,,
!s jardins, nous touchons
s recherches et des fouilles
'-e""-'
lIiosc :i ¿1Ú oliscrvéc pj,r 1i