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• c'sllges lie COI
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aosOcai-ilù ;ivail ohligci les habitants .ic se ilx.-r iuiN alfiilours du cluVU.u: fOudJ,
iK'ho <lo la faiiiilU' (1« srheikhs rr-iiaiUs Jc Ik-laa-Bcsrlianih. Le UMTil)lc licmblci.i
LT 1837 iloln.isil, oolU- cpoquc. la I'orlcresse ipii cessa a(;sormaisaeIre liainlée. L,
1 (ircip.T un large espace oeiupienaiil la plus gramle partie a., terrain sur lequel s
a,. un ancien portail, presque ii.tacl, oonslruit en -rosses picrros taillées ei
villas.
Ibnec'csse parait avoir uncspécc .le ntaadle de la forme d'im |)araIléloffn
Ions,'ac-390 pieds et lar^ede 2i3
luitif existent encore et prouven
liées cnscmhlc par des crampons
phénleie„ne.,ucjaiv>,sà Jérc.
au sujet ae riaontif.calion à élai.l
sihie aar<pdesceràanc,n.e de ces
voir formé une
ilouré par la tratiehée dont nous avons parlé plus haut.. Quel ,
lie la eonstrnction était formée comi.lélcment .le -rosses pierres taillée
fer rayant un -raïul rap|)orf,. dit M. Tiion.son', - avce les travaux d'i
m et à nie de Kuad. l'aneicnne Aradus ». Nous avons vu avancer di
mtre llotniin et quelque ville citée dans l'Ancicn Testaniciil, mais il
Il l.isen
ííot IS I Foli ige vers le Sud ; nous abandnnnons bientôt les cnIHucs q
is qii'aucuii arbre n'ombrage, et déviant un peu pins à A[,rés
liil]e:<,à II
avoir traversé le village de \l;ils. qui s élève sur deux collines isolées, entre ledans
un pays ou se déploie la plus riche végétation. Nous marchons, pen.laiit pli
et de térél)inthes.<|ui semble s'être conservéeintacte pendant lessièeles écoulés, et qni démontre encore aujoiud'hui, .i"
n.aniérc frappante, la plénitude et la vérité de la bénédiction de Jacob sur l'iiéritasìe de Nepbtbali. . Ncplithali est un t.
bintliequi -s'étcad, il ponssedes rameaux fi-uctiien-i'., Elle démontre également la promesse propbéti.pic tle Mois,• im\(
lliali sera rassasié de bienveillaner et rempli de la bénédiction de l'ÉlcrneL « ;l)eut. XXXI11.23,)
Certainement, la Palestine (rorncnieul .le tous les pays; porte partout les phis irréc,sables preuves ,1e h. terr
maléaiction a'i.n Oien juste irrité. . La -loire a,' .a forêt est consumée. . et . le reste des arbres de sa forêt sont ais,
compter, tellement qu'un enfant les mettrait bien en écrit.. (Ésa'ie, X. , 8, ty; :mais nu milieu des preuves de en terribl,
lîcment, la miséricorde divine a laissé encore çà et là des signes de sa bonté, signes évider.ts rpi'il a encore des bénédicti
eu réserve pour ce peuple et son ¡lays.
Des sites semblables aux collines et au. vallées de Nepbtbali si richement boisées, proelaineut a Inu.te vo
peni remplir les promesses que le prophète a faites en son nom,lorsi|ue le moment nianpié sera veDU. . Je feri
. désert le cèdre, le pin , le myrte et l'olivier. Je mettrai aux laudes le sapin, forme et le ¡mis ensemble : afin
.. qu'on sache, qu'on pense et qu'on entende pareillemeul que la main de ¡'Éternel a fait cela , et que le saint d'I
- cela. . (T-saio, XIJ. ly, 20.:
Après trois heures et demie de marche depuis llouiiin, no.is arrivons à Biut-Djebail, l'une des deux principales i-ési
dences de Belad-Boseharah. Diviron quarante minutes avant d'y arriver, nous lais.sons sur h. droite le village de Ain-Ata
reman|uable eu ce .pi'il est probablement identique à Belli-Hanalh, l'une des villes fermées de la tribu ac Nephtbali
(.losué,XlX: 38-1
I3int.l)jcbail est un village d'une étendue considérable (l'I. XXVIil;, enclavé cl
sont complètement cultivés cl offrent aux regards des champs ae blé ou des jardins
verueur), solidement construit et ayant un étage supérieur, présente un aspect
peu près à l'heure où le soleil se couche, au moment oii tous les habitants, jeun
leurs portes pour jouir de la fraiehenr du soir; oi., sur les toits plats do mai.^ons cjui n'ont cf;
sont réunis les vieillards à barbe blanche, les patriarches de l'endroit, fumant gravement leur
euvironnantos, on aperçoit les bergers ramenant leurs trnnpeans fpi ilsconduisent ii un vaste al
offrira un spectacle charmant et plein d'attraits, dout fimpiession ne s'effacera pas facilemon
assc7. heureux, grâce a nos lettres de recommandation, pour être bien accueillis par Ta,„ei-el-I{e
Ji'-
nicii
•réé
Il ba.ssin de collines dont les ilani
icrs. Le serai (ou maison du got
irquablc, et si nous y arrivons
vieux, se tiennent sur le seuil d
'ont d'ailleurs rien ae pittoreiiqui
nt leurs pipes; oii, sur le.s collim
3ir, Bint-Djebail non
i. Com
eut pas
L' liint-Djebail est Inut à fait hors
nuit, fliospilalité du chef est dcv
ordin j aes ' nyageurs et ne possède point de khan
iwvt, pmsqu.
ic Linlio lAcliéc; r
nous voyageons en Orient, d'être reçus par un pi
que cette cnnr elle-même égale ce que j'ai vu de
rarement rencontrée en ce pays. Nous eûmes saii
faire des compliments téi.ipnxpies, ii fumer la pi
la soi-disant noblesse du village, (¡iii, attirée par I
à cctte/«v'i'«iii<'pi'esqueagréablc,(fii'on rencontic
il l'étage supérieur, pièce
le courtoisie pici
.onte il essuyer ,
et i preñare au
inplioit,' :'ait priij
turel q is loi'
repas aux expériences (pie j'ai subies plus t;
hôte et le talent ac sou cuisinier.
ic prnlougeajiisqu'
Ml Paleslinc, j'ai pi
s la salle aaiulience on divan, en présence ,Ulé,
n'avait pas mampié d'accourir ; mais tout cela (il bientól (ilace
lent en Orioni et si bien comprise par Tamei-el-Hcg, Il nous invila
lille et sarnie ae nattes et .le lapis. i\ous eûmes alors avec lui une
l'oi u ain
appiè 'eillaii
imparai
J hospilalrlé .le r
i village
rit notre voyagea travers les belles collines ac Kephtbali, nous sommes b
imnicil réparateur dans ce séral, de goûter également le plaisir d'iiiu' |iro
Hurreim;,, village situé à doux lieues au sud ae Uint-Djebail. A peu prè
1 aes ruin.^sdc Viu-oun, I ancienne Jiréon, autre ville de Nepbthali. 'Ji
;i-olonnes br
is à en juger par les fondi
la Palestine',
lin approchant d'
pierres de taille et .le sarcophages, ces l uin.'s al
certaine i, après av. r.ir goûté
mule m: ilinalejus. pi'i'i Kefr
mi-che min. la roiu le passi'
ige de Kei'r Bir'im, l'allctilton du voyiigcur es
le miai, qui formait jadis l'entrée a'uu momiment grandiose, et qui,
constructions du méuie gcm-e ipi im retfonve en (îalilée cl les récits traa
une. synagogue. Une inscription en hébreu, mais .pii, presque efl'acée pni
•se voit .uieore sur le portailI-u entrant dans le vilhigc, on
mieux .'onservé, et .|ui était probablement aussi une synngoa
sculpté, des fenêtres et une eoloune du portique. Le cor|js
blements .le tei'fc; les hidjitants .lu village, qui me regardent dessiner, m a:
étage supérieur qui fut renver.sc par un tremblement de terre. Les pierres de •
et jaunes, telles .pie celles que l'on trouve dans les fameuses ruines de Haalbai
Kol'r Bir'ini fut pond;mt plusieurs siècles un lieu de pèlerinage pour k
.appaili
juger .i'après
neis des habit:
tout à failàdro
XXIX}. Il reste ei
ien poi-tail scu.
ses rapports a
nlsdii villi,ge,
me aujuurd'hu
uines d'un aul
large i'.oukm: 'Il porli
é délrn Il par h
irent aussi .pi'ds se rappellent avoir vu 11
I ¿aifice sont on pierres calcaires, .:omp;icti
l les murs du temple de Jérusalem.
t question dans 1 de
Samuel lîiir-Siinsou, eu i iio;il renfermait, dit-on, les tombes ae Baruch, au prophète Abaïas cl ao plusieursriibbins juifs,
ainsi qu'une belle synagogue élevée par le rabbin Siuiéon Iten-Jochai, dont la tombe se voit ¿1 Meiron. Un autre itinéraire
ao i564 parle égalemenl de deux synagogues en ruines; un troisième, de i56i, rapporte .pie Kefr Bir'ini renfermait le
tombeau ae la reine listher, auquel les Juifs de Siifed avaient coutume de se rendre en pèlerinage à la fctc de l'llrilll^
Kefr Uir'im, autrefois célèbre, n'est plus maintenant qu'un pauvre village maronite d'environ 4S0 ii 5oo i'.mes. Quel-
.pies villages s'aperçoivent aux alentours dans la campagne. Oeux d'entre eux offrent un intêrêl bislorlque : iil-lljiscb.
fancienncGi.scbala, vers le sud-est, et Sasa au sucl-niiest; d'ailleurs, le pays niontagueux domine le village et soustrait à lii
10 le» lieux
Si notre
tienne. Domain matin
agréable et varié. Au b
large vallée boisée, oit nous.
dinairement gros comme lu li
bleui'ures. On trouve ici ces
Après Itiimoscli
lii.pielle nous arrive
dirigeait en .Iroite ligne
•tant de l'aire quelques,
il, vers l'humble Sour,
la nuil, a Kefr Uir'im
. Sud,• rs Sáfe.1 cindri.
s |>ro^'l
soleil, ;iyant ce jour-lii u;
is près ae Uemeseh, grani
•auchons
.•illage m:
•l d'arbus
ville c
, et de neii
is ae quatre liei
:harm:
is le lit ai'ide du t.irr.uit, nous en obsorvoro
un enfant, qui présente, lorsqu'on le brise,
X en .si glande .piantilé qu'on pourrait facileii
;e iilaine, nous entrons ilans une autre [ilaine
1 c.Tlaiii espace libre .pie re.-oiivrenl les rui
c l'orme parlieulièio, c
ciilcédoines blanches
' Ij; clocteiir Holjinsoii, qui visila Kefr Hir'iin .[udqiics scn:a:ii05 plus lice. (V. iM'rr 11
J, |icnsc ()iicccllcsyniigosue,ninsiqu'iiiK-niilroiiiicui roiiscrnj.;, iipjiar- I, 1,1
11 atis premiers slides .It. Ti:« elii'dlieirac. a I'ipoqae o>. la G-ilitio ^ Curj.iolj,
iiil le cenlio jivlmipil .lo la popaJalioii juivc. II inpporio i^lcuictit .[lie lic-fr Itlr'irn cl 8
ii'intlpiil nililiin ilcSiiri'J, i|.ti enaiiiin.i c.:li.'iiiicriplinn siir les liens, ne ien5<.!iis.i.ii two