I l.ihidi, près (les
•Muher <k. solc-il,n.
l' \V;i,
l.lv l'AVS D'ISUAKl,
,i;,meluns clc NiKa;
liameau de Thellliàllia. <
s sorvitciiis (irossaienl la (
1.0S coiiluurs :l,i (.venúm-
111- el du í'ioulou útail Cl.
1, avec sos ondai
1' |)assí' le l.itùny sur
I aussi suiis le nom de
.j-avaisdevamk-sjCL,
1 so vnll;.lent déjà soi
r,>u,r, à u.csuiv ,|uc loeil i.lou L dau.s
Í dos .-olliuos l>ni..Vs infïvicurcs, .'•ilai
s puro et |)lus légòir: puls c-iiliii la m
iiuiicl l'I. Xl\'...
..|<,uos dovuler vcsti|;e .1
lice. On ue pcul dono dire (|ue le Ilrrn
¡nix liabilaiils de naiiias le hiNC dei Iioi.
. du mont Ilcrmou esl uue des leuiau
Millipliées, SOS leii
upielle rùdeiit peu de ^
mpik- par ie liév. ,1. I,.
qui
gei II!
iciir plaeé
u faiL réi-l
lla^'c de Râsdieiya .à eju ii-oti cinq lîe.ics uord iiord-esl de IIàsl)eiya), Il p:issa di
iiarqtiabic. "Toul ce speclaele et tous les liieidojils qui s') nillaeheat [cVsl ainsi ([
reni une impression profojule d'adiiiii-aliou el d<' U'j reiir. Un silence de niorL ve'-gi
le voix de créalure vivante ne parvenail à mon oreille au inonieul où j'étais an
iste ¿icnduo de la terre el de l'Occaii. Line pon^cc solennelle cl mystérieuse cuva!
L- disais-je, l'as naluro au inoincnl oii i\oé,du 11 de l Aranit, jclail
rei-ai^s!
iistruil atix cpo(|ues les plus
.. i.es rra^nieuts de rolounc:
.. cl.
ipril ; ici devait <'li
le monde déserl ; tel serait ce nioude si la tolère di
sam allii,-.ion anx ruines d'uii Icmpic (¡ti'il su|iposnil avoir é:
rpi'oii appelle aujourd'hui Kalal-Aular, il coutiutie en ccs leri
|Lii j;isaicul eu monceaux confus, aux alentours du pic sur lequel je me trouvais en ce momenl, étaicnl
eides iraees de l'aclivité humaine .pie l'oeil pùl disliniii^er el les emblèmes de >a i'ail.lesse. La nniin d
lélniit le relief hardi de la sculpture, el mutilé l'ordonnance symétrique des colonnes ci des eliapilca
•lle-méme semblait avoir vieilli. J.es collines cl les roel.eis des deu\ colcs élaioul ^ ioleinincnl déchirés,
lit [U'orondémenl sillonnés par les toirenls, tandis i|ue les lincnns de ueige disséminés <•;( el là sciiibli
:le.s de cheveux .lui sillonnent, .-^ans la eouvrir. la léie dm. vieillard.
•s JOUI
liées de l'a.
• M:ii il y avail dans cette scène d'aiili-es c
éucmenls célèbres dans lesainiales di
me temps bien au sud des pies los p
ilicr, [ihi!, haul d'environ ciui| mille
Israèl, depuis la Méd¡
s l'ailcs pour a
nde. l.e llerm<
r le
pieds que
esl, Il aperçoit e
l la CmMle Mrr
eionnc T_vf. la rei
ne; bien plus loin
liaisne
i brille
¡s.lizrehel,Sttinei
•si le Thahor-An
.. loin à l'oi
mie d'évéüemenls merlaine
du Liban, Il forme, en s'élevanl, un magnifique
ula-ncs cnvironuanles'. Il d<.mine ainsi presque tout
pui.s le Jourdain jusqu'au désert. Si l'itil se dieis;c vers
mime de l'or p<ili sous les rayons du soleil eouchaiil:
loiiv iiifcrieiir <|ui s'avance derrière ces collines, c'est
leiil le l.ihan. A ijnelque dislance, on aperçoit le Cap
l,a aussi on voil la vaste phdne d'Ksd.-aelon, <|ui s'éleud
et ^a/arelh sur ses Ixirds. Non loin de la. ce petit
enfonccmeiit profond, ou iipeiroil le.s eaux traïujuilics
liijiie le cours du Jourdain, Ce f;mupe pittoresque de
iilcaii élevé sur le ilane de Galaad, .|ui se prolon;;« au
rètes élevéeii el parallèles du l/ihan el d,- l'Aiili-Liban,
enlre leurs fiancs la Ion-tic vallée .le la
<• va=lc iiUiim. co.iv.'rlr ,1e verdure; oint 1
•ouper dans cet ch oit espacel A leaver-s ccs collines cl
' Jonnmt fir Sucrfif ¡Jtrvaiuyr^ lloioljor ]fi,>l, cL /'Vtv yrur^ in
bj- Oif rtcM. 1. !.. rorkr. (.i.acl, laii.
3 11 faut ou cxceiitcr, toutefois, los pics de Nlli;i du Lilmi, airi
- vaillance d,' IJiivid, la sujri.ssc ,1e Sain.
.. de la vérité éleriielle cmiinée des cieiix,
« l«««c» «le la puissance «i ,1e l'amoin' .
monde; elle l'ut témoin de ses miracles,
magnifique de notre .-édemplioii, le jo
- des pécheurs. Sur cette Ierre, la mort e
. enfin a été le ihéàtre d'èvéncinciits véué
- loiirla viileur el le patriotisme, el où s'.
r oil le Fils éter
Satan hire.a va
Peut
de
Il clév
[lelils, dont
e de profon
e pays.' I,;, ^•asto I
n hrillaiil diademe
loiil particulier ;i
environnée d'une c
. H'ès-éloi-'iiées des
e de Uáscheiya a Dai
L-1 fraiehes forets, ait ol'ferl un
du ihnmon était, pour ainsi .
Live encore les ruines: quelques-unes ne se
trouvent dans des endroits plus écartées, dans les profondeurs se
Aiha. il Huklileb, à liekk.i, à B.u-kousch et A Deir-eWschavii'
Ain-Ala et Ain-IIe.-!i,-hy, entre Hàseheiya el Hàsheiya. Lin peu (ilus
connaissons déjà. Uuirkliardl indique des mines ,1e temple semblables sur le versant uié. idio.nil du lier
de Bauias. Quel,|ues-.ines furent visitées eu septembre iSSî par le Rév. J. 1-. 'l lirupp, qui cite les ruiu,
l^eh-nawar, de Beil-el-Baràk el de Massisa. Snivanl sa description, les ruines du lemple de Kcfr-Hawar cou
aussi étendu que celles de liaaibec'. Un a.ilre site, ,lonl nous avons bca.tcoi.p eiiteiulu parler, mais ipi
lias en occasion de visiter, est Kalàl-Bostra, un peu plus au nord-ouest de banias, Itobinsan vi.sita ces r
en suivant l'exemple de Bm-ckhardl". Suivaiil l'opinion des gens dn jiays, on trouve encore rpi,.|,iues au
les flancs de cette montagne si i-emarquiible.
Nous proposons à n,.s lecteurs de nr.us suivre dans une excnr.slou on nous devons visil,^r qu,.|ques.>
11 de c
Mou IS ¡;rav
relie.
ildou.
il une belle fontaine n.imm
dellAsbeiya l'i,léc d'élever,
sépare du village de Schuueiya, sil. plateau en,-orc plus élevé ,
vue plus cten,h.e. On y remarque dans la eo.
nous occupons en ce moment un em]>laeeuienl
bien qu'il soit impossible de coujectnrer quelli
traverse le col méridional du lle.-mon; il est I
les habitants à élever une ville eu cet end.oil.
celte opinion. On y voil des ca.-rières dont les ¡lieri-es, cxlri
la forme de degrés. Des meules de mouli.is ef des débris d'
l les roches de plus pi
l'esl de Ilàsbeiya.et mms
Ain-Koiiuia. l.,a salubrité
ce lien une villa d'été. Um
; celui d'Ain-Koúuia,el q
'airel le speet
i.rle distance i:
.aille
1 tique
1 deini-lieue
indi.,,lent
? Ces iTStc;
c- de Sid,>n , Dami
moment oii l'auteur
,1e Sehu>veiya lui
ville. El eependai
il'firii
sur les heu>
pi'elles r
in.s les siècles
. delà de Sehn
SSO à huile d'ol
s y distinguons
, <|UI
. des s: :ophages. C'est ,lo,ic là q,
.•irconstauee ail déterminé
indices viennent confirmer
subsister dans les rochers
seul de nouvelles preuves
•hambres soul erra ine.s. Au
pluies; mais les habitants
jadis la nécropole de la
ucun compte des débris de moulins et de prcss,:^
ancienne de Schn«eiyn, combien il e,t probable
'importance de cet emplacement s,)us le i-aiipon
aurii.ns pas.sé
uatuiT. Notre dessin . Pl. X\',.
d'épongcs gigantesques, et ,p.i
mps, l'action du soleil et d,> la pluie, au;
cyclopéeuiie el des ruin.^s de ville la où
llustrer ce fait. On y aperçoit des rochen
il.'roire à une oeuvre de main d'homme, n;
: El, d'un
s pierres de
lies elles doivent les forn
existe en .-éalité que les i
nés par le temps, présent
a dispositif,Il de le
aspect
ouches
fas
élé la seule créatrice. On y observe, en même temps,
ttentioii, mais qui cependant nous guident dans les recbercb
uterrains ou furent déposés les morts d'une ville voisine, soi
:0S jours <lans la construction de Sehuweiya.
irarlérise, d'une façon absolue, de pareils sites en Palestine
l'I' ' Voir In descriptiira ,lúluillée pjir liûbiasoii ; latrr B/W. ilo... p. <3