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M'halrmil.MvUn^
l.li I'AVS D'lSlI \KI..
II l>kni-iiuii-iiilir>iUck' (I'O
II cli''|)ivssioii ill' i joi i |iii'il:
oclciir .k «>i.tiv, c
,ssrMl;„is<x.smoi.t;igi.c.. Sil
i-iloss-iis iliinivc'au .Id;. Mr.l
-i.-blic'li |i;i
oii.hn- >!.•
)o i>r. 11 !>»• Mill«' IIJit . r>
.hin( .U-^ pk'cls L'l lies mains.
I .'vigiioo. Sni.rl.'ViUiou clan:
«Is. l làwl c le G ranci y achtvii
la lonçu I lui
.1- et fliiiuiiR'c de vingl-scpl
irlic ;>iii' U'ynuul [HTlrc Jiitialliiiii, c-l cmnmeiH-i'i
i:lk. ch.ll C'iilnunv .l'un mur de s.-]it sla.lcsili' riiTo.ifàvmv, ck- pliisictu> molir. <
loiirs. ( > n,i y l.àtll un Inrllllù .i mu- -ranil,' uliigilifi.Ynir. ri y lit iaillc.' clan, k- n..- <!.• vnsU's ^iTiiiors ca .l'aluin-
,l:inl(> eiloi'ncs. .k- inaniÎTC a ivii<!rc U- Ibrt in.A|.n^nial)k-. i^poruliuil. .•niiiinc louUravjul liuiilain, l'oetivro glganlcs<|lic
a il.'rnclc ;i .•u ses limiics. .loscplu-^ nnii^ a kiisM' un icril dcaailU- .lu .Virgc- cl .k- la comiu.'-to (k- Alasacla pav lo giiivnil
miiaiii Flavius SlUa. Ccslri,'.' c-sl c.'Irbio par I knri il.k' nirissacre iiniliu-l d'I-léiuav cl (lfs.-sç|6(i ooinfiiiicnons, anciiid iiiir
prinvrc iiu-i'o sfiilr, rachrc clans luie des c>av.-s, ¿•cliapiin. I^'s ruines de Alasada .'ie disliii^niciit eiilre l<uiles ocllcs de la
l'alesllnc- par kuc- .••li.l de ,onservaliaii. Depuis k s murs j;ig;uil0si,ues cl les tours ji.srpi'iuix iniuiinhrahles débris do pole. ic,
som.-s piiniii les déroiiiUres, tnul > a irurdi' un i ¡udu-l de IVaiebeiir i|ui prouve iiuc ik-iuils des siècles le pied de l'Iioimne
li a [>!is focdé ce sol.
Masiida est un .les endr.ills les niic;ux choisis pour avoir un paiiorniin
l.eiilre lesttiu-L-arpees , lles so distinsue si
ic dessin
de la iiKT AInrte. .Vu nord se dressent
oclicrd'Kn¡;iiédl{aujourd'lii,¡ Ain-.Tidy).
belle rl.ainc des montagnes de Moali, avec Kerak, la capitale aclucllc.
. Au snci à l'es tic,ni lé du lac sV
s'ouvre le W adv- Vrakali i-oiiFon
e la Mo. . le Ojebc-l-üsdoiini, et plus
UU.-III.ut il snll le rivage : 6;ins cesse il faul le .¡iiitter pour gravir I
onsgar(lcriiri"iioiis iVent i-epreiiciiv une expéclitinn :iii.ssi illflieile et
ontes parmi .les rochers .1
•onKHitoirc-s cpii desc endei,
ii rastidieiise. Nous i.réicri
spcct inabordahic.
cdans le lac: aussi
•iter la |>artie sud,
, pcnl rendre de Masada en e.itoya.il le bord, mai:
1 iloiic lie iioiiveau dans ce ehaos désolé l'I. I , \ l \ . Ileiirecu sonir
m tbinsle creiu d'ini mclier an fond de (inelipie vallée. >i.iJS ckoi
est plus dirccle. Nons nous ei
id nos ISécîouins déroiivreal ti
droit pour y dresser nos leiilt:
et là, maitres du dé.sert, à l'abri de villageois imporliins, savourant un doux repos bien gafiné par laut de f'aligiies sous i
l,ean ciel d'Orient, tandis .¡ue nos liédouins s'ain.isenl a leur n.amére autour dn feu, .p.i dans la simplicité primitive <
leurs moeurs lenr n servi de four à ciiirp Icnr pain, nous faisons niie liiilte, la plus délicieuse de tout notre voyage.
LIik' de.siTiile. plus pénible (pie toutes les autres, le kiiii; d'iiiip pnroi de rochers giganlescjiies, nous amène en ui
heure eiivii-iin au hord d'un cratère ipii parait être le produit d'une action volcanique. Du sein d'énormes hloes de calc-aii
légcirmeulj:nin;'itres'èk'-vc-,m rocher .solitaire, si.rmouté des ruines d'un petit fort de coostriiction sarrasiue. Cet endro
s'appelle cï-/uuoiral., maison k-surnomme . el-Tahla,. l'inférieur, pour le ilistiiigner d'un autre fort ruiné c/.-Zuweira
- el-l'oka... le supérieur, distanl de ipiatre lieiies :iii uonl-ouesl. I.e nnm piirait empriinlé il relui do Zoai-, comme le no,
ifUs.loi'im- donné ii la nioiitagiuMoisine. rappelle ceini do Sodoine. i;e|>endaiit le savant docteur 1'.. .Sinilh préleml ipi'il n
uidogieei ville I laquelle l,o: I .l'aillciirs ]>:is dans la nioutagne
.. XIX.
•posé et déchiré les couches calcai
>1 de la violence des I
•. A«M\c]mnmti,rihr II. i:r,.,jr (»,«/„„, 1850, v.il.
> IIU'IIIC ïoyii.ïciirciicli; Ml. ili'jiV ioiiaLnlé iwrie prof. I.(!|isii
Morti' Ii'.«i'Iii.iul il.^imiirvi,,. di. lo nnimnlc (n;/;,r,
.1 irniivc ,lr |>,.|ii» poisons il'iia Iroi« ¡k-iic.-!
K l'WS D'iSilAK!..
•• 11 e
e de lierto
le de la pliii
Icdépr.
. ihi
(corps roy:d d'iiif;énieins iinglais), et celle.s faites p;i
I,es sondages de ee dernier nous ont appris ipie la
pins gr:inde profondeur atleinl ein irou I.AOO |iieil.'
l'ondenr seulement; <m peut même, d:ins certains m
péninsule au boitl opposé. Comparant <TS l'aits avec
XIV, «, loj, et le récit de la destriielion iles villes
f Le bassin profomi de la [.in lie de l;i uiei
liio d'eau douce, l.es eau» du .lourdain c l celles de
bonis, et dans la plaine de Siddim laujourd'hui le h
laine avec le germe de la
.. XIV.,S; XIX, /i ,
I déposé.. ,
n b i c p i i ,
lac .Uphal
i S i , une rertililé telle
epiiysii l'Ègypie el i,
.trophe finale d
illes furent détr.
. moment, baigi
•s couches inférieures amena féhoideri
e:inx a eoiitiiiué ci i-oiitiuiierii toujour
été ahsorbé'C dans le la.', ou jusqu'à e
d |-;/.échicl ;eb. Xl.Vin. . l . la .guéri
irant d'eau dotiee, dont la source sera
littériil ou dans un sens spirituel ? iXoc
progres de saturai ion .les
dissoute pur les phnes, ail
entre la montagne et la tr
Quant a la propllétie
par l'introdiielion d'nn co
l:Ml:'Iiiv:dlérd.' Sid.liu:
•royons pouvoir i nliie,
rigatioii, devaient répandre sur s.^s
daiUe ipie Lot se l:iis.-Ki allerày éta-
.. un jardin de m.M-n.d,
iiul.'S l.-s villes do la iibiiiu',. mais cucinr ..,1,.
It des laiils de bitume .lorit la vallér était remlil:
vil uumi.r de la terre (n.,n
1^1 ciniséipience nécessair.' devait être l'écrouins
harriéres au .S, de.viil suhnierger le tcrle
cette immense conllagratlmi. L'incnidiitioii
•uites par le feu.
de la innntagiie de .Sel, au huut de
des eou. lies supérieures, et di's > :• mouienl kcpu'
tonte kl masse de sel du lljehel Usdoi'iiiK
liiele ipiel. oiu|u« vienne intercepter le eojitncl
:l.i bassin profond d'l^ugu.''.h .
u-Rjili.
la maison de ITUenicl a Jérus
IS pas triincliei' la (piesliim. .M
• de Dieu fait de n
us littéral, la gnéri
Aujourd'hui, comn
rger leurs chameaux pour li
¡'onratteiniire l'eMrémitéS.
les stalactites de sel. et hiei
eau jaillir une source de de
eau-; salées du lac, un passage pa,
a mer M.u'le.
ois. le Djehel t:.s.k)ùm fcmrnil le s
le mairhé de .lérusalem.
i..lu Djehel Usdoùm n.ius passons
•)uléeiei l'e.sl bien davanlug
leeliorts, nous atteignons I,
s de la.pielle peu-
„U.igues. .Si la ,k..s.
Iiarg,'.s ,1e hagagcs.
.Miduk'r, c
Abraham
es patriarches, m
,lans!a .saison .n
irgelle de.sijuels
' nous rendre .le Djehel Usdûùm
ancienne lieer-Seha, .silués au m
Uli |>leln .le souvenirs bibli.pies,
ins de .-es man,agn..s, .k .ettep
Kuneut au hord des puits creusé'!
iari|ues prulondes. Knfin nous ri
ruée de marche plus an nord,
Aro.T;, aux restes .le Bir-es-.Sebali,
lagiies de .Indée- Comme ce lieu est
lOUS plaisons à recueillir les ini])i'cw
us sommes. Nous nous arrêtons un
„sure séculaire descordes a laissé .les marc|ue:
leit .lehi-iu (faneienne Élenthéropolis), située il une bonne journée d.
us fait traverser les ruines de Kàmath-Lehi, anjourd imi Tekl.ekiyeh. ci
IS (.luges, Xli', iil-iy). l'iiis, prenant par les i>asses vallées h..rilées .le eolli
•hrc par la victoir
niagiies centr.iles,
ve.iirs hihli.|ues, u
allons plan
p;u- : nioder
à Keit-Jebri
.ar les rest.
LXXj. village u-i|uahle n
rahles d ui
nniitjao.lc l'cnil.lc l:i iiirr Morto, >oy. I.'jwl: «f^-"