L A SA.M.VIÌIIÌ.
Scylli0|)olis: ks iìivìij;
un sentier poiii'iu),is j
Quimiuelmilo,!
-lu l.'inp-- rl hi ^iionidur
(le K.iisariych i.'cl-Uphiiiio
.|i.i solcuci (lcv;„il
.Urnil pour les l.nn,,
«•Uc piuoli'dp l'EU'i-iir
(Lrv.. XX\ I.
¡iboinhuiU's I nriwiit. iiiai.s hi m
,>ls imligén.-«. Cela expli.
c- par •s hi-i
n Ik-IIc cl rinnli
s ù lii (h'r'ohiliii:
colli M
rolliiios dniiL Li i-ImI
nloiirécs de champs hic;
•eut li, plaine-a.. Saroi, . rolle ai'Ji/.r(j
sur i cmpiacemcdl rl los niiiies do (|ud(|uf aiiaejiiii' villc. Aii
Siiivoiis IIH Iiioincnl, loiijoiirs Jilas la niOiiie direchon. et l)icnl
ílr plaiiu; d l-:sdrrii-loii av.'c loiis sc-s cliiimps de l.;ilaille. Que <k
de llai-ak. dcSaulet dfs l'liilisliiis, puis de-.losias el do Pliaraoii.>éeh(. ,I.ií;e.
jusiju íiux liáis d':innps de Saladiii e >9; II Cl.roii.. X X X V t .les Croisé.
Tlialíoi'!
Pour j'oJeseci.dic .lo la hiiii
oieiiKisoii,. ot iioub iinus arivi
jouii. üii croit ]ioiivoir ulciililier
¡01.11.
nous est dcMTte, et les niiin-s de Cesáreo nu de l.éjr¡„ „'„„t auruii
II.- labsciioc ,r>.a .-limn,, do eoimniini.-ation. Quel aceompllsseuicnt <ie
elles villes sont désertes: la leire se r.-pose ot prend plaisir à scisalibats!»
e plaine do Siiron a l'aspect .l'un désert. C.imine aulicrnis des sources
fsl plus la i>.>i.r l.'.i utiliser. l;ne trilni .Aralie l'haliiu- seule penclani l'hiver
de tpiel.pt.'s pauvivs et nires vilhijces. sem.'-s il do gran.los di.stnneos los
^ .ommenre à .lenx lieu.-s envi,on de C.'-sarée l-n marchant vois cl-
.set son rhàteai. .-n ruines. Sendianoh. r,a<larah et Sehariu, K.ut.-s
:.iltiv05el de hou.iucts .l'ai-hros inajji'inqnos. Phis loin et pres.pio sur la
>ns un misérable hiinieau. uomm.- .liiànih,
ici les Ira.v.^ d'un chemin cffne.'-. Nous
n.,s pieds, comme uun oarto iuunenso. la
innli-s là .lepiiis les lcin|is rcrul.-s île Si.^era
V; I.Sam.. X X I X . X X X I ; Il liois, XXI I I .
H.<ploi
Jnkiu lord-oti
du piiys-(l Uois, IV, 1
deuil-lieue an nord-ni
lly au
•ejioun ulat
n h.Mcl bie,
. 1 JA- V.
ons aux ruin.-s de l,éf;io. dont
cet endroit avec l'ancionuc Me^'i.l(l.>, pL
nies reti-o.ivées dans Tel-Taanik et 'l'el-K
ahlcciiiplnecnienlde Megiddo .'•tiiil sur
es. Celles d'el-Ujjouti -sont parUt^'.'-e^, pur
lu mirent ou aper.:oil les débris il'.ni va:,!
pnii:
•.i(in ju.s.iu'a Napoléon cl la halaille .
•sseau. al'lhumt du Nalir-el-.Vti>kàta Ta
li.lahle boulevard de
omniéTol-Met/ellin
s pau^ lilies .s'y abri
laboure la le
>urd'hu
bail, auir.-fois staliiiu .l.-s eai
idlivant le sol enire les blo.:s
raipaicnt jadis de S(ilendi>l.:H <•
Jeniii esl idenliip le a 1 i:n-Ga,ini,i: 1 de la tribn d'Issach ar.(,lo
dins' .,osten.-o,-cai iijoui'd'liui parl'ai te,neulju.sti(i,-.. ,lenh i ,-,-,.l'e
aux besoi,,s .les habí laiits, va se i-éi>an die au moyen il uu a -inedu
abomL-nt;lave,-dur. 1: foncée et luisan te de l'oranger .-ont.
et vif dn si-ciadier. l,e .laltiei-y hai; u,ee....sloun'es graci
v . i X X I . v<j.;S..u
ore im.-snuree ab.
•s jardin, aulnnr ,
lent nvee la teinte
io ranviiehissaul d.'
ville. 1,-i les arlurs l'riu
irde en plein ses rayons,
ujour. QuuntaJeiiin, t.u
•iriehes, <i>,eni phune
;ne, plaine, ville, jardin
¡ l'oeil y cherohe
iir l'h.)ri/,.in, l:i ville n'olire
sil.-,'! inoilla^'iios, d.'.-itci'iMiu
•n s.nva.U les villai;os do Jeba. Fendekoi
it kefi-liouil .piclipie distance a d.-oil
rièr.i le Caruiel. Icjiavsi
.le vous regardiez, au,,
e r<>ii, dont les I.IIIS SOI
I.,
icieniie capitale il'lsmi'l.
r..eliersdeSa,it,ur,p,iis
,et lîinia; l'autre n.jus 1.
d'un site bibli.|ur' uon loin
leiit de h. ville denotliaiiu. 1:
s'a.crde p-n-l'aileiucut :,v.-o
védansceh.ide Tel-Oothiiu.
aqucd.ie. .\ii>.-;i le chemin .p.
uis tiou]ieaiix, et ipio |)ril í
le II. décide d.
sebe et .léróin.
1 eiiti-eSainarie .•!
en lixenlla positi don/
e itiiiéraiirido phi.s lo n.
de Dothiu. à Sidiem sera •
IS conduirait phi, a
le vallée où los Ira
,li/,.-éliol. l,a lUicoi
celui ,,110 prireul l.-s iils ,1.
.•rl(;euéso,XXX\lll,. Doll
oiitoie nienliouucdauslcs Apoeryp].o.s;.li,dilb, (W (i; VII, Vlil, :i, etc.j, un il .-st mis eu n.ppoi-l avoe Melhidie. Il es
ovidi-nt<|ue cette dernière ville était au sii.l et <lans le voisinaj^e .le llotlianinr. comine dau> tons le pii vs il 11 j
a ipic leeliàtean niiné de Siiu.iur .pii .•oiTospo,i<l.; a la ville l'orte.le liétliidie, ui.us er„y.>us pouxoir ideiitilier les den
endroits'. Ixs flroisé.s .isseï peu versés d'ailleurs .huis la ¡^éognipliie bililiq.io, ont leni. Saled ])o.u' l'au.-ieuiie liolbnlio e
le kbàn Jub Voùsoùl'pour Dothai., et celte tradiliou s'est eoiise.vée assez lougtenips chez l.-s voyage.irs ,les derniers si.'-cl.-i
iV niesu.-o (|iie nous approclious du liut de notre voyas;e, plusieins villa^.-s, les uns rapproelii-s, les nu très éloipuos
attirent notre iUtenlion. Knliu ii une lieue au sii.l do Sileh, notre clieiniii, jiis.pi.--lii toiijoiu-s ;;i';iviss;uU, atteint s,ui point I
|.his éli-vé. l,ii le uiassil' .le monla^'ue.s, du sein des.|uelles .-.'élovo la . .:ollinc de Semer . se déploie devant nou, en un ma
gnili.pie iianoraina (IRois, XVI, lieaueo.ip de v.iyagours ont parlé de cette vue avec admirai ion : elle a eepen.lant é|.
papl'ois trop vantée par eeiix qui. ari'ivaiit .le la .liidoe rocailleuse, n'étaient pas accoutumés ¡1 voii- il.-s cdline.'! bois.'o?
Po.ir nous, rpii venons de quitter les vallées ombreuses d'Asser ot de Nepl.lali, nous r.-.wulons moins viveiiu-nl oeil.- im
pressi..n. Il (iint convenir, .-u eiiet. ,jue les m.ligros oliviers .pii se In.ineut sur le vorsaiit de e s ooteiinx, conti-astent Iris
tojnent iivee la riche v.'i;ctatioii <le la Galilée.
KKpicdirons-u.iusilela célébrocapitale du royaumi-.i'l.-;n.él? IK-ti nile par Salnian.'-ser, roi des .Assy riens ' 11 Hi>is. XMI
elle hitrebàlie pin Gabiuins, ^'ouvorm-iir r,)maii., et embellie iiaellé.wle le Oran.l, qni la releva de sa .l.'-,-aileui-o poini
.l'on l'aire de nii.ivei.u une reine parmi k:s .illes. c'est lui.pii la déccn. .lu n.>m de Séba.ste. en l'h.mucui'de s.,n .o.izci-aiu
César Au-insto. Ce 11
t oonservoju.-iqua nosjonr
bn.ii>gade.|.iisoi'te
^-s rniuesde Sébiiste, .-t.le
siimmet de la eollin
•auj^ée deooloiin.-s pivseul
^ est l'.-glise dédiée à »ainlJciiu-I!a|,
• plus ^'rand des prophètes ». Les VIi
s'appelle la mis
•stine Cbréliein
. ,1 ».lis. XX . Ces Il enlieivment la xi
It mille. I.0S Syrien
a ville assic^.'-e. Ou s étoi
it.jnMpraiin.om.-iil .ni II
r l.-s pi-oph.-tcs. au iioin de Jélu
sa gloire. ..:i-;s.,X\\III, i-S.) l
.•s.le celte .'-glis.
11 bak.sehiseh rpi
u-lieute-de.i>: pruiees. était cnm|ic
lo. si bien .pi'aujourü'hni In foive
, di-vaicntvoirtoulce quise jiassait
.itaiits, ils iiieul retardé ,1e livrer
(Il lîois, MetVIl;.
qdis.se,n.-nl t.-rrilile des jusemenls
e la ville idolàl
ion.deSamaiie
L- lie • d'Kphra
.mpl.';le fOsée. XHI,
10 .„„(lri,u'.c i,;.r M..S1..w:m.|
-.^^jiMiíAVÁmmmMmuwumi