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l<ii-n.ói,r c'I le üi\,:„-s i-
••Ci-í. foi lilires .1,1 liii„n,l rmciil aiTiicliúc-s ;iti
.irlu. Molc-k-d..\»dirnl', suUiin d'ii-vptc et cic
oup« iilic,rcs .l,- sang, s |>f„.L,i,
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•1 ,>c,ulani |,lu.i.-.„
10II!, relrawnl les voyajjciirs de
t il« loiii-sclioi.ilfées.v.ici li
l,-f;.,nou>.da.r,les Dru
laiiiulnUl, Pocockr cl lla.siiii
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• clic noflVil plus
ilivseplicini; sied.
(les ( , iWs , cKjiie SaUil-Juiui
osl.-raurs i Tyr, plu.ô.
Bt s'cinl)ai'(]ucn;Ml »Qr lours ii
lil enliii iimv¿. l.,., Musalm.ui:,
s .K- il«-onil)irs';el id csl iiu-n
is In-cs soiKs les vnùles au milieu tics déin is. Ccpenclai.L l'iikhrtu'
reuilre ii'ly- s. s|.lcinlcur; mais il óeliou;., et <1 Ai-v,eux
'7«3 à «785. tnmvaTvr d-.n,. le luùme cHal, ,
voisine.-,, lors,|u'e„ .^(jr. ils sV-tai.^iil .vii.lus m:.
Sour a usi plus aiijoiii-.riitu ipiuu rende/.-,
nom il,' vilk.. Les maisons olVrenl un aspect pai
réecnn.e.,, plusieurs u.ai.ms „o,n es, quoi,|uos.
nu cunj) d'oeil af-réiiMe. sin loul vues à u.ic cel
tahiio, eucnlnu,en bois pravoiiant ao,srt)lliue
li;ré l'efforl cjue (enté
es de la ville dólruile.
.s de marchó, un polii
l'C el misérable, les ri
les à (Jeux élajfcs, qui
's voùlcs- \ i>liiey, dans son vojagt c
a rebàlir los .Mélavvileli des inonlii"'ni
IK.JUC si
Plein
enlal,
un peu de o
meules forn
J. Cepondan! i'
•mpèdu-,
7 por<
.porli
après
enirs hi.sloi
!• élabli iK
d'iiuberge i locan
l eneeinlc de la vdie, uon
niaj,'niliques édiiieos <inl
oelè scplenlrional de la vi
bris. (:;cmuresl eonslruil
dil.on,de 3.000 ¡unes, d<mt lo, Mólawileli-Musulmans forme.
•qnes, nous dirigeons mainlenani uolre course vers la porle de la ville du eúté du mur
" 'l'""''"^,'''; «"»»1 «"glai» américain, soil dans une ospoce
laeiu. a vie ouverlcaux voyageurs euro|)éen5, nous louons uue liar.pie pour tonlouruer
' comprendre corauieiit ses palais et inus ses
•t la parole du PropLèle. lin parlant du port, du
icicii doni une porliou olire oneoro ijuelnues dé-
= les al
u'il u
le pai ÍS foDdat
¿coulor bica
IS repose sur
is L-ependaj,
colonnes c marbre
nali.u.s dnuion.le. En raiiiantau uord-o
plenos de taille quo Ion distingue |iarlii
de l'ilo, Il
ic prolondeii
is de l'ilo',
¡S l'oiidaiious
J:i .ependnul
rible surlesrod.en
m en poussicre leurs lianes rongés par les vagues. De Bert
loué une barque lui rapporlùronl qn il existait ..uusi'oau un mur oui »arl u.t de |-<„„.», ,ln ri
tablil
s (l„ls de la
t, nous remarquons dans l'eau une li<;ue
confirmée lojiiniun de Mauudrdl, à sa
5 sonl aujourd'hui submergées.
I la lin)
• mense lil de piliers et de
eau daire et limpido. £u
indique les lijiiites oecidon-
: que la pins ¡grande partie
pore où venaient s',
baripae glisse sur ii
• quelques brasses <
leur a-uvrededeslruclion, jailliss
(oeddcnlale) de la péninsule crei
e quo les ¡üdigéues a
, soutient que re mur iorinail le port méridioûal ou é-Tniien de
•Ile par Strabon, Le porl septentrional ou sidonien fui primilivcmont Touvr.ae de h „.tur,. Il • 7
red-ilolsou plu.ótdo rod.... u'..,... r. . ^ '"''S'iudle
•arallcles à la
impiété l'ceuv
t hors dedouleque la main de I hoiiim
ci-sé les travaux de l li.niime, aussitôt q
>r. Delà partie extérieure septentrional,
le Iroinc le péril poil iiisigniiiinil de uo
Ciiillauiiie de'J'jr décrit un eanal ,pii traversait la vill
aslc port d'cnlrepôl au sud-ouesl de Hle. Do lierloti T
: l'eiilrepot'.
.vires pél
iicé à déle
port inUîrieur, situé à 1'
on entre lo porl se|)lenlri
•s plus petites. Sur It
e ,onlenr. n'imtres
linnnl de la ville;
sse couiparle de i
) profondeur el i
r Wilde' irouva.
No,
1res vovagei
rochers n ,•
•ud ,|
moins 8 pieds d'épai)
excavations pratiquée
cieiis .••dificos {il s'en
lkironl),alleigniren
inagiiiliques, tels ,pi
rs, (outelois, onl dédaré qu<- 1
intounuins le , ,'né sud de li, vili, ;
la masse .solide du rneber est r
-.seulenicnl je me suis ronvaiiicu
quehpies endroits I,.s indigènes,
a lil prepara
simpleiiiciit ,
e beur,
Hilles
s ,lcma •s par 1
au milieu de débris
de vert ami,pic et ;
mémo du roi lx^r. Cr
.s liai!
: bien |ilus considérable, c
•biv ljrisó,-s, fûts de coloui
sans qu'il semblât le moins ,lu moii<le rpi ils eii.ssent en
île la ville ipie l,!s dérnml>r,rs gisant sur le sol paniissenl recouvrir un ridie tr
10 gloire de Tyr. Je ne doute inillemcnlquc les fouilles pratiquées en ecLou,lroil iie
illcurs. J'Imagine môme qu'en praliquanl ces fouilles <ians les parties su,l-est el esl
n loin, ,los pans de murailles semblent se faire jone ii Iraveeslos .sables dont la n
11 une gramic partie de l'ancien mur [de la ville); eu clfel, un iiidigi'ne n,ius ayan
par une onvcrlure formie iieeidentcllcmcnt au-dessous ,1,'s sables, et qu'il av;
les piqué deeuriosile, et, suivant sou exemple, nous examinâmes le lieu à la luein
oha.n
espèee de rasomato Icsparede .|uaranle-six pas; la nous nous trouvâmes arrêtés par des dée
de pousser plus loin Quelle immense destruction s esi accomplie! A celte place même, m
de terre et de pierres amourelées s'osi élevée au-dessus du niveau de la mer, était jadis uu c
,piéfc d'Alexandre, ne lui 0])p0sa rien moins qu'une piofondeiuMlc iS picdsd•eau^
N<m loin de cel endroil . un pou plus vers le .sud-esl, ,ui voit une ruine curieuse ,lo
(l'I. XXXV). .Ses murailles énormes semblent indiquer une place de dérense ou un cbàtca
presque écroulé, semble révéler une origine qui romontcriiil ans iroisadcs. Tout prés de lii
omhrag,'- de tamaris, de liguiers et de mûriers, lieu délicieux de repos pour les voyageur-
Unie. Leja»liiiosl arrosé par une Ion la ino et d'anciens conduits d'eau, dont il ne rcsie à
portant l'esprit à ,l,>s jours meilleurs, désormais évanouis. L une des ruines les plus Iniéress;
cathé-dralc. qui forme l'anglo sud-esl de la ville actuelle (Pl. XXXIV), Coite cathédrale élai
et doit avoir été primilivemeiit nn vaste o( splendide édifice. II reste oiicore debout une pai
mais surtout ,lo l'oxiréniité orientale, des rragments du dioeur avec Irois uiches. Robinst
longueur avait dû être ,1c i5o pieds sur i5o de largeur L enceinte est rompile mainlenan
cabanes. Dans la cour ,1e i'une ,1'dles on voit une immense coloiuic ,louhle de granit rouge
sans doute, autrefois était nu des principaux ,.rucmenls de la oatb,-.lraIe. On trouve cueoix
la ville, ,lans h's ornimiIs
a recouv.rt l'islbme, ou
ipporlé ipi'il s élait nue
ni, il ré|>o,pie ,1e la ,'OU-
.s joignons lei le dessin
i voudrüieuly dresser leur
te heure que des débris ive
dans le stv
(rémité occid
, ou trois mUérables
andcb,-aulé,ot qui.
trcriibleinenl do icrre <pii eut lieu eu janvier
avea,lc el plusieurs autres parties de l'édifice
le la ville, d'autres .-otonucs île granit gris ,rune plus potit
.83; a fortement endommagéccs magnifiques ruines; il a ro
Maundrell suppose que cel cdifice fut c
ICusobe le représente comme ayant rang d'égll
probablement dans celle égli.se i[ue furent eoi
perenr Fr>i,léric Barhcroussc
Voilà doue 'fyr. la vdle royale à la.piolle
• snsié plusieurs peuples par la traite des man
" les plus honorables de la terre, ville renoimi
. ions ceux qui habitaient en elle!.— « l>ar,-e ,
• a dit riLlcniel, je vais l'aire vcuiri:oulre toi d
.-é par Paulin
calbédralc. et
Il as élevé ton e.
e de. Tyr, au ,:ommeu,cmenl du ,piatrième
;s leinpiosles plus maguilìques ,le la l'béuicic
-e de pvinecs, el en.sevi'lis les restes mortols d
le de sagesso et parfaile en beaiilé, " celle qui