l:ililrc>. |><iiii' ci'hi I
irlii'i'ii Mc-iJc'l-Rci
Ilols ¡ili|xUiuin, MOiis V.
1)01.» Ic actum-.jui
Irsviillcc-ssi bicii CKIIIVI:
».luvofic Uu
liTS-|ieii|ilOL-, iDiil ccia a
|iciicl.inl iiiiciiramlcirsi
imi t CCS |i;u'Uoul;inlcs,c
Khinlii oil Haifa. Ic
^¡ron trnis mill.' aincs,
• I'l. Xl , l \ , . Uii ])i'ii |)Ili
<ic lal'aleMi,.u;cai scs :
(lalioi.s Ics i^iis repoiisi
(•anibrt «liiii hiilcl, fail
.Naii.moinscclte deniici
soul mis cii .liiu^'cr |iai
i'ornic p;ir le lu'omoiilc
lirui., ALcliii, S<-licr,V.,.
IS la aiiwlioi..dc roiiiboii.
in- Ic du-iiiin do la colc, c
I lo sud-est eie b |)laij.c d'Akka;
•cdcSiscva lui caj-loulioda.isses
Miaii'a.
:n|)lifm de Unii de dóliiils,
iciidrait bieiilòl l'astidieuse
ies rollino:
vigilai
e la Galilée TliI
Ú de leur
i dosJuifs' .cl |uobal)li
rerapai'l de l'oniie à ]i
ralemcut des bo
s [H'ólorenl de boaueoi
lance. Sa rade osi beai
veuls d ouesl. c|ui
iuléi'ieiir du Caini
vii'on uuo lipuro de [irouieuadc pour i
Isou bui esl,oommc lo nòlrc, de s'
s, les IVéi-cs cai'mélilcs, le curieux iilbi
ux, |joiir lequel il
n route pour i
adió à
illés dans 1
>nt di
tlcml-lieure de la ville actiielic.
u voyage d'exploration au Carmel
It le Sveaiuiuuni des Pliciildciw, csl uiu- petilo v ille d oul'èa
(|u;ulriititulaire, ¡idossic contre le piod du Carmel
tiefois uuc tour suiipléuieiilairc de défense, mais cello
:lca lonips passés. C'est l'un des endroits les plus sales
fs égouts- Uuo averse y rcmplil l'iitmosphère des éinajue
ies babilants échappent à uuo pcslc ponnauenle.
ir le pronionloiro du Carmel, et disposé avec lout le
. s'y arrêter pouf faire luic balle plutôt (|u'á Ivliaifa.
•ou]> meilleure .¡ue celle d'.Akka, el quand les navires
ur eettc côtc, ils liou\ cnl dcvaiil Kluilfa un abri sur,
•ire à Khnif'a Iii \isite de (¡ucl(|ues navires el uu eenaiu
ul établis la lies agents consulaires,
lerde K.haifa ati oouvcut du Carmel. Le voyageur n'oserait le laisser
Kor inimédiatemout plus au sud. Le bàtiuient lui-même, avec ses
lies étrangers qui foui visité, la vue dont on jouit depuis la terrasse,
ux, toutes ces raisons réclament une visite. Mais le grand intérêt
la montagne. Aussi nous préforous redescendre à Khaifa, examinant
et l'endroll oii de \asles fondements marquent l'einjil a cernent de
oblenn du Gouvcruenr u
•s (|ui couvrent ses bords.
mis par Bcrj.imin .lo Tuiid:., £.(,
L I : J \ IO>' T CAUMIÍL.
AI¡n'd^';"l^'ollíl;llre,au^nnp ries parlic» iiiléres^ianles <lu Curinel. el eu mòn\e temps iuiniue îles ruines ijni bordent sa
base occidentale, nDUS.conuneni;oiis par doubler lo pied du promontoire escarpé Mir lequel esl bàli le couvenl, puis nous
longeons la còle durant environ trois heures ver, le sud iusqu'i'i Alhli't.
O l l e ville esl .située à dix iniiint.^s de la grand'roule. sin' uu petit promontoire (l'I. XI,Vj. Une l.ande de rochers
|iarallèle à la còle, .pi'elle lougc durant qnelipu' temps, la dérobe en partie aux yeux du voyageur. Jndis ce leuipart naturel
a du rendre impossible l'approclie île la piare. Sui'bi bauteur étaient .l.'S leurs l'orllfiées doul les restes n'ont pas encore
disparu, olle seul chemin pour > pénétrer enn.liiisail à travers un étroit passage Uiillé dans le roe vif, formé pnr de solides
portes Cl muni des deux eótés de chambres, depuis lesq\ielles on pouvait attaquer l'ennemi, tandis qu'il chercbail à forcer
l'outrée'. (> passage, taillé dans le roe, a fait donner auci.-nnement a la ville le nom do •• l'etra tneisa'-.
\ l inlérieur ,1c ce mur iK.Unvl se trouvait une soeoncle mnvaille, construite en large» pierres, el maiulcnanl en
. Ce s
•léfcu
ir allail
la for
•. foil
elle-u
autrefois la riladollo do 1.-
le second mur el les ruii
qu'était le port. Oe vaste;
rt les ruines encore bien
dables el d'épaissi-s eolom
„.re gothique montre que
Castrlkim Pavgmiomm, 1
il beaueoui
•SI pou
. luuKq'
rd.. bàliments avec d.'s toils soli.leinent ^uùl.•^,
écs il'uiie églisc splendido, ou forme d'.ni daid
l'Alblil doit avoir été anlrefois une pia
inos rcnonleul ai. temps des Crolsades, alors quo c
•l forlidée par le.s'IVmpliei-set l.'s chovalie.-s Touloul
.•omontolie el comph'Manl de .-elK
sidcrable ci paraîtrait avoir lòniu
petite baie, et c ost là probal.lemeu
n khan spa.i. ux, une lo.ir colossal.
0 hexagone avoc <los voùl.'-s formi
, font
,le ilalo p lus ano lenne. Sa grande fo.re Ini (il se; 10 leu ir .11. siège ooiiti-e le Siillai Muadh'om, ou i^.ao; n .ais. .pioi.prollo
demeurai pendai.l un long espace i le temps nue pia..- lie grande importance, cil e fui a'pendaiil pri>e et d élrultoen i><)',
après la c on.picti ?d'Akka par kSul la.i ILI-Aschra f. Cél.i lit la deniiéi-e Ib rlo.'cs.se q ni tint euooro ou l'aleslii le. Dés Im-s clic
ne fui pa s rebâti e; aussi les ruine. ^ sont 1>.MU. •oup pi us entières i|uo colles que : Ion ronconl.-e ailleurs < ians le pays. A
din'ércmo s úpoqi i.'S, on eu emineii ,a des masses lérahl.-s de pier res lailléoi 4 po.ii- la recoiislriiotioii .1 Akka; mais l.-s
nuilériai. X de plus graiulodiiuensio .•étaient tro. > lourd s pour être rem liés, el l'o n peut remat-iiiioreiHoro entre aulres .les
colonnos ile gran it gris d'une taille s ;iganlesipu-, i i.'csel hrlséos,ei 1 haigii.Vs aujoui .l'liui par la vague • de la meri, l'ou-
(b-oil oi. nagiiiu-i . les g.'anils .le la 1 erre et leurs. années .léha.-ipiaienl.
Q.ie Ilo anri. •nue ville rxislail 1 a avautquch •s Croi; .ésbálisseiillen. -Casiolluil iI>o.-egriuorum?C'.'.st ce • qui est demeuré
.•e-Tout ce ipi'on peut affi rmcr de plus c-litude. c'est ,, lie l.'séiio rmcs pio.Tcs eu bis<-au. é| )arses autour de
la second e ligne 1 le remparts. Cl .l'a, litres restes s. n- lo m ur exti-rieurforr 1,0 par la . lalure, indi<¡uenl .me lipiité beaucoup
plus roc. dèe qu c le temps ,1,'s C roisades'. Le docto .ir liarlb fait c ihserver' avec justesse ipii- la ¡.osi lion .slrat.-gi(pie
dominali! la grau d ro.ilo còtié. •e eiilr c -l-yr. la l'hilisti io Cl l'flgyple. no saurait être dcn .•urée inaper.nic
,1,'S l>héu icieus, lors .le la prospéi' ilé doCanaai
A nil. urd'h.i 1 Alhlit .'Si luibilcr pai- mie pelli. e peuplade pauvre, (|ll i vil dans des luitl.es au milieu des il 'iiines.
DéK .unions malutenaul noire alto,Ilion de: ! ouvra ges.les hommes iponr les rc]iortersnr ceux de la n ,ature. Apn^s uu
traje, d'u .10 ben •e à iravei-sla plain :e, dont jadis les cha mps fertiles r.'jo iiissaieiil les regards du voyageur, el ,p.iai,joni-d'lini
I;,lióles. rr<mlK w Kg^iil, e