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s pai- 1
S.1U imlifii ,leU. I.
porMil. Du còUM.
cl icur cl rondes eu cicdi
irhitiuollc l'Iail l>àli Iule
,<• S-raïulc ruclossr cl a
'iiiscnplioii. Ou |iciii
novj-oiw. i collii.
>$iblc iiu'il V {
telle l;u;oii, ot k-s qi.ulqu«
•e un |)lus ^raïui iiombie
scifçuc-niciils J(. mou guiile, il y ;uiiMÌt. cucoit, suspeii.liic sur ses gouds, I'uik' des |>oi-les do iiicrre ijiii fc-raiiul IViili'.'o-
Nous ne punvoiisdc-nnii-c- ,|ue jicuvenl avoir .'•li''les ruines imino.iscs, mijoinii lHii iipiK-Ice» Belàl, avec leur auciei
temple. Le.n- pusitinu si éiiiincnlr sur la pins haute rolline de l.i (ialilóe sepleulrioualo. cl U. nombre considérable de nunc;
dans lo vuisiua^'e, Ibiil supposer, sans aucun dnulc, une place de graiitle importance, l.cs restes du temple jiarai.'isenl èlr.
d'origine paioiin.-, mais d une époque biei. anléi ieure au>: ruines que nnus avons vues à llil)arlyeli et Tlielllialha. Elles n<
prOsenlenI non plus aucune an.-ilogie avec les coustractionsjtu!a.<iues de Kefr Birim; <•! ui mémoires hislori<[,ies, ni le;
menlions cjncii oui laites de piécéileiits voyageurs, lùiat pu nous mettre sur la Irace de l aiicien i.om ou du caiaetère priiDUd
de Belàt- l>a seule iiotieo que je rcnrouti e sur Belàt se trouve dans Seetzeu \ Ce voya^jeur passa tout auprès de ISelàt.
au sud de la colline, eu allant de la còle ii Saled par le chemin ilc Remcseli et do KdV Bir im: mais il ne gravil pas la moiiingne
puni- visiter les ruines. l.cs .loeteurs Robinson et Ùlie Smith vinrent à Belàt quel.pies semaines après notre visite.
Hepreriant nos montures, nous n.nis dirigeons de la vers la cé>Ic, où les ruines de Kalàl-Sclicnim;i, perehécs sur 1«
hauteursdueap Blanc ou i\àsei-Ahiad,n«<isout. depuis T j r déjà, invités Aies visiter. Cette roule nous lait faire connaissance
avec nue autre partie du lieiacl-Be.scdiarah, ciui, jusqu'ici, étail clemem-ée presque en totalité une terra incognila. Durant ce
trajet, nous ue Inuelnins à aucune \ille et à aucun village de (juelcpie importance; mais nous rencontrons, à droite
et à gauche, .pielcjues ruines, d'anciens réservoirs et d auti-es vestiges semblables, indices ,|uc cette contrée fut <ians de
meilleurs jours couverte d'Iiabilations. Aujourd'hui elle est prescjue complètement ahaiulunnèe aux bétcs fauves, panthères
léopards, hyènes, cha,'aIs, ours et bups, nulle part ailleurs dans tout le ¡.ays, ne trouvent pour .bri un fonrré aussi épais.
Quejquc's-nuesseulement des ruines sont habil.'es p;ir des Arabes, aux.piels personne ne dispute un sol des plus riches pour
la culture et des pâturages des plus abondants. A peine avons-nous c|uitté Belàt, que les pentes des collines s inclinent doucement,
mais invariablement vers l'ouest. A l'exception de quelques prairies ou clairières de terre labourable, d'une végéla-
I ion splendide, le reste du ¡jays ne présente cpi'nn vaste pare sans interruption, abandonné aux plantes sauvagc^s, et converti
aujouni hui en un épais laillis. Cesi H. encore une partie du pays d'Israel on nous sentons toute la vérité de eette description
; .. un pays déeonlant de lait cL de miel» J)euter, X[, 9; XXV 1, i5;XXXI, XXXlll, -nj, elc.j, même an milieu
ous devient de plus eu plus solennelle, à mesure i|uc nous tr.iversons ces
s. nous sommes environnés de preuves évidentes que ce pays est encore
:l nous ne pouvons c]uc regarder avec e.spérance au\ (u'oineiises de Dieu :
le moissoinicur, et celui qui foule les raisins atteindra celui qui jette la
, et tous les coteaux en découleront. ICt je ramènerai de la captivité mon
on y habitera ; ils planteront des vignes et ils eu boiront le vin; ils feront
nos, IX, ,3, ./¡). .
ue notre intention fût d'allonger notre joui-née de marche, nous pourrions,
scorte armée fournie par Hamed-eI-Beg, nous apprnclier sans danger du
de la place notre gilè pour la nuit, a
de sa désolation actuelle. I,a solitude autoci
nnignifiques contrées, Ccpeudaul. de toute
susceptible d'élrc rétabli dans son état prir
l.es jours viendront que le hdioui-eur ail
semence, et les nioiuagnes distilleront le
lira les villes dési
peuple Isr;
'Sjardins et ils eu mangeront les h u
l'heure du joui- n'était jias si avancé
1 rumé de Scheinina; mais nous ne pouvons pens
dcincur e bande de misérables qui
.U.US laisseraient
•oiis, ])Oury coucher, u
scheikh de Ter-llarfa.
faire que de réclamer l'iiosp
Djcbein, notre derniere halte avant de venir a
brillante himière du jour, atteindre notre bui
logis moins de icntali.ms .le nous dérober.
Il peut sembler éliange .pie Kalàt-Schen
L'ndroità la fois sur 1
los bagages,
rapproché,1
l'il sert de
Il proiilei'
e pouv
voyageu inbrc
beaucoup de li r. Nous
• '1'"
que attirant les regards déya depuis Tyr, .lit été ju.squ'i
it le Jlàs el-Ahiad, peuvent aisément visiter ces ruines sans
• i85/j, de Almehpoiir'
lu-éliens .situé i, peu de distance ve
1 impralicable, et fut obligé de se
oniluirait à IvilH-Si'licmma; mais,
•ois heures de distance du cbàtca
oint de départ. Découragé par ton
istanee de ïarin à Kalàl-Schemm;
,émea,.,vslanld'errcn,euts.
Kalàt-Scheinma esl situé suri,
st • elle d'un oetogoue irrégnl.er, 1
arrasin. Les longs corridors voûté
u arrivée à Yar
0 qui faisait u.i
t, luidisait-m>. ir
e marche d'une h
t beaucoup plus ,
,t les plus lo
cbiigands. I/aile u-ud
c plan cl le slylc du
surmontée de I
prétendu d'un '
•ursdcs angles et y formeul
>is dômes blanchis à la eha
int Musulman ii nous incon
luels de la forteresi
dniiler que le cbàtca
1"'"J''I
1. XX.KIX'. Ha l'orm.
.Sion de Tj
une des approe
Kalàl-Scbcmm;
1 être i)Our elle une soince de grands emb
liers Teulonii|ues. (|Ue Brocard placca i|ualre milli
inte liifnc serait bien, en effet, celle-là; mais la posit
si de ICalàt-Schcmma s'i
aillées et de sarcophages
large IVI. a|ipelé n-
; scnlplés, dispersés
gc, et M. rlio
nilles decireon
•fel-Idmid n'<
importance, dans
Koukakif. ipii an
corruption du mol Rel'r .M'ka. el reconnatl là Ai>he
.:xix,:5oi\
Un sentier âpre et rocailleux conduit de IVI-l.bi
hase sud du l\às-el-Abiad, au boid de la mer. l'resqui
Iskaiiderouna, qui l'cprésenle le CdSicUum ScancMhw.
•c le MoiilforI on Monsferel >
e 'l'i.iim iTibniii;'; l.'i l'i-'^t'"
;qié jadis p
es auliipiC!
uriére-pla,
t Ahueh, rq.pelé Tel-KnlVonka on
•s, eie... 11 l'ail venir ce man d'une
fait Il livre tl<' .losué
t assiéger Tyr, et
r d. s Chrétiens. A cpiehpie
u n.(ipou
. ,1e la, no,
les degrés taillés
nom de Scala Tj-riomi
„al appelé Bàs-en-iSakot
e, égd, : ai lié .
„ifusi a de n
1 désigne les den*
ieuquelquef,.i.
glande dislance de Tyr el beaucoup ¡ilu
)S ijui, quoique parrailemcnl ilisliiicls, pei
entre la vaste plaine d'Akka .'t la campa;^
leuvisagerla.,u, .-.stion a ce
efl'el,la limile i lalurelle e.
au Carme!, sur u ne largeui
d'Akka. Apivsa-.•oir gravi ,
;• vrai. La .-haine
e Brlad-liesehaia
magnes
la pin
.•et escalier de rochers, lu
rentrée du Wady-llainon I du Khàn .Nakoi'ira. Là, 1
oiirte halte au pied des ri
modesic khàu. De là no
au promontoire plus si pi
de Sr.,/. Tynormn élaul
sil'Akka'. D autirs, en recependant
être cousi.léré;
es enviions de Tyr*. Celt,
•mine an llàs-cn-Kakoi'iiv
mbrasse 10,11 l'espace com
diction immerhin,
lie à deuï lieiires
sourc e nous offri
rde pé.age, élevé,
uidcla jni
leurc el ile
magni li,p
us jouir du panorami
l:iliìrv, Siam nml Palrslm'.