Vcisi': loroclifi- ilc ce imm: iiiiiis ii
" Les .liiiiciisions il» roiuliik «oui vi
Après loin, il m; _v nvoii
plus I-CCCU- que lu mnipirl
•le Iiir|iii'Ik^ il 5';ipi>iwhii clcl'ilc l'ii >
KonuMn^J i, y roiisliulre l'a,pi, ,lue .
I.a ni:iicni(i<[ucM:itrinsi.IainM-h
i.l; i'avs n isuAr.i..
«1 ti-.ic'op.ii-]e.-.niiiiusipiii,c sonl ¡ws ciic
veo la v¡IUm]u'íI (Icvait alimcnlci-, .
:ic los minos (le l';ic|uc<luc- dVI-Miischóiik
insiilairi' par Aloxaiidrc Ic Craiiil. (¡ni, mi
lüiici.l, jcla Ii's iVnulcmcnU solides ,|iii ser
I>];i¡s lioliii
•r l'ai
II C5l deplorable .
i.c servent fjuéie ,¡u
roiiVii non Itiiii de In porlc. a ipielipies
lies conduils en polerie, trés-larges el ü
niain sni- les paysaiis el la reelierclie d<
r <|Lic les précieuses eau:( de Hás-el-.\iu
n raoiiveineut dci.x oii irois
II aipicdui , (|ue I
•iiv de Soui-,
•.•jus.prà la
el a
lencoulK? aux aloiiti>tns du vilkige.
Daiis notre route jusijua-J'vr nous remi,
de la vcixlure, la lerlilité admirable de laïupourrait
appeler les jardins du inoude, demi
de protéger ses sujets et .pii n'a pas i babilluli
Pour nous roniier de suile l'iclée lu i)li
notre meilleure marelle à suivie sera. puis(pic non» nous r
.l'abord, ,|uel,p.cs minutes, vers h, dro.le cl de monter les i.ancs de rochers
|>oml qu'est prUc uolrc vue ;PI. XXXIII, La mosquée cl laipieduc dont
tableau les traits saillants. Petidanl ,|n(. nos regards plaueutsur listlune sabl,
Oli s'élevait jadis la uiagnifitjue eilé, nous pouvoiis (ivoqiicr les événemei
sa richess., romuierriale. sa puissant.- domination e. lacco m plissement ,1e .
moire peut se reporter en ce moment à l'origine h. plus reculée de T^r, soit
on I.iea ;s„ivant l'opinion d'autres
I'd hm presqui
r les jardins |
campatriu Tyi-ui. Mais la fatalité
ont di'seris sans culture, par la
•slrailcr cqiiilableuicnl
te des traits généraux qui raraei.
lurn|)proelions maiiUenaiil
incapable
écisémeiil
us avons p
ieiujus.p,-.
sa destruí
l'aucienne et glorieuse 'l'jr.
laul de aàs-el-Ain. de dévier
•rièro cl-Maselu.iik; c'est ,1e re
é plus batil rormeiit dans ce
ile (aujourd'hui la péninsule)
ierres .luc Tyr a sonteuncs,
c colonie de Sidoi
émigranis sidonici us, lan r..„j avant ,LC.;c, qui fit entre
pouvons facileme lit nous représenter commi •m la ville co
panlsesélroitesli mitos au nord, utilisa les eré tes rocheuses
vaienl s'abriter les . navires. Ce port naturel hit . encore perfe
rocheuses uffianl un esi-ace suffisant pour la
devenu peu à peu cette lille, impórtame, si ir
,agnifi(,uemen
r de revendre
mes delà mer, qui fais métie
Kivautable. Noire mésûlérioiis
comme étant
iiion d'autres autoursune eolonie agrandie par des
Tvi- dans uue seconde période- de développement. ÎVoiis
lUlo placée près des eaux de Hàs-el-Ain, en dévelupperfectionné
par main de l'homme, et tim
d'une ville, il uous est l'acile d'imaginé
it décrite par le prophète Ézùchiel, chap,
»ux peuples eu plusieurs iles, tu as di
beauté. Tes cnl lns sont an coeur de l.i mer; eeux qui t'ont bâtie t'ont rendue parfaite en beauté:
C('>tcs des navires de sapins (!e .Sénir; ils mil pris les cèdres du Liban pour te faire des mais. elc. r
n;igni(i(pie a un navire qui se balance sur les flots le long du rivage, étend
Cl, broderie cl se couvrant. de pourpre et d'écarlate des iles d'Elisa, se si
pporlé des iles de Ki l l im. et navigué
a po sûr I pouporlioi
XXVII., T<
mais, elc. r II compare i
iles de. fin lin d'Kgypie.
- sagos qui pilotes..
les liabitaiils de Sidoi
>i Uiiv •ail élevé la T j r insul
l'ut jamais surpassé. De son leitips, la ville était, à
étendit même du côté du eontii.enl. Sur la partie la plus oecideatalc de ces deux il,
aucpiel Iliram joignit un autre temple dédié à Heraclos et à Astarlé. Aujourd'hui la
cette partie île Tyr, et des tremblements de terre, ))articulièrcment celui ipii se I
complété l'icuvrc de destruelioa. Palae-Tyr devmt Tnoins important a mesure ipi,
insulaire prirent de l'accroisscmcnL; In résidence
••1 lors<iuc Salmanasar, roi d'Assyrie
à ce degré de gloire ,pii depuis n
i iles très-rappr(^cbées (pi'il relia e
s'élevait le temple de liaal-Melkar
e r a , depuis longtemps, rccnuver
blocus de ,
' Coroil aCti
Tain et des chefs de son clergé fut
Itj. C.;, coii(|uit Palac-Tyr, la ville insu
.1 entre toutes les tialious. Cepeiiclant la <
lice de la Tyr
•ansl'érée dim.-
l\il(l(!, V. me,- XVII, 35ü.
'''>1' se rappor
I (vers, fi et fi),
il des terrasses .
^c des marteaux
'AVS IVISIlAliI..
ihélic d'Éiécliiel, \.X\ I, ,p
.on à la ville insulaire. Ain
• (ve 0- La
n fil (h; l'épéc les villes du
s. y; . pos, iiacliii
ause de leu
siège 0, u
leuple a-ssenibiê de I,
h la cam litigue, el •
murailles el démolirai
' iimltiliido, ses mur
- Irembleraient du bruit des gens de cheval, des charrettes el des cbarii,ls,qti;i
« ses rues avin: la corne des pieds de ses chevaux, ele. » Tous ces passiiges indi
la terre l'crme. ,V la vérité, saint .Térome rappoi-lc que Nélnicaduetsar, dans linlcrvallo des
il assiégea la ville (r.SG-Sy.i avant T. C.,', fil jeter uiie levée eu loire pour faire lesapprocbcs de h, ville; mais eu même leiii
.¡lie cette assertion semble former conl'nsion avec le siège el la con(iii.'!te de Tyr par Alexandre, l'an avani .). ('.,', I
parlicularités citées par iàécluel font admettre dil'licilemeiil une ap)>ro(he de l'Ile à la fuveiir d'une semblable digue
D'ui. autre coté, lors(pi'il est dit au vers, li) du même eliapiire : " Je te rendrai semblable à une pierre séclie; elle sera i
• lieu pour étendre les filets., et lorsque les princes de la mer, en déplorant la chule de Tyr, s'csprimenl ainsi (ver.s. 17
.. Comment as-lii péri, ville renommée.^ loi qui (''tais Ibrie en la mer ^ et plus loin, lorsipi an vi-r.s. U) Dieu menace Tyr ,
ces termes : • ,Ie ferai lomber sur toi l'abime, et les grosses eaux le .rouvrirf
uiianlre lieu (pi'a la ville insulaire. iVou.'i pensons, couséqnemmoiil, .pie 1
et à hi Tyr insulairo. et que cette dernière, bien .¡u'elle ail résisté pei.dan
apres<[ue la ville cmitinentalB avait été dotruile, finit, toutefois, |>ar K
prononcée cmti-e elle s'accomplit.
Cependant le temps, ipii cicatrise toutes les plaies aussi bien qu'il l'ait
ssibled'ap
Tyr. ainsi (|ue l avait pr.'dil Ésiiic, ch. XXIII, 17, et nous la >oyonsa l'éj
d'Alexandre, deus sií.-eles el dein
grande desiruelion, devenir le siège princip:d de la puissance maritime
I>er.se, dans la .Méditerranée.
nous ap|iarait à cette époipie avec un temple magnifique, el la ville insulaire eonslitue une fm-leresse de |
rang, rendue encore trois fuis plus difficile à prendre, prolégcc .pi'elle est par la mer, qui l'orme aulonr d'.'
ceinture formidable. Les pteri-os el les débris de l'ancicnno Tyr servircnl au con(pi('n-ant macédonien à élever e
ou cc i>out à l'aide duquel il opéra ses approch
'(uelipie partie de la prophétie d'Iizécliiel {.
seconde desiruelion. . Tous ceux qui manicn
chandiscs
n.bés a
s quii
no Tyr servirc
empara de file audiicieu
p. XXV'Il), cllo s'accomplil dans tr
1 rame descendroul de leurs navires
I menant deuil anièreinent, faisant ei
eoeur de la meri' Tu as ras.^Misié ph
dà des mers; el In as enrichi les ro
as été hri-n'o par la mer au fimd des
te ; Qui fui jamais t.
s par la traile ,les m
par la grandeur de
Apr,-^ rt d'Alexandre,
•s Séleucides, plus
.s premiers Chrétiens, Tyr devin
e, à diverses époques, comme une ville commerciale riori.ssante.- d'abord sous
> celle des Koniains, qui l'élevèreut au rang de capitale de la Phéiiieie. Telle
e Notre-.Seignenr, el pendant la visite de fapótrc saint Paul (Actes, XXI, 3, 7). A fépo,pie
l'un archcvcché doni la jmidicli,m s'étendit de Kliaifa à Torlose, en y enm-
,renani lianeas .liaiiias'j. Saint Jér(')mc eu parle comme de la ville la |.lus belle et la plus magnifique do la Pliénic.e,
rall,|uaiU encore avec le monde ealier. Même sons le joug des Sarrasins, de (i36 à 1 1 , elle semble avoir joui d'une imlOrtance
cl d'niie |)rnspéri té commerciales eonsidcrablos. Guillaume, archevêque de l'y r, ,pii écrivail sur les lieux mêmes,
e[>résenle la ville comme très-for ti fiée; enceinte en pinsieui-s parties, du côté do la mer, d'un double mur (lan,|ué de
ours; du còlè du nord, dans les limites de la ville, était le port enfermé |)ar des nin.-s fortifiés; du côté del'Oinenl, où
•Ile était acees.'iible par terre, elle était protégée par un Iriple mur avec de liantes tonrs (|ui se reliaieiil l'niie à l'autre, et
111 largo fossé ((ue l'on pouvait combler des deux côtés en y l'ai-saut arriver la mer. lorsque l'armée des Croisés entra dans
l'vr, le-..7 juin ii i/,, ils furent surpris de la foi-ce de ses ouvrages défensifs, de l'élenduo et de la magniliocnce des maisons,
le la liauleiir des tours, do la solidité des murailles cl de la beauté du port avec sa passe difficile
>ons irouvous dans Guillaume de Tyr, dans Benjamin Je Tudéle, le célèbre voyageur Israélite (¡ni visita la ville
ui 1610, ,lans liiocard eld'autres auleurs, des détails circon.staiiciés sur la puissance et sur la prospérité do Tyr penlanl
la ilnmiiialion ilesCmisés, période ipii embrasse 167 ans. Ses forliiicalions, presque impénétrables, ré.si.slérent long-
X iVInsnImans, . que la plu. l des a: s \ilies de I Paleslin tombéi 1 leur poi
, 14:1. (J. DiipiKt Hanwhr'iriijF