1 (ion
l-ignos c! le. vnll.^os de
a,-Zilìeh. pcmLinl i|uc, I
li.'.nvs CI (lomio .ir (IìsMiko .i.
c pai'lio ilii |>.i_vs, 13c!;iil
spUnulldc
•Schckif. Hionlol iiui niipiós liti
Icmps ¡1 auli e, s'oliveiU u nous dus Iniccs .Ic r.incii'ii loi
I (ic Sidoii ail i)assiigc ih la riviere l.cniUi'S pur !<• lijisr (i>cii.t. el-KlKirclela, vl tie la, par iiiinlns, I'a
I'liilippr, a Oaiiia-s on, |.ar iiiic route se tliriji'^aul vers le rnidi. A i;. Galilee orieiitalc el a scs beaux
iilvoiit les ehnmcaiix dc Sidoii ii Hamas, et rpii passe par lo njisi- ol-Kliardela. esl b plus commode, li
ceplet: p;ir Ics neigcs, coiuiiic les stiiliers moiiii longs (]iii
r Salda
. rr,'.<|iH I les e
e Ikiro
liussin de eolliiies : resi là
Cornine nous somme;
de liiinél e. dln.ce.es <|u,
Sidoii à ilàsbeija esl trop
.1'" e aiii.
loiij{ue vallée mounloiie. parseiiiéo soulcnieiit di et ia de quelques ti'onrs i
)n^cniis |)eiidant deux iieiires des llaiics de riicliers siéi-iles; ciilin elle ai)oul
(¡n'csl situé Nfballiiyeh avec scs cliam|)S et ses jardius.
en hiver et que le uivain est trop déirempé pour permeltrc d'y dresser
.11 nous résij^ner à piisscr une iiiiit dans lo kliàn du village, aussi sale d'aill.
u puisse en trouver dans tout le pays. Mais nous ne pouvons l'aire autreiiici
eonsidérable •cmiron douze heures de mairJie) pour ipic nous ¡>nissioiis k
de ^elviîliiveh nous n'avons, sur notre elicniin, aucun villa-c où nous pui
lie tirer de notre position le meilleur parti possible. Nos d0racslit|ucs prépai
niif'ortatii', après une inarolic de plusieurs heures; la lumie <lu tabac nous :i
ée du feu allumé dans i m bàil imeut sans eheminé-e; I c.eveiee de la jn. u-née aiguisera in faHlibl emenl notre appétit.
nous te •nam enveloppés aussi hermétiquement que possible dans iio; i lits de campagne. oublierons. ..n peul-
•iul>lier Ons-nous pas. à • cause des insectes, tous les maux passés, da ns la <lou.-e qùiéH lulc dl 1 sommeil. Sans nul
nous s erons charmés .1 abam lonner demain matin cet ignoble kliàn. le plus tòt ,,u'il 1 ions se •ra possible.
peine :i vons-nous quitté• le bi;s sin de Nebatbiyeb que nous voyons se dresser menaçant . sur IIn icémii.enrccn face
s, le el làteau de lielfort. . forte rcsse remarquable des Cioisés, cl qu'.)n appelle -nujoiinriu li Kab' it-.'.idi-Schekif. i\ous
ignons la base, .lenx he ures c nivirou après noire départ
Kalât-csch-,Schekii' él
surpliunhaiil le ravin du
domine tonte la coiUrée i
lemps, une barrière fnrmi.
de Sillon à l)ania.s. et. .
plus s]iécialeinciit sous le
le premier ranir. eoiirounant la erète d'une liiuilr lunntagnc <
pii ici a au moins lôon pieds de profondeur ¡1>I. X)^ l.c rhàten
le sviUide dislanee dans toutes les directions; il Corme, en m£n
force étrMiii;èrr. Sa position commande la roui
id entre les den^ Libans, conni:
asioTi deriiitérieu
•rldionalc de la grande vallée
n. l/aceès rie la rorleie-.sr u'él
r nn fossé large et pi'ol'oiul, ci
rc solide et vnùtée. Cette .ite
alteignait
1. Les murs dn cl,
ail a droite, et, p
ingle nord-est du
e la lor
1 donné
•té septeiit
Au-desson
ujoin-d'lin
•nicnie oncor.
•aneliéc ihi côté du
; des précipices eff
La partie orientalo seiiihie avoir été i
à peu près au milieu de cette partie
au sud-nuesl, un coup dreil suffit p,
ipie celle des Croisades- Cette [iartic
Moyen âge. Kilo est construite en pierres taillées ei
surgissant du l'osse, f]uo l'on pourrait iippcler des
coustruitc éjçalement sur une Unse en talus. A l'est
; sa longueur est d envirnti Hoo pieds et sa largeur de 3ooV
iiite surtout p:ir les Croisés, à I cxception do l'ouvrage extérieur du talus. C'est
ironvc UIU' chapelle avec uii beau portail gothiijue. Mais, eu ]>orta)it les i-cgards
ipercevoir c|uc tonte cette portion appartient à une époque bien plus reculée
e le corps principal du hàtimeut, et n'offre rpie peu de traces de roriivre du
des fon
e tie I
n bisca oiTre
• <l'liipi)icus- Al
lit un petit pori.
I archit
Kien I é révc ILisqu.
t existé longton
jour sur l'époque de la constnu
nit l'époqnc des Croisades, dont
•Ihcc 18«, p- 20T.
if., p. 2(1«.
pas des pierres I.irscB pnrcllles il ccllcs rjii'on Iroiive il
l pas niissi wgitllcr cdIiiI ipi'on roiiiiii'ipw D.ins
irppiiilnm, m ((iiióril, il le nifnir
.. plus ai
d'attaqui
conquérai
été pei-dii
snspeclc
L'énorme fore défousivc de cette
contre elle; et cepeiidi.iil l'hislo
•à tour pri.s Cl repris possession
'alesline, le sidtaii Bibars'. Dcpii
nr tous les voyageurs,
urani lui labvriuth<- de salles cl d
n jetai
s im
chapelle des Croiséf
plus magnilicpie spcclaclc que l'on puisse voir !
nous le mont Ilermon; pour la première fois non
(lancs boisés, d'un bleu iutciise, sont colorés pai
i),37(i pieds, ébloui! les regards par son diadéii
scmbleiil s'appuyer conlrc le flanc gauebc du m<
a la Ibrme conique, porinotlenl à l'oeil do pénétre
descendus des montagnes se Irayenl. un pussiigoj
au pied de ce groupe de iuoul;ignes, aucune iie se.
en même temps iiu'elle est e.nvironuée de toutes
iteau,,|usipi.
époque jii.sii
I jiisqu'i
hekif seiriblc
'•"¡"••s de si
11 large pau de lutir,
la .erre, Kien ne pei
le contemplons dans If
< lumière étineclante d
de neige. Dans le loii
;. Plus près, et plus st
ui loin dans ses ravin:
ju'aux fertiles plaines t
.s o. quelques va.s
e la pins élevée <
surpasser l'impres.
? la majesté di' sa
oleil, tandis inie :
s réservo
ebàleau
nble i
e de toutes parts d'une magnifique verdi
encore plus prés de nous, iinire oeil rencontre le torrent sinueux de l.éonlés,
(issure cachéc dans les montagnes; ces eaux, brilhiiit et éciimant sur letu- lit de r
cnrliaino dans la bouche béante du golfe inférieur, ou il se lord et lutte sans .
relient captif, mais loujours en vaiii, CMceplé près de ia mer.oii, à inic heure c
Au delà de la gorge de Lconlès, ta plaine l'ei lile appelée. Merdsch-Ayoùn nous I
selon toute j.robabilité, élait jadis l'omplacement d'Ijon ou Hijon f! Itois.
I.C pays montagneux d'Ascr cl de Nephtbali se déroule à nos regards an sud. P
li les vallées
e élevée el <
de liaiiias, et
.le Tibnin. .pii domine
nous romar,punis le eh
lenani à l'ombre, lin d
venant de Ne))athiyeh,
traversée maintenant p:
longue cl ennuyeuse. Aprè
Merdseb-Ayot'in, et nous i'ra
du Jourdain supérieur, quoi
e Djisr-Rhardela.
C'est ainsi i|iie les cb.>ses so passeroi
avec un ciel resplendissant n'es! pas toujoi
sur la route de Sidoa il [làsbciya, il fut
. sud-est, :
e les (lam
le cllàlean
r le hameau (
iiuliiil. après u
•m son exlrémilé scpicu trionale; hi roi
•n appelle Nabr-llàsh
le lit é(r<i
ns ..'itoy.u
ibany. JSons passons à gué la rivière peu profon.le
ivin escarpé et pierroux, i ions arrivons, Ih'isbciyi
'il est ég.7yé, ainsi .(uc noi .13 l'avons espé ré, par
une garantie .pie le ..oieil continuera a nous réjo.
inbre de voj'ageurs, à l'an leur .le .-e réeii 1, lors,,n'à
ailli p.ir une effroyable (i L'inpéte- Apirs avoir qn
lomenl oii nous comnien. rions a explor er Kalàlil
étro il l'îiecueii conlial , pu leur ét.it réservé pi
vin dti Léoulès, que les i .lé'S de to
uie lorrenlielle, il fallut i •écllement de ^gr an.ls efl
1 semblait iio^-c. Nous él ions obligés d
eignimes l.ieiit,',, le bamc .m de Keley:i •. Mais il
lions oiTrail un refuge. Les hahilanis para issili.
n'ciidre .[ue de pousser pl ns loin: nous oontiuiiàn
oecideutai .pii bnrdo •liscii-Ayoï'in. Comme il él• ail probabl.' . pie notis
1 très-hospitalier an village de IDjedeideb, ot que d'ailleurs les pau^
du mauvais paiu arabe et iioe sale natte étendue sur le sol dun
expédiés de ^'rand malin a ILUbeiya, nous préférâmes continuer n
e deu^ heures. Mais rol)sciU'ilé nous cnvaliit, et 1 orage devint de plu.-, en pins
• IliUinil llf'.mirrhei in l'tllnliiir, Mr,