
the shape of a chapel. The sepulchre itself consists of two chambers;
an antichamber about twelve or fourteen feet square, and
an inner chamber, about twelve or thirteen feet long and six or
seven broad. In the latter is a kind of bench, the breadth of the
chamber, and about three feet wide, ■ on which the body may be
presumed to have lain ; and in the former it is probable the roman
guard kept watch, at the time of the resurrection. When Sandys
saw it the door of communication between the two chambers of
the sepulchre was but three feet high, by two feet four inches
wide ; at different times since it appears to have been enlarged,
till it is now six feet high, and full three feet wide. At the back
of the holy sepulchre, and in the centre of the west extremity
of the church, is another under ground, in which the remains of
Joseph of Arimathea are said to have been deposited.
When the news of the french having landed in Egypt had
reached Jerusalem, the turks, suspecting, or pretending to suspect,
that the monks were no strangers to the plans and intentions
il fut taillé. Le Sépulcre est composé de deux chambres; d’une antichambre d’environ
douze à quatorze pieds carrés, et d’une chambre intérieure, d’environ douze à treize
pieds de long sur six à sept de large. Dans cette dernière est une espèce de banc,
long de toute la largeur de la chambre, et large d’environ trois pieds, sur lequel on peut
présumer que le corps fut placé; et il est probable que c’est dans la première que les
soldats romains montoient la garde, lors de la résurrection. Du temps de Sandys la
porte de communication entre les deux chambres du Sépulcre n’avoit que trois pieds de
haut sur deux pieds quatre pouces de large; il paroït qu’en différens temps elle à été
agrandie, ensorte qu’actuellement sa hauteur est de six pieds, et sa largeur de trois.
Derrière le Saint Sépulcre, et au centre du bout occidental de l’église, est un autre souterrain,
dans lequel on dit que les restes de Joseph d’Arimathie furent déposés.
Lorsqu’on apprit à Jérusalem la nouvelle de la descente des François en Egypte, les
Turcs soupçonnant ou feignant de soupçonner que les moines avoient connoissance des
plans et des intentions de l’ennemi, firent la visite de leurs monastères pour voir s’il y