A MON M A Î T R E ,
M. F é l i x DÜNAL ,
DOCTEUR EN MÉDECINE,
CORRESPONDANT DE L’INSTITUT DE FRANCE, etc.
Agréez , mon cher Am i, ce faible témoignage
de mon estime pour vos qualités et vos talens,
et de ma reconnaissance pour les bontés que
vous avez eues pour moi.
F. CAMPDERA,