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P A I i M E I i l i A T E R M I N A I i l S .
P a i m e i l a T e r m in a l i s , fro n d e d iffo rm i Muda
e la stica , granulis glohosis subquaternis.
In aquis dnlcibus Sneciae (in fossis tiirfosis ad C b a r a s e t c .) ;
Germaniae (in flnvio Tepel, ad lapides).
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C e t t e espèce a quel(|iie rapport avec P a l m e l l a h y a 1 i n a ,
mais elle s’eii distingue p a r la ténacité de sa gélatine, et pa r l’a rra n gement
figuré, (p a r q u a tre ou p a r h u it), de ses globules.
Elle est souvent adhérente a u x iiie rres ou a u x p lantes aquatiq
u e s , mais on la trouve aussi flottante.
Elle e st évidemment la plus développée des P a l m e l l a s,
ainsi que l’on pourra la ran g er parmi les T e t r a S]> o r a s , aussi bien
que dans le g en re ofi nous 1’ avons placée. La seule «liiFéreiice entre
ces d eu x g en res est ra rra iig em eiil figuré »les globules et la gélatine
changée en membrane dans les T é t r a s ] > o r a s ; mais dans
cette espèce il y a une tendance tant à a rra n g e r les globules
eu ordre q u a te rn a ire , qu’à fixer la gélatine à une consistan
c e m em b ran eu se , ce que l’on v o it p a r sa ténacité e t son é la sticité
rema rq u ab le s. Cette consistance de la gélatine m’a fa it
c roire d ’a b o rd , qu’elle n ’étoit pas une p la n te , mais une production
animale jusque à ce que je me fusse apperçu, que l’élastiçité marquoit
précisément l’é ta t interm éd iaire en tre l ’état gélatineux et membran
e u x , et q u ’a in si cette p lan te combinoit deux g e n re s , qui jusqu’ici
étoient séparés de si loin dans le système. P a r u n te l ra p p ro chement
ou a complété la série des tl 1 v e s , qui étoit au p arav an t
isolée, jusques à ses jiremièrs riidimeiis.
Ce qui m’empêchoit longtemps de céder à cette opinion, ce fut
que je trouYois souvent des animalcules iiifusoires dans le corps de
cette gélatine, que je croyais être des développements des globules,
(lig. c). A présent que je sais, qu’une telle métamorphose n e pouri