p o u rra tir e r pour la physiologie des jilantes en g é n é ra l, que cette
forme est plutôt à considérer comme l ’espèce primordiale de la sé-
n e des U l v a c é e s . —
Il faut ê tre bien re serv é en proposant plusieurs formes que
I o n pourra p re n d re pour des espèces de P r o t o c o c c i i s . Nous
montrerons d an s la suite, quand nous traitero n s des D r a p a r n a l -
r t i e s , que les semences de ces p lantes resemhlent to u t- à - f a i t à des
Pr o t oc oc c i i s . Nous donnerons p a r cette observation p eut-être lieu
à une a u tre supposition su r la n a tu re de P r o to c o c c u s Mon a s , que
n ie r d ’ ‘' ï «»««««-yation de semences. Nous osons pourtant le
m e r d un ton un peu plus a ssu ré . Nous sommes persuadés q u ’ il
'’•■ f P 'i'n o rd ia le , en g en d ré p a r cette force vitale
S ô h n f i” I T ’ lim ite s , qui
produit des être s vivants seulement p a r une composition orgánicos
r s i i “" I-“ *“ "•»"
Le P r o t o c o c c i i s Mo n a s est sans doute l ’espèce la nhis
siinp e II règne végétal ; on en pourra commencer la grande série
qui se développe enfin dans des formes si élégantes par la 001«:
êt”re W ’ gigantesques p a r leu rs dimensions. Il doit
être in te res san t de suivre la n a ture dans ce développement, pour
c en jo n n o itre les lo ix , et pour adm irer la simplicité de se¡ ^ro -
P r o t o c o c c u s Mo n a s dans l’é ta t sec.
g. dans 1 é ta t humide, fig. c un e petite partie de sa masse
r s uisr saannttee“. %fig"*". ”/d ”lra“ m‘' ême plus agraiiilie. P*'“