et naturel; g-, les mêmes après avoir été séchées et mouillées de
uoiiveaii.
On n ’a qu’ à je te r les y e u x s u r ces figures p o u r s ’appercevoir
que ces filamens sont composés d ’organes ex actem ent de la même
o rm e , de la même n a tu r e , e t composition, que la F r u s t u l i a
ï n c h ” P»-e*nière
e st u n ê tre à soi avec ses o rganes e t sa
I * e t même avec son mouvement propre. Et ici dans
e S c h i z o n e m a la même forme est entrée comme o rg a n e , a tta chée
a u n autre système de v ie , et suhordonnant à d’autres loix.
Nous v e rro n s sous le No. suivant, que la n a tu re n e s ’y est pas
a rre te e ; mais que précisément un S c h i z o n em a , ici u n ê tre à
SOI, e n tre ra d an s u n organisme plus p a rfa it en co re , p o u r y d even
ir organe subordonné à son tour.
Voilà des merv e illes que tous ceu x , qui tie n n e n t à la nomenclature
du sy s tèm e , n e sauroient avouer. Ils d iro n t to u jo u rs, que
le S c h I z o n e ra a n est qu’un au tre é ta t de la F r u s t u 1 i a , et qu e
ou a to rt de les considérer comme des ê tre s dififéreiis. C’est ainsi
que on a réfuté mes observations su r les tran sfo rm a tio n s du No-
m Z Z ? eomment? - L a F r u s t u l i a est, selon l ’idée de ces
memes n aturalistes, un animal, parce q u ’elle p eu t dans certaines c irconstances
se mouvoir, et le S c h i z o n e m a est un végétal décidé
e t sans mouvement. La F r u s t u l i a v it dans les e au x douces, et
je n e 1 ai trouvée, que 150 lieues de l ’endroit, où se trouve le S c h i -
L o tro iinhrlerr“a dTo"n c toujours les cercles de ces n~a t u ra lis te s , «elte si l Afelgrounest
donc b ie n , de ne p as les é tudier du to u t, ou de les étudier su r de
el es fig u re s , ou la vie est p e rd u e , mais où les formes mortes
le s te n t encore pour s e rv ir de base à leu r classification.
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