
4g1n. aRrdip. ofte après avoir trompe la parade E du S poiP
C R I M E . L A N C H E XIV .
De la garde ejpagnole marquée A attaquée par la
garde françoife.
Fig. 43. Les Efpagnols, en faifant des armes, ont une
méthode tout-à-fait oppofee à celle des autres nations. Ils
donnent fouvent un coup fur la tête de leur adverfaire
qu’on appelle coup d'éjlramaçon, enfuite tirent un coup
de pointe entre la gorge 8c les yeux. Leur garde eft presque
droite. Ils s’alongent très-peu 5 lorfqu’ils s’approchent
, ils plient le genou droit, tendent le gauche &
portent le corps en-avant. Lorlqu’ils s’éloignent , ils
plient le genou gauche, tendent le droit, effacent beaucoup
le corpsen-arriere,&r parent fouvent de la main gauche
ou efquivent le coup en portant le pié droit derrière
Jlae ggaarudceh eà. lLa epuori népteé,e &a p lraè sl adme ec ian qle p fiéils d dees ldoenugxu ceôutré sd e;
la coquille eft fort large 8c eft traverfée par-derriere d’uns’ee
nb aferrrev eqnuti fofourvte ndte pdoeuurx fapioreu cfeosr tdire l’céhpaéqeu dee clôa tém. aIilns
de leur adverfaire, en la liant fortement, fur-tout lorf-
qu’ils ont à combattre une longue épée ; ce qui leur fe-
roit très-difficile vis-à-vis d’une épée courte. Leur garde
ordinaire eft de tenir leur épée en tierce haute 8c la
pointe fur la ligne du vifage. Us font des appels 8c tirent
des demi-bottes au vifage, portent auffi-tôt le corps en
arriéré, forment un cercle avec la pointe de l’épée fur
la gauche, tendent en meme tems le bras, avancent le
tceonrpt ps ropmouprt edmonennet rd lreo ictso uenp tde’neafntrta lma paçooinnt,e &de flèe urer mépeéte
fur la ligne du vifage de leur adverfaire.
De la garde ejpagnole combattue après la parade du
coup a éjlramaçon.
MFig.Fig. 44. Si on fe fert d’une épée de longueur ordidnraai
raei,f é8mc efin ot nc oenftfruei el ’léap péree dm’uiènr ee faptatganqoule ,& o no n ffee draé fpeenu
•embarralfé de fon jeu. Il faut fè mettre en garde hors
de mefure la main tournée en tierce, la tenir un peu plus
mhaouutev eqmuee dnasn qsu la’i lg aproduer ororditi nfaaiirree. &S’ inle t ipraosi ts ’léeb craonulpe rd d’eesf
tramaçon , il faudroit le parer de tierce haute , hauflèr
le poignet 8c bailler le corps, ferrer la mefure d’une grande
femelle, &ripofter en tirant à fond un coup de fécondé,
& tenant la pointe plus bafte que dans le coup ordinaire,
afin qu’il ne pare pas cette ripofte de la main
gauche. Le coup tiré fè remettre promptement en garde
en tierce, caver un peu le poignet , rechercher fon
épée, dans le même tems porter le pié droit près du pié
dgae ugcahgen peor udru s ’téelrorieginn ear vdeec flae ppoiéin gtea,u aclhoer.s on eft en état
Si l’adverfaire tire un coup de pointe, foit au vifâ-
ge foit au corps, il faut le parer en dégageant de tierce
en quarte & tenant le poignet fur la ligne de l’épaule
, dans le même tems fèrrer la mefure d’une grande femelle
pour gagner fbn fer autant qu’il eft poffible, 8c
pluair erri ploa frtiepro àf tefo anvde cu lna mcoauinp gdaeu cqhuea,r toen. dSo’iilt fcahiererc fheein à
te de la tirer en faifant une grande attaque du pié pour
tromper ladite parade de fa main gauche, & achever le
mcoeuupr fàu ilv’éapnét el eesn ptreinnacnipt elsa peoxipnltiqeu désir 5e cretevmeneinr t pàr ofomnp vtei
fage & redoubler à fond quarte baffe. Le coup achevé
fdee rrreimereet tlree peiné ggaarudceh ee.n tierce, & palier le pié droit par-
Quoiqu’il foit très-aifé à celui qui a une épée courte
à la main de défarmer celui qui a une épée à l’efpa-
gnole , après avoir gagné fâ lame, on ne confèille à
gpaerrdfoen dnee ldaed iltee étepnéete or,u cdra’ainvtoei rd lea nmea pino u&vo liers f àdifoiirg ltas
coupés par les deux tranchans de l’épée ennemie.
On ne confèille pas même de faire de croifé d’épée ni
edne mdoenttnaenrt dl’eé pcéoeu pà ldae mfoauine,t , ppaaffrecnet qleuse dleeusx E pfpreamgnieorlss
doigts dans deux anneaux, qui font près de la garde
5c avec les deux autres doigts & le pouce ferrent la poirgantéioen
dse clie-udre lélpuése n. oAminmfié iel se fnt eé vrcidueifnitr oqiut.’aucune des opéGarde
de l'epée Ô' malanntteearun ea.ttaquée par l'épée Ô*
Fig 4f. L’épée 5c manteau, qui font d’un ufàge très-
ancien dans toute l’Italie, n’ont jamais été défendus par
ldeasn gs opulvuefirenuerms eétnast,s .comme l’ont été l’épéc 5c poignard
Le manteau eft offenfif 5c défenfif. U eft offenfif
parce que ceux qui lavent s’en fèrvir adroitement font
en état de nuire beaucoup à leur adverfaire. Il y a plufcioeuurvsr
imr alan ivéurées àd feo nle ejentnteemr ;i o, nm paiesu at unfofin l-af èluamleem deen tf oenn
épée. Si au contraire on n’a pas l’adrellè de s’en fèrvir
on pourroit foi-même s’en couvrir la tête ou embarraf
fèr fbn cpéc 5c par-là être à la diferétion de fbn adver-
fcàoiurép.s Ild ee fttr adnécfehnanfitf ,f opiatr càe l aq utê’itle p, efuoti t faèurv ivri fàa gpea roeur laeus
avue-ndtreed adnasn sd eles caarsm oeus. ces deux derniers fèroient donnés
Il faut parer avec l’épée les coups que l’adverfaire tiré
laeu m-daenhtoerasu 55cc aruip-doeftfelor uasu dceosr pasr.mes, fècourir l’épée avec
Pour fe fèrvir bien du manteau , on doit enveloper
fon bras gauche avec une partie dudit manteau, laifïèr
tomber l’autre partie , avoir attention qu’elle ne tom>-
be pas plus bas que les genoux, 5c prendre garde, fi on
eft obligé après une longue défenfe de baiflèr le bras gauche
pour le repofer, de ne pas laifïèr trainer ledit manteau
par terre ni devant les piés, crainte, en marchant
deftiis, de faire un faux pas 5c de tomber.
Si on fe trouve fatigué du bras gauche, on peut le
faire repofèr en le laiflant tomber à côté de foi, mais
tenir le manteau un peu éloigné de la cuiflè, faire une
paflè en-arriere 6c peu après fe remettre en défenfe. Si
on n’a pas afTez de terrein pour faire cette paflè, oti
peut appuyer le bras gauche contre fa hanche , tenir toujours
l’épée en garde 5c parer vivement du cercle.
l’épIlé ee f6t ca ilfeé àp ouing nhaormd,m dee, fqeu if èfraviti rb ideun fme daénfteenadur,e p aavrceec
que cette défenfe exige un coup-d’oeil jufte 8c vif. En
cas de befoin on pourroit auffi fe défendre avec une canne
5c un manteau , contre une épée 5 car après avoir paré
le coup de pointe, avec ladite canne , dans le même
tems fèrrer la mefure fur fon ennemi fans quitter fon
épée & lui couvrir la tête avec ledit manteau. Pour faire
cette opération,il faut avoir non-fèulement une grande
choaubpil edtée &fèn es-x fpréoriide,n dcee dfearnms eletsé a8rcm dees r,é mfoaliust iaounf.fi beaure
Iplo eufrt afèu fffiè rtvrèirs -àn-épcreofplaoisr ed due mbiaennt ecaoun. nPooîturer Jeax émceuftieir-
adroitement fon coup, on doit donner un peu de jour
à fon adverfaire, afin de l’engager à y tirer: alors fans nullement
chercher fà lame avec l’épée, effacer le corps en-
arricre, dans le même tems jetter le pendant du manteau
fur fa lame , traverfèr promptement la ligne, & lui ripofter
ayant la main tournée en quarte.
Fimg.a 4nt6e. aLu.’épée 6c lanterne combattue par l’épée 5c
P L A N C H E X V .
Explication de la garde de l'épée & lanterne.
Quoiqu’on puniffe très-fcvcrcment ceux qui font fur-
pris l’épée à la main tenant une lanterne fourde , on ne
lqauifolèi opnas a e pnecnofrée qdu’e’inl rneen fceornotirt epra qs uinedlqifuféerfeonist. d C’e’ne fdto pnonuerr
l’explication 5c d’enfeigner la manière de s’en défendre.
Ceux qui fe fervent de lanterne fourde,la cachent fous
leur habit ou manteau , 5c lorfqu’ils ont deflèin d’attaquer
quelqu’un, ils l’ouvrent avant de tirer l’épée, la
prefentent devant eux, au-defliis de leur tête ou de côté
en paflànt le bras par-derriere le dos, 5c changent de position
à mefure que leur adverfaire change de terrein.
S’il préfènte la lanterne par-devant & fi l’on eft muni
d’une bonne épée, il faut couvrir avec le manteau
le dedans des armes, donner un coup ferme en quarte
fur la lame de l’adverfaire 8c auffi-tôt un autre coup
du tranchant de l’épée dans la lanterne en ten int la main
en tierce. Le coup doit partir de la droite à fa gauche
E S C I
flaen pso cigcanrette jru lfeq bu’raaus ,c coaurd cee, caofiunp d d’êotriet êetnr eé tadto ndne ét idreerp uuins
coup au corps en tenant la main dans la même pofition,
Sc de couvrir avec le manteau le dedans des armes.
S’il préfente la lanterne par-defliis la tête, il faut tra-
■ verfer le terrein fur fa droite & gagner fur lui le dehors
des armes 8c lui tirer des demi-bottes au vifage. S’il
hbaaùi(fïléè &la lpeso idnetue xd em afoinns ehpaeue t,e sfe, rerne r telan amnet fluar el alme ec opraprs-
defïus le poignet gauche 8c manteau, faire une paflè du
pmiéa ngteauauch, era ,c fcaonusr qciuri tutner p feoun leé pbérea s; darloorist pfèo ufèr cdoeubrairrr adfu-
1er la pointe de l’epée ; 8c dans la pofition où la main
fc trouve, tirer avec vivacité un coup à l’adverfaire.
S’il préfènte la lanterne de côté ayant la main paflee
par-derriere le dos, il faut traverfer la ligne au-dedans
des armes, en tenant la main gauche 8c le manteau auprès
de la mamelle droite, la main droite tournée en
tliee rmceo,m lae npto qinut’eil dtier el ’fébpné ec doiuripg,é aeu à- lifebun dvee nlet rpea, r8ecr advaencs
Ja lame, tendre le bras gauche, couvrir (a lame avec ledviot
irm daanntse alàu q8uca lruai nrtiep-ofifxtieerm aeu f igcourrpe.s comme on peut le
Si l'adverfaire etoit matelacé,ce qu’on connoîtra après
lui avoir fourni au corps un coup fans effet, il faudroit
lui tirer à la gorge, au vifage ou à la ceinture : car une
perfonne, qui a aflez peu de fentimens pour fè fèrvir d’une
lanterne fourde dans une affaire particulière, peut
avoir auffi la lâcheté de fe plaftronner.
Obfervallons Jur L'exercice de l'ejpadon.
L’efpadonneur a quatre coups principaux dans fon jeu,
aquu ij afrornett .les coups a la tete, au poignet , au ventre SC
Quelques-uns tirent leurs coups par un mouvement
de 1 épaule, du coude ou du poignet. Us tiennent le bras
rào li’dade v8ecr ftaeinred.u, & préfentent tou jours la pointe dufabre
La première maniéré de tirer par un mouvement de
l’épaule fe fait en hauflant le bras & en faifant un grand
cercle avec le fabre, afin d’avoir plus de force pour couper.
Cette éxécution , qui eft la pire de toutes, parce
qu’elle eft la plus lente, donne un très-grand avantage à
celui qui pointe j car s’il eft attentifà fèrrer la mefure dans
le tems que l’efpadonneur hauflè lebras, il peut lui fournir
un coup de pointe, ou bien après que le coup de fahre
a été donné à vuide & qu’il l’a efquivé en effaçant
le corps, il doit auffi-tôt fèrrer la mefure & tirer le coup
de pointe. Il eft certain que , fi l’efpadonneur ne trouve
pas d’appui pour fon fabre foit au corps foit à la lame
de celui qui pointe, fon coup lui reviendra par-
ldae rproieirnet el ed deo fso,n o fua bs’riel tdoouncnhea nfot np acro-utepr rdeu choauurtt erinf qbuaes rdi veeureo cita fpleaes. ,M leasi sm qouuanvdem auecnusn efo dnet cfeis gdreaunxd sc h8ocf cfis lne’natrs-
que celui qui fe fert de l’épée , trouvera toujours aflez
tdief jao uern pporuofri tteoru.cher au corps, pour peu qu’il foit attenLa
fécondé maniéré de tirer par un mouvement du
coude, fe fait en pliant beaucoup le coude. Celle-ci jette
encore la main hors de la ligne tant en hauflant qu’en
baillant, donne auffi un avantage à celui qui pointe,
mais pas fi grand que la première ci-defliis expliquée,
lpea rccoeu qpu eef tl ep flaubsr pe rnoem fapift a8nct ppalus su nc omuovuervte.ment fi grand,
La troifieme qui eft de tirer par un mouvement du
gpaouigcnhee,t , ffooiti t dqeu lea leg afuibcrhee f àa fllaè lder oceitrec l,e ldee p loa idgrnoeitt ed ào liat
agir tres-vivement, en forte que le coude 8c le bras ne
s ecartent pas de la ligne du corps. L’efpadonneur pare
loarbdrien,a 8irce mripeonft tele sa ucfofiu-ptôst dene dpéotiancthea anvt eacv leec floer tp doei gfnoent
wdens caormupe sd.e tranchant : fon coup favori eft au-dehors
d, e dj uS -p 4o7i-n Gteaurrd een d de élf’eefnpfea dmonanrqeuuére m Ba.rquée A , & la garLes
gardes des efpadonneurs font differentes , quelques
uns fe placent la main tournée en tierce, le bras tenï
M E. iç
du, la pointe dirigée au vifage, le corps un peu en avant,
le genou gauche terme 8c le genou droit plié. Il y en aqui
tliae pnonienntte lhea fuotert. dIlu efna berfet adu’apurètrse sd eq ulai htoanucrnheen gta ulac hmea 8inc
en prime 8c tiennent la pointe baffe, enfin d’autres enacrorriéer,
é q 8uci tpoluiernnte nlet lgae mnoauin g eanu cqhuea,r ttei.ennent le corps en
Explication de la défenfe du pointeur contre Cefi
padonneur.
La garde du pointeur contre l’efpadonneur marquée
B , que l’on a placée ici, eft la plus couverte 8c la plus
fure pour fe détendre. Le point eflèntiel eft de connoître
la mefure de telle pofition dans laquelle l’efpadonneur
peut fè placer. Il faut fè préfènter hors de mefure,
ne point avancer fa lame, fbn poignet ni fon pié droit,
mais aulfi-tôt après avoir tiré l’épée , prendre avec la
main gauche le bas de la bafque de fbn habit, élever le
lb’roacsc agfaiounc hlees cào luap sh adu’etefpuar ddoen l ’oqrueei lll’ea,d avfeinrf daeir pe apreoru rdraonist
tproer toeur àa ula-d teêdtea.ns des armes foit au vifage, foit au venOn
peut aulfi parer le coup à la tête avec le fort de
lepée en tournant la main en tierce & en oppofant la
lame prefqu’en traverfant la ligne : mais il faut que la
pointe foit un peu plus haute que la garde de l’épée :
fi-tôt le coup paré, fèrrer la mefure d’une femelle, en
pliant un peu le corps, ripofter par un coup de fécondé,
8c redoubler le coup avant de fe remettre en défenfè.
aveOc nle pfaorret dlee cl’oéuppée a eun vtiofaugrne atnirt él aa um-daienh oenrs d demesi atiremrcees
& tenant la pointe droite. Le coup paré, il faut ripofter
ateum veifnatg pea er nu qnu caorutep fduer lfeésc oarnmdee.s, 8c redoubler prompOn
pare le coup au ventre tiré au-dehors des armes
en tenant la main en fécondé, 8c l’on ripofte de même.
Si l’on pare avec l’épée les coups tirés au-dedans des
armes, par l’efpadonneur, il faut les parer de prime, trav8ce
rlfueir r dipaonsft leer mene mperi mteem.s la ligne au-dehors des armes,
La plus fure défenfè qu’on puiflè avoir contre l’cfpa-
dmoennnse ,u dr,eàm mi-obno atvteiss, eofut dea tntae qpuaess s ’iqnuti’iml ipdoeur rdreosi tm foauivree,
d’efquiver les coups en effaçant le corps, de rompre la
mefure de la longueur d’une fèmelle, de déranger fès def-
fèins par des attaques 8c demi-bottes.
Si fès mouvemens font fèrrés, il faut être prompt à
lbai tp ,a r&ad een f ocaits ddue f obretf odien l ’féèp féèer,v fior idt edse dlae ubxa.fque de l’haSi
fes mouvemens font écartés, il faut fè déterminer,.
- lui ferrer la mefure, en fè couvrant autant qu’il eft poffible
avec l’épée 8c la bafque de l’habit, & lui fournir un
pcoasu pa floèzù uln’oi np ovuori tc jhoeurcr hàe rl eà tloe ulcahfleèrr, ffio ilte etenr rteoiunr nna’enftt
fur fa droite ou fur fa gauche, foit en rompant la mefure,
afin de profiter avec jufteflè d’un inftant favorable
8c de ne point rifquer de tirer le coup à vuide.
jeuI ld ye cao quupesl qduee sp oeifnptaed, ocnen qeuur’os nq aupi peenllter fea-mireê llean ct onletruer-
ptroainntceh ja nilts d feo lnetu rf efiinbtree d8ec tviroeunlto uirn dcoounpn edre u pno cinoutep, d8ec
iqlus erliqpuoeftfeonist afopirtè sd ’auvno ciro uppa rdée, tfréalnocnh laen jto, ufor itq due’i lps ooinntet,.
Ce qu’on apelle demi-ejpadon eft différent de l’efpa-
don en ce qu’il eft plus léger à la main 8c que la pointe
n’eft pas relevée, comme celle des fabres l’eft ordilnéagirèerme,
e notn , cfea iqt ulai egfat rcdaeu fpèeqlaunet,e .pour rendre la pointe
Le demi-efpadon eft préférable à l’efpadon , pourvu
qu’on s’en ferve avec jugement. Cette arme eft la
meilleure fur-tout pour les troupes de cavalerie , lorf-
quF’eilgle. s chargent l’ennemi à l’arme blanche. 48. Fleuret.
Fig. 49. Gant de bufle.
Fig. yo. Plaftron.
Fig. yt. Sandandalc.
Fig. fi. Mafque , pour garantir les yeux,
F^g. Si- Baguette pour l’cfpadon.