XX
cette pofition en (errant l’écrou qui eft au - deflous : en
cec état, & ayant relevé le porte-poinçon on replacera
la petite platine de la cage de la montre, fur laquelle
on -fera descendre le poinçon, Ton extrémité marquera
(vtr cette platine le point nouveau trou de pivot,eororùe fpilo cnodnavnite an tc deleu ip deerc 1e ar uutrne
platine. La roue replacée dans la cage fera parallèle 8c
fe Stii glee tpreorup ednodinctu loanir ec haeurxc hpel altein eeso.r refpondant eftoit
dans la petite platine, on commenceroit par prelenter
la cage toute montée au poinçon, auquel on feroit conpveonfiitri
ocne , t8rco ure ;l eavyé alnet pconifnuçitoen f, ioxen ôlat emraa ilna pdeatnitse cpeltate
tine ; la grande fe trouvant alors à découvert, on abail-
fera fur elle le poinçon, fon extrémité qui s’y imprimera
indiquera le point cherché : ou bien on retournera
la cage, enforte que fa petite platine foit tenue par les
griffes de la main, 8c on procédera comme il a été dit
ci-devant.
P L A N C H E X V III. i.Jùite, cotée QQ> ou
figure 97.
Machine pour tailler les fufées, à droite & à gauche
aveLce l ad emffêemine 8 cv ilsa, dpeafre rleip ftlieounr dReé cgenttaeu lmt adcchXinhea oanlot nest^c
tiréLse ds up ilèivcrees d&e M8c. xT hmioaurtq.uent le chaflis qui porte les
ppieèucte st adraeupdueisr ?a jdurfoqiute'e no uV .à {g Vau ecfht eu, nce alarb nree qtauiet rli'oenn
qfounoti qtuaiel léceesl ulie-sc i fulefé efos iàt àl’ ograduicnhaeir e&. Cdeatn sa rlber ef eenfst qfauxee
fur la piece * par fes deux tenons g g qui font la meme
pièce quex en le faifant entrer par g ; on pafle enfiute
une piece en forme de canon, taraudee en - dedans y
fuunre l ea umtrêem pei epcaes tqauraeu ldaé ve iXs. ,O qnu ip lfaecret fau rd léat emrmeminee r vlies
nombre de tours que l’on veut mettre fur la hilea On
pafft l’arbre dans '.je tenon «, & après avoir placé la
m■ aniMvellMe T dmefol'yues ne nd em l',é ldrpoun tn l e ab olau pt ieecfte yqu eafttr |et>, t.notne
- ■celMieH/oWu p &et icto bmrams ep acre tltea cpKieecvei/lelefZt fqixmee-f aiuit cchhaaflrinsi pèraer
une autre cheville au pointK, ce ppintlut lert de cenmtrea
nliovreflqleu cl al 'ovnis tfoaiut rnaev anl’caerrb roeu. vPearr.s lge omu ovyeerns HX : laa
pleimeceen yt ndee fpleuus.t Ctoeu rmneoru vavemece lnat vdi sa &lle rf e8 cp rdoem venene irf eeuft
répété fur le grand arbre e par le moyen de la traverfe
a a que l’on fixe fur l’un & fur l’autre bras par les che-
pvirlolepso br tqioune dl’oesn hmauette duarsn sd lee sf utrféoeu.s Cdeo ngt roannd a bbreatso ien aa
vers fon milieu un emboîtement L, perce quarrement,
dans lequel pa(Te la piece L , dont une part* de la longueur
eft limée quarré; elle remplit emboîtement L -,
fautre partie eft taraudée & paflec dans un ecrouN ;
terlele efxetrrté àm faitiére, pavoarntec eurn oeu t êrteec ufelenrd luae p, iedcaen sL lqaquui,e all e1 aoun
fixe à charnière la piece H par la cheville I, laquelle
piece H porte à l’autre bout 1 échoppé G, qui pafle au-
travers de la tête de cette piece où elle eft fixee par la
vcéise 7e n: l’caarnboren y, lVaq upeolrlete eunntree adlaonnsg e1 aorub raef,f i8ect tye e^ftp feixree
par une cheville à l’endroit M c’cftr/de(Tus cette affiette
que l’on fait porter la bafe de la fufee A, dont la tige
entre dans le canon B du taffeau ou affiette : cette fufee
eft fixée à cet endroit par l’autre, vis D, pour y etre
ta Toût étant ainfi difpofé, il faut confidérer deux
mouvemens différens au grand bras e ; par exemple, fi
cohne lvei lfliex eR a,u & ch qauflei sl ’poanr tuonuer ndee lfae sm eaxntirvéemlleit Tés t&ell epmare nlat
que la piece y avance vers g> & qu’alors pn baille la
barre H qui porte l’cchoppe G jufqu’à ce qu elle touche
la fuperficie de la fufee A, cette fufee fe taillera dans
lgea ufecnhse .q uSei alua cvoisn tdrae irl’ea robnre ô t{eV la e cfht etvairlaleu dRe eq,u qi ulei revlot iat
bà rfaisx epr olue rg creanntdr eb rdaes me,o u&v eqmueen lt’ olne dpooninnte P à e cne yg rpalnad
çant la vis py dont l’affiette O arrête le grand bras,
alors II vous tournez la manivelle dans le même fens
Wque, vauo u-s l ieauv eqzu f’aauitp cair-adveavnat nilt ,a llel ohiat uvte drsu db r;a sl ae piireac vee Hrs
par conféquent ira auffi dans un fens contraire à celui
qu’elle alloit auparavant. Ainfi on ne taillera la fufée
que lorfque l’on tournera la manivelle de l’autre côté.
Il faut obférver de retourner le bec de l’échoppe G de
ld’aeu ctreer ccleô tQé Qqu aenftd poonu vr ecuot ntateilnleirr àle dgroraitned. bLraa sp opratri olne
bout, 8c pafle dans un empâtement fait à la piece S qui
tient au chaffis. On voit que le bout fupérieur du bras e
eft fendu enfourche, dans laquellepaffie la barre «/pour
fervir de guide, lorfque l’on a ôté la Yis p 8c remis la
cheIlv iflaleu tR a upffoiu qr utaei lllae rp iàe cgea uFc hfoe.it fendue afin de fervir
d’appui à la piece H lorfqu’on le fait defeendre, pour
que l’échoppe touche à la fufée.
P L A N C H E X V III. i.fiuité, coule RR.
Cette Planche repréfente la machine à tailler les fu-
fées, inventée par le ficur le Lievre, & décrite au mot
FFuigs.é e9 7, .t onm°.. 1V. IPI.l apna gg. é3n9é r3a.l de la machine. I 97. n®. 3. Élévation de la machine vue du côté du quarré
où on met la manivelle. a 97. n°. 4. Profil de la machine vue du côté oppofe.
P L A N C H E X IX . cote'eSS.
100.
toi.
102.
103.
104.
IO f.
IO<». 107.
108.
Démonftrations relatives à la forme des
dentures des roues 8c des pignons, expliquée
à l’article D en t , tom. IV.p. 840,
841, & fiûvantes.
9 Figures de différentes fortes de conduites
Vexpliquées à l’article C o n d u i t ^
\tom. III. pag. 844.
Explication des quatre Planches qui repréfentent la
machine à fendre de M. Sulli, décrite au mot Fendri
(machine à ), tom. VI. pag. 486. & fiûv antes.
P L A N C H E X X ; cotte T T .
Vue perfpeâive de la machine.
P L A N C H E X X L cotde VV.
Plan général de la machine.
P L A N C H E X X II. cotde XX.
Profil général de la machine.
P L A N C H E X X III. cotdeYY.
Profil de la largeur de la machine 8c divers dévelop-i
pemens.
P L A N C H E X X IV . cotde ZZ.
■ Repréfentation perfpeâive de la machine a fendre
les roues de pendules 8c de montres, compolee par
M. Hulot, tourneur & méchanicien du ro i, 8c décrite
au mot F e n d r e ( machine à ) , tom. VI.pag. 483.
P L A N C H E XX V. cotde A AA.
Profil de la ipachine à fendre.
H O R L O G E R I E . ¥
P L A N C H E X X V I . cotee B B B.
Autre vue perfpeétive de la même machine à fendre,
8c développemens de plufieurs de fes parties.
P L A N C H E X X V I I . cotde C G C .
Carillon à quinze timbres vu en perfpeétive avec le
rouage qui le fait mouvoir.
P L A N C H E X X V I I I . cotee D D D.
Fig. 1. Plan du rouage qui fait tourner le cylindre du
carillon, fiir lequel il y a douze airs notés.
2. La fiuifle plaque derrière laquelle eft le cadran de la
pendule ; on y voit les détentes qui communiquent
au carillon,
3. Vue du carillon du côté oppofé au rouage qui le
fait mouvoir.
Ce carillon a été exécuté par le (leur Stolverk.
P L A N C H E X X I X . cotde E E E .
Defeription du pyrometre compofé pour faire les expériences
de la dilatabilité' des métaux.
Cette Planche 8c fon explication ont été tirées du
livre de M. Ferdinand Berthoud.
Laf ig . 1. reprefénte lq pyrometre renfermé dans (on
étuve. Lafig . 2. le pyrometre féparé de fon étuve. F ,
G , H , I , eft une piece de marbre qui a cinq piés de
haut, douze pouces de large, & cinq pouces d'épaiffeur:
cette piece eft percée au haut d’un trou, au-travers lequel
pafle le pilier A , dont la bafe a trois pouces de
diamètre, 8c le corps deux pouces & demi ; ce pilier eft
fixé avec le marbre au moyen d’un fort écrou: le corps
du pilier eft fendu comme un coq de pendule à fécondes
y il porte deux vis qui tendent 8c paflènt au centre
du pilier.: ces vis fervent à fixer le corps que l’on veut
obférver; 8c fi c’eft un pendule, elles portent la fufpen-
fion comme feroit un coq de pendule. On a formé au
bout de ces vis des efpecesde pivots trempés & tournés
avec foin ; ils paflent d’aberd dans le corps à obférve
r 8c entrent jufte dans la partie oppofée du pilier,
laquelle n’cft point taraudée ç ce pilier fert ainfi à fixer
les pendules d’une maniéré folide 8c invariable.
Après avoir fefpendu un pendule à fécondes au pilier
A , on perce au - deflous de la lentille D un fécond trou
dans le marbre; au-travers ce trou pafle comme dans
le premier, un pilier de trois pouces de bafe ; il eft fixé
à la piece de marbre de la même maniéré que le pilier A ;
la bafe de ce fécond pilier s’élève à trois pouces 8c demi
du marbre, & fert à porter, au moyen de deux v isa 8c b t
repréféntés en grand y fig . j , le limbe de l’inftruinent re-
préfénté en grand y fig. 3.
Au centre du limbe, fig. 3. fé meut un pignon c de
feize dents ; il doit être exécuté avec beaucoup de pré-
cifion, 8c fendu fur la machine à fendre ; il fe meut entre
le pont g 8c le limbe A C ; fe tige porte une aiguille
mn mife d’équilibre par le contre-poids n. Au haut du
limbe fe meut auffi, entre le limbe 8c le p o n t / , un râteau
b a de quatre pouces de ra yon; il porte douze
dents ; ce rateau engrene dans le pignon c de feize dents ;
ce rateau eft fendu fur le nombre 3 96 : ainfi pour faire
saire un tour à l’aiguille, il fait une vingt quatrième trois
.quarts partie de fa révolution, ce qui répond à un angle de
quatorze degrés cinquante minutes foixante 8c dixquatre-
vingt-dix-feptiemes. On trouve par ce moyen le point
du rateau où la verge doit appuyer, pour qu’une demi-
ligne d’alongement faffe faire un demi-tour à l’aiguille
& parcourir cent quatre-vingt degrés : ce point doit être
diftant du centre a de trois lignes fept huitièmes. Ayant
donc pris trois lignes fept huitièmes du centre du rateau
avçc beaucoup d’exaélitude, 8c percé un petit trou dans
lequel on a fixé une piece d’acier trempée à laquelle
on a donné une courbure telle, que lorfque la verge
du pcndqlq s’alonge ou fe raccourcit, ce levier m ne
change pas de longueur. La piccé q a fur laquelle eft
fixée Ja petite portion d’acier, fe meiit fer le centre du
rateau par une vis de rappel e , enfotte que l’on peut
par ce moyen faire changer le rateau & amener l’aiguille
au degré eorrefpondant du thermomètre, fens
changer la pofition du levier qui doit toujours être
à-peu-près perpendiculaire au pendule.
Les différentes divifions faites fur la piece q a y fervent
à produire des variations plus ou moins grandes 3
il y en a une à fept lignes trois quarts du centre ; double
en longueur de celle où a été fixée la petite pièce
d’acier ; elle fert dans les cas où l’alongement des corps
étant confidérable, ils feroient parcourir à l’aiguille
plus de 180 degrés du limbe. Pour fixer & déterminer
la pofition du pendule fur un de ces points de di-
vifion, on a lait une piece de cuivre Ih , que l’on fixe
au limbe par le moyen d’une forte vis i : la piece lih Ce
meut en coulifle, enfotte qu’on peut feire approcher
fon extrémité h fort près du centre du levier où font
les divifions : là cette piece eft percce d’un trou dans
lequel on fait pafler une tige d’acier fixée au centre de
la lentille du pendule que l’on veut obférver.
On a auffi difpofé une forte piece de cuivre D ,fig. 4.
qui a quatre pouces de diamètre, & un pouce 8c demi
de hauteur; elle fert à porter le limbe, lorfque l’on
veut mefurer des corps de differentes longueurs : ce
cylindre eft a jufté avec une forte piece de fer coudée E F ,
qui fert à la fixer fur le marbre, au moyen d’une vis de
preffion G , telle que celle qui attache un ctflu après un
établi: à-travers de la piece de.cuivre il y a une entaille
dans laquelle fe loge une partie de la piece de fer oppofée
à la vis ; c’cft ce qui fait la preffion de la bafe du cylindre
de cuivre fur le marbre : on voit cette piece attachée
au marbre en E tfig. 1.
La figure x. repréfénte la machine toute montée avec
fôn pendule, dont le crochet porté par la lentille vient
pafler fur le rateau, enforte que fi Ja verge s’alonge ou
fe racourcit, le rateau fuivra le meme mouvement, ce
qui fera tourner le pignon & l’index ou aiguille qu’il
porte ; lorfque le pendule fé raccourcit > ce rateau fuit
fon mouvement, étant ramené par le petit poids Pyfig. 3.
lequel tient à un fil qui s’enveloppe fer la poulie d t
portée par l’axe du pignon.
Pour produire les changemens de température, on a
placé au-bas de l’étuve un poë'Ie E F a c3figure 1. lequel
communique à l’étuve par un tuyau à foupape ; ce tuyau
eft dirigé contre une plaque de tôle recourbée, de maniéré
à divifer la chaleur du poêle 8c la répandre également
dans l’étuve, fans frapper un endroit plus que
l’autre, ou le moins inégalement, afin d’imiter autant
qu il eft poffible, l’effet de l’air fur les corps: cette
boîte eft percée dans fe longueur, d’une fenêtre qui
permet de voir dans l'intérieur de l’étuve, & de remar-
j quer quelle eft la température qui y régné , ce qui eft
indiqué par un thermomètre : cette ouverture eft fermée
par une glace, & permet en même teins de voir
les variations de l’aiguille du thermomètre.
La figure f . repréfente les deux vis qui fervent à fixer
le limbe fur la bafe du pilicr ou cylindre, fig. 4.
Il réfulte des obférvations faites par l’auteur, que
les différens métaux s’alongent dans le rapport des nombres
contenus dans la table fuivante.
Noirs des métaux & autres corps Nombres qui expriment le rapport
mis en expérience. de leur alon,
Acier recuit, . . . 69. Fer recuit, . . . . . 7 y.
Acier trempé, . . 77. Fer battu, . . 78.
Or recuit, . . 82.
Or tiré à la filière, • • 9 4 - Cuivre rouge, . . 107.
Argent, . . . 119.
Cuivre jaune, . . 111.
Plomb, . . . . . . mm Le verre, . . 61.
Le mercure, . . . lijf.
F ÿ