Ï Ï O R L O
L e cadran Ayfig. i. eft divifé en douze •parties ;i l fe fixe )
quarrement fur le canon de la plaque p , fig. 3. laquelle • tourne, comme je l’ai dit, avec la roue du cadran. ^
L ’entaille 0 de la plaque p fe prêtante au bras 4f i , a :
l’ inftanc que les douze heures du petit cadran fe trouvent
dans la ligne de fix heures du grand : ainfi chaque
fois que le cadran A fait un tour ? fi le réveil eft monte,
il marchera au moment que le chiffre 1 1 fe trouvera a
la ligne de fix heures. Or fi dans cette pofition on met
la petite pointe de l’aiguille des heures. '( l'aiguille eft
diamétralement oppofée à la grande aiguille) fur le chiffre
-il du cadran A , l’aiguille des heures marquera midi
fur le grand cadran, tandis que les douze heures du
petit-cadran feront diamétralement oppofées à celles du
grand 3 ainfi le réveil partira à m id i, puifqu’à cet inftant
l ’entaille 0 fe préfente au bras 4 /
Le réveil part, comme o a vient de le vo ir , chaque
fois que le chiffre 1 1 fe trouve avec la ligne de fix heures
du grand cadran } ainfi l’heure à laquelle doit frapper
le marteau dépend de l’intervalle qu’il y aura du
chiffre 1 1 du cadran A à la pointe E de l’aiguille ; car on
a vu qu’en mettant la pointe E de l’aiguille fiir le chiffre
1 1 le réveil part /lorfque l’aiguille des heures arrive
fur le midi. Si donc on met la pointe E de l’aiguille fur le
chiffre 1 du cadran A , cela rétrogradera d’une heure le
cadran : ainfi lorfque l’aiguille des heures fera fur midi,
la pointe de l’aiguille étant fur le chiffre 1 du cadran, il
faudra que l’ aiguille des heures parcoure une heure du
.grand cadran; pour-lors le chiffre 1 1 du cadran A fera
dans la ligne de fix heures, & le réveil partira.
C ’eft par un femblable raifonnement qu’on verra que
mettant la pointe E de l’aiguille fur le chiffre 3 , lorfque
l’aiguille des heures fera arrivée fur le midi, le cadran
-de réveil préfenterale chiffre 3 à la ligne de fix heures :
i l faudra donc que l’aiguille des heures & le cadran A
parcourent encore trois heures avant que le chiffre 1 1
foit parvenu à la ligne de fix heures, Sc que le réveil
frappe : celui-ci partira donc lorfque* l’aiguille des heures
arrivera fur trois heures, Sc ainfi de fuite pour toutes
les antres heures, &c.
Dans les réveils à cadran il fuffit donc de mettre le
chiffre qui repréfente l’heure à laquelle on veut être
éveillé, fous la poinie E de l’aiguille : pour-lors la grande
aiguille arrivée à l’heure en queftion, le réveil fonne.
Le bras x du levier b yfig. 3. fert à empêcher le marteau
M d’approcher trop près du timbre; la fourchette
P qui fait reffort, ramene le marteau dès qu’il a frappé
fur le timbre 3 le reffort h eft celui du cadran, f eft un
cliquet qui, avec le rochet D , tient lieu de la vis fans
fin , qui s’emploie communément pour fixer par l’arbre
le bout intérieur du reffort de mouvement, & pour
lui donner le degré de tenfion dont il eft befoin : le
reffort 3 preife le cliquet contre le rochet D.
B a s de la Planche.
Montre a équation, à fécondés concentriques, marquant
les mois & leurs quandemes.
La fig. 7. PI. D D , repréfènte le cadran de cette mont
re ; l’aiguille des fécondes paffe, comme dans les pendules,
au-deffus des autres aiguilles : c’eft une fuite de
la difpofition de cette piece.
L ’aiguille des minutes eft en deux parties diamétralement
oppofëes, dont la plus grande marque les minutes
du tems moyen fur le grand cadran; & l’autre,
où eft gravé un foleil, marque les minutes du tems vrai
fur le cadran A qui eft au centre du premier. L ’ouverture
G faite dans le grand cadran eft pour laiffer paroî-
tre les mois de l’année gravés fur la roue annuelle, ainfi
que les quantièmes qui le font de cinq en cinq : l’ufage
de ces quantièmes eft principalement pour remettre la
montre lorfqu’ elle a été arrêtée, enforte que l’équation
réponde exactement à celle du jour où l’on eft. Pour
cet effet l’ étoile E , fig. 8. a un de fes rayons qui eft
toujours fàillanc en - dehors de la fauffe plaque, ce qui
donne la liberté de la faire tourner, & par fon moyen
la roue annuelle.
La montre fe remonte par-deffous, ce qui a permis
E R I E.
d’appliquer au fond de la boîte un cercle de quantieme,
conftruit comme ceux dont parle M. Thiou t, traité
£ Horlogerie, tom. II. pag. 387.
La figure 9. repréfente l’intérieur de la fauflè plaque,'
dont le dehors porte les cadrans yfig. 7. C ’eft dans cette
•plaque que font ajuftées les pièces qui forment f équation,
ou qui donnent les variations du foleil. A eft la
Toue annuelle de 14 6 dents, fendue à rochet, mife immédiatement
fur le cadran : elle tourne fur un canon que
porte la fauffe plaque ; la roue annuelle s’appuie fur le
fond de la plaque ; l’ellipfe B eft attachée fur la roue
annuelle; elle fait mouvoir le rateau H F , qui engrene
dans le pignon C ; celui - ci eft porté par un canon qui
paflè dans l’intérieur de celui de la fauffe plaque : fur
le canon où eft fixé le pignon C , eft attaché en-dehors
le cadran A du tems vrai, Ainfi on voit qu’en faifânt
mouvoir la roue annuelle, ce cadran doit néceffairo-
ment fe mouvoir, tantôt en avançant, & enfuite en fe
rétrogradant, fuivant qu’il y eft obligé par les différons
rayons de l’ellipfe, ce qui produit naturellement les
variations du foleil : voici le moyen pour faire mouvoir
la roue annuelle.
Le garde-chaîne de la montre eft fixé fur une tige,
dont les pivots fe meuvent dans les deux platines, Sc
peut y décrire un petit arc de cercle ; un de ces pivots *
porte un quarré fur lequel eft ajufté dans la cadrature le
levier A C yfig . 8. à pié de biche. On voit dans la fig . 6.
ce garde - chaîne, qui eft repréfenté en perfpeétive avec
l’étoile Sc le crochet de la fufée.
Lorfqu’on remonte la montre, le garde-chaîne ABC,
fig . 6. fixé fur la tige Sc mis entre les deux platines, eft
foulevé par la chaîne, jufqu’à ce qu’il foit à la hauteur
du crochet D de la fufée ; le crochet lui donne un petit
mouvement circulaire qu’il communique au pié de biche
C yfig . 8. dont l’ extrémité s’ engage dans l’étoile E ,
qui eft à cinq rayons , Sc fait ainfi palier un de ces rayons
toutes les fois que le crochet de la fufée pouffe le garde-,
chaîne.
L ’étoile E eft affujettie par un valet ou fautoir D qui
lui fait faire la cinquième partie d’un tour, &■ l’empêche
de revenir en fens contraire lorfque le pié de biche fe
dégage ; l’axe de cette étoile porte deux palettes oppofëes,
comme on le voit ,fig. 6 : ces palettes fervent à
conduire la roue annuelle, enlorte que deux dents de
cette roue paffent néceffairoment en cinq jours; ce qui
lui"fait faire fa révolution en 3 jours.
Sur la fauflè plaque, fig . 9. eft artaché un reffort K L ;
qui fert de fautoir pour maintenir la roue annuelle, en-
forte que les palettes que porte l’étoile ne puiflènt lui
faire paffer ni plus ni moins de deux dents pendant une
des révolutions de cette étoile.
On peut faire mouvoir la roue annuelle d’un mouvement
continu, en fupprimant ce garde-chaîne mobile
, & en iaifant de l’étoile une roue qui engrene avec
une roue du mouvement, qui lui faffe faire un tour en
cinq jours.
Le reffort G yfig . 9. fert à preffer continuellement le
rateau H contre l’ellipfe. Pour cet effet le bout F de ce
rateau porte une cheville qui appuie fur le bord de l’ellipfe
; ainfi le rateau avance Sc rétrograde felon que
l’ellipfe l’y oblige ; Sc celui-ci fait avancer ou rétrogra-
der le pignon C & le cadran A yfig . 7. O r comme l’aiguille
S du tems vrai fe meut d’un mouvement uniforme
, les variations du cadran exprimeront celles du foleil.
L ’aiguille S marquera donc les variations du foleil,
tandis que le bout oppofé indiquera les minutes du tems
moyen : le reffort B , fig. 8. fert à ramener le pié de biche
A C , à mefure que le crochet de la fufëe rétrograde.
P L A N C H E X . 4. fititey cotée E E ,’
& ç . fid t e , cotée F F.
Montre à répétition avec un échappement à cylindre, félon
la confiruclion de Graham.
Cette Planche Sc fon explication font tirées du livre
de M. Berthoud.
La fig . 1. de la Pl. E E repréfonte le rouage du mouvement
compofé des roues B ,C ,D ,E , F ,& c e l l e du
rouage
H O R L O G E R ! Ê.
*7
rouage de la répétition a , S , c y d y eyfiy qui compofent
le petit rouage; toutes ces pièces font renfermées entre
les deux platines. Le reffort du mouvement eft contenu
dans le barillet A. B eft la grande roue ou la roue de
fufée. C la grande roue moyenne, dont le pivot prolongé
porte la chauffée fur laquelle s’ajufte l’aiguille
des minutes. D eft la petite roue moyenne. E la roue de
champ, Sc F la roue de cylindre ou d’échappement. La
fiifce I eft ajuftéc fur la grande roue B , de la même maniéré
que nous l’avons vu : pour celle de la montre,
la chaîne l ’entoure de même, & tient de même au
barillet. Le crochet O fert à arrêter la main, lorfque
l’on a remonté la montre au haut ; il arrête fur le bout
du garde-chaîne C , qui tient à l’autre platine; fon effet
fe Êiit de même que celui de la montre fimple. La fig .
8. repréfènte le développement de l’échappement à cylindre.
B eft le balancier fixé fur le cylindre. F eft la roue
de cylindre, laquelle eft repréfeniée comme tendant à
agir fur le cylindre & à faire faire des vibrations au balancier.
On n’a pas fait mettre le fpiral ni ce qu’on appelle
la couliffieneySc le deflîis de la platine. On appelle
défit s de platine les pièces qui fe mettent fur la platine du
balancier, comme la rofette, le coq, & la coulifterie;
toutes ces parties étant ies mêmes que celles de la montre
à roues de.rencontre vile dans les Planches précédentes.
Le rouage de la répétition eft compofé de cinq roues
* , b , c , d y e, du pignon fi, Sc de quatre autres pignons.
L’effet dê ce rouage eft de regler l’intervalle entre chaque
coup de marteau» ‘ v
La première roue æ, ou grande roue de fonnerie,
porte un cliquet Sc ün reffort fur lequel agit un petit
rochet mis fous le rochet R , ce qui forme un encliquetage
comme celui que l’on a vu à la première roue
de la répétition, Sc dont l’ufage eft le même, c’eft-à-
dire que quand on pouffe le pouffoir, le rochet R rétrograde,
fans que la,roue a tourne; & l e reffort qui
eft dans le barillet B ramenant le crochet R , dont l’axe
g eft accrochée au reffort, le petit crochet arcbouce
contre le cliquet, fait tourner la roue a y S c ie rochet R
fait frapper le marteau M , dont le bras M eft engagé
dans les deûts de ce rochet.
Le reffort r attaché à la platine yfig . 1 . agit fur la petite
partie n du bras m yfig . 1. L ’effet de ce reffort eft de
preffer le bras m contre les dents du rochet, de-forte
que lorfque l’on fait répéter la montre, le rochet R rétrograde,
& le reffort r ramene toujours le bras my afin
que les dents du rochet faffent frapper le marteau. P a f
fons maintenant à la defëription de la cadrature.
La f ig . d. dans la Pl. F F , repréfente cette partie d’une
répétition qu’on appelle cadrature. Elle eft vue dans
l'inftant où l’on vient de pouffer le bouton pour la
faire répéter. P eft l'anneau auquel tient le pouffoir ; il
entre dans le canon O de la bo îte; & s’y meut fur fa
longueur , en tendant au centre ; il porte la pièce p qui
eft d’aciel, Sc fixée au pouffoir; elle eft limée, plate
par-deffous: une plaque qui tient à la boîte fert à l’em-
pecher de tourner, & lui permet feulement de fe mouvoir
fur fà longueur : l’excédant de cette piece eft pour
retenir le pouffoir de’ maniéré qu’il ne puiffe fortir du
canon de la boîte.
Le bout de la piece p agit fur le talon t de la cré-
niaillere C C , laquelle a fon centre de mouvement en
y y Sc dont l’extrémité c fixe un bout de la chaîne s s.
Lautre bout tient à la circonférence d’une poulie A ,
nuie quarrement fur l’axe prolongé de la première roue
du petit rouage : cette chaîne paflè fur une fécondé
Poulie B.
Si donc on pouffe le pouffoir P , le bout c de la crémaillère
parcourra un certain efpace, 8c par le moyen
la chaîne s s y il fera tourner les poulies A , B : ainfi
fe rochet R , fig . 7. rétrogradera jufqu’à ce que le bras b
de la crémaillère appuie fur le limaçon L : p o ur -lo r s
le reffort moteur de la répétition ramenant le rochet
& les pièces qu’il porte, le bras m fe préfentera aux
dents de ce rochet, 8c le marteau M frappera les heures,
dont la quantité dépend du pas du limaçon L , qui
le préfente au bras b. Le limaçon L eft fixé à l’ctoile E ,
Pat le moyen de-deux vis : ils tournent l’un & l’autre fur
*a c‘ge de la vis V , portée par le tout - ou-rien T R ,
qui fe meut fur fon centre T ; le tou t-oti-r ien forme
avec la platine une cage où tournent l’étoile & le limaçon
des heures.-Voyons maintenant comment les quarts
font répétés.
Outre le marteau M des heures,il yen â tin autre N ,
Pl. précédente yfig. 1. dont l’axe ou pivot paflè dans la
cadrature, Sc porte la piece p, 6 y fig . 6. Le pivot pro-*
longé du grand marteau paflè auffi dans la cadtaCure,
Sc porte le petit bras q : ces pièces p , 6 Sc q fervent à
faire frapper les quarts à doubles coups. C ’eft-là l’effet
de la piece des quarts Q , laquelle porte en F & en G des
dents qui agiffenr fur les pièces q ,C y8c font frapper le
marteau : cette pièce Q eft entraînée par le bras K que
porte l’axe du rochet R au - deflùs de la poulie A , de
maniéré que, lorfque les heures font répétées, le bras K
agit fur la cheville G fixée fur la piece des quarts, 8c
l’oblige de tourner & de lever les bras q Sc d%ôc par-
conféquent les marteaux.
Le nombre des quarts que doivent frapper -les marteaux
eft déterminé par le limaçon des quarts N , félon
les enfoncemens f , 1 , 1 ou 3 qu’il prêtante; la piece
des quarts^ Q preffée par le reffort D , rétrograde ; 8c
les dents s’engagent plus ou’moins avec les bras q y d ,
qui ont auffi un mouvement rétrograde, Sc font ramenés
par les relïbrts xo Sc 9 : le bras K ramenant la piece
des quarts, le bras m que porte cette piece, agit fut
l’extrémité R du tout-ou-rien T R , dont l'ouverture x .
à - travers de laquelle paflè une branche fixée à la platine,
permet que R parcoure un petit efpace : le bras m
étant parvenu à l ’extrémité R ; ce lle -c i preffëe par le
reflort i x , revient à fon premier état, de maniéré que
le bras m pofe fur le bout R , & que la piece des quarts
ne peut rétrograder fans qu’on éloigne le tout-ou-rien.
Le bras u que porte la piece des quarts fert à r en ver fer
la levée rnyfig. 7. dont la partie I paffe dans la cadra-
tuie; enforte que lorfque les heures & les quarts font
répétés, la piece des quarts continue encore à fe mouv
o i r , & le bras u renverfe la levée m de lafig. 1. Pl. EE
au moyen de la cheville x qui paflè à la Cadrature, «3c
la met par ce moyen hors de prife du rochet R , pendant
tout le tems que le tout - ou - rien T R ne laiffèra
pas rétrograder la piece des quarts; ce qui n’arrivera
que dans le cas où ayant poulie le pouffoir, le bras b
de la crémaillère preflè le limaçon, «Sc faffe parcourir
un petit efpace à l'extrémité R du tout - ou- rien ; alors
la piece des quarts defeendra Sc dégagera les levées, Sc
les marteaux frapperont ie nombre d’heures Sc de quarts
que donnent ies limaçons- L & N.
Le grand marteau porte une cheville 3 qui paffe dans
la cadrature au-travei-s de l’ouverture 3 : le reffort agit
fur cette cheville, Sc fait frapper le grand marteau: ce
marteau porte Sxne autre chevxlle z qui pafle auffi dans
la cadrature par l’ouverture z ; c’eft fur celle ci qu’agit
le petit talon de la levée q pour lui faire frapper les
coups pour les quarts : le petit marteau porte auffi une
cheville qui paflè dans la cadrature par l’ouverture 4 ;
c’eft fur cette cheville que preffe le reffort 7 , pour faire
fr apper le marteau des quarts ; le reffort S eft le fau?
toir qui agit fur l’étoile E.
La fig. 9. Pl. F F , repréfeîite la chauflce & le limaçon
N yJig. d. vû en perfpeétive. Le limaçon N des quarts
eft rivé fur le canon c de la chauffée, dont l’extrémité D
porte l’aiguille des minutes: ce limaçon N porte la fur-
prife S , dont l’effet eft le même qu’à celle de la répétition
en pendule ; c’eft-à- dire que lorfque la cheville O
de la furprife fait avancer l’étoile, 8ç que le fâutoir
achevé de la faire tourner, une des dents de l ’étoUe
vient toucher la cheville O qui porte la fûrprife, & fa ic
avancer la partie Z yfig. 6. de cette furprife, enforte que
le bras Q de ia piece des quarts porte deflus cette partie
Z , Sc empêche la piece des quarts de defeendre dans le
pas 3 du limaçon ; ainfi la piece répété feulement l’heure.
Ce changement d’une heure à l’autre fe fait par ce
moyen en un inftant, Sc la piece frappe exactement les
heures marquées par les aiguilles.
Le canon de la chauffée c D yfig . 9. eft fendu, afin
qu’il puiffe faire reffort fur la tige de la grande roue
moyenne, fur laquelle il entre à frottement, affez doux
pour pouvoir tourner aifëment l’aiguille des minutes