I I I S T O I R m Ë È È Ê Ê È Ê B m iïS n M
■ conformité avec .-Je ? freux darfs « tout ;f e refie. ene^.jsfîêmbl.e
beaucoup à la corbine ’ ou. .-ootneille noire j.jcjçfi: à peu-jg^s-la
même taille,-ïfe. même port, ie même cri-, ïe même fon de y o lji
ie même vol : elle a la.queu.e. & . les ailes ,. fe bec & les piçd$\
& prefque tout ce que l’on ;.çonnoîf •(de1'lès parties intérieures
c o n fo rm é e s même dans-les plus petits- détails ( k ) 't ou fi elle
|y$gl .éloigne en quelque, ehpfè ^hc’eft -.pour -fe^rgpprocher-de 1$
nature du freux : elle va fouyeàiitlÉÉÉÉfe comtnfr-lniflÇÜé niche
fur les arbres (A)?, elle1 pond- quatre ou .-cinq çeufs,- mâqge-, fijeux
des petits pifeaux, & quelquefois, les petits; pife§ux.-eu.^'ri^rïleSvrifi
; Tant de-rapports & de traits de irefTçmblancei avecda corbine
& avec le freux, meièroient loupçonnef que-1* pojmciifo-mantglée
fèroit une race métiffe, produite par, le mélange de cej, deux
efpèces: & en effet, fi .elle étoit une fimpfc: variété dpja çç^bifleï.'
d’où, lui viendroit l’habitude de voler p a r troupes nombfeufçs.; &
de changer de demeure deux fois l’année! ce-que.ne fit Jamais
la edrbirie comme—nous l’avons vu-; & f i . elIé^éîQ%une.,
fimple variété du freux, d’où’ lui viendraient tant d’autres rapports
*. ( h ) ■ Aboyez WlSugh&ÿy Ornithologie ,‘ pagei 84.- , ■
( l ) Frilch remarque. quîelle. cinfe^es .arbres, tantôt
fur ies branches inférieures, qui. iuppcîièfqit^qu’eilq. fait ^ ^ ^M ^ ^ s> |||p .p n te en
Allemagne. Je viens de maflùrer par moi-même quelle niche quelquefois en France,
& notamment en Bourgogne. -U n e .^ ^ ^ ^ e ^ ^ ^ d ^É .ü x -ré îid e . conhamment", depuis^
deux ou trois années à Baume- l ^ vRogî^,^dam geftain£ trous;
corneilles frayonnes étoient ci-devant en poflèflion de, m ^ ^ ^ u s |^ ^ |« M p u i !s4pius
jf iM $ècle; ces fi-ayonnes ayant été une année fans revenir, une volée de quinze où
|É |g t mpitejées s’empara auffitôt de leurs gîtes, elles y ont déjà fait deux coü.yées, §Çk
elles font actuellement occupées à Ja troifième (ce 26 mai mÊ%0 . ) CtéË Encore un
trait d’analogie entre les deux efpèces.
' (m) Ç°rvus & cornïx femper confpicui finit, nec Joca mutant mit
' Animalium, iih» IX , cap. x x m . *
DiE LA 0 @ R K R IL E E \ M ANTLiMe .
que lle^ ave'eria-'cerbijn^bau;'ili<t|ÿqiie ^eft|^d^qffe rcflëmblancjl*
^^pqlmi-naturellemeni, erf ™f||{;uifr que la corneille nnnnhe
t ff h pjoJun du jnifange de ces, J u i \ < fp/Æs quKÎfè’ flepi^luite
par fai-nature mixte, &( qui .rfërrf d lïfe n e & ' d e0 feu tre ',-fe fe
ppXdrfim;.p0Br»?jti;® o i f r e vraifemh!af>I% au x . P h% fo p h ^ iq û i
fà 'tn t combien les analogies ÿhyfiqucs fwin d’iînjgrandulàgc jioiij.
remoutfi a J aiigi 11e des t'tjes,la(k n'njfiiuî 1 fil gifts' génet itiorinft
mais <011 lui iiihfteia un -nomeau dt^K rda jXob^Ldijxv (ù fui?
.^nfiJeçej qnejjj^ hiiaatelée eftjuho mue iïoti\plIe’,r'qui
ne fut.m comme m nommée p ir ics-VAnaem,, Si qui pai uyÆÎ
ifequent nexiftojt pas jgjilbrff.S[^Ieur temps'ÿADUTfgilê ijp ljii’il
CÊÏÏèArf,-.
il>n’jsiaîppuit de miljiijsuirre u i^ e 'p a s connu dansAiii pays &
n’y | ^ | | p ® n tW u ,foiît-.-|©r, fi elle»effv-<nbùve0ejlhfffttbquelfe
àitiétçvprodui’te parle t®.lange ale- deüx aufres irap8s,4fi&’quelles
péuvSenfccérfe ‘e^sedénx .ràçes^ finon celles- qiuipafp'i^erft!ay*ôir<i|l|s-
de-rapport^ di’analogiej.d&i reffçHpferfce ayie «ellef
fc iiiFw fh h à S i^ if. la céjMiile mantelée rffeia|;,cri4' d’un-fp^t’,
grave-& que tout Ie,inottcfe: e^rfo3 :i, 1 feütreapliis ajgu &!q pi-a
qutlt|in? rapp^jmiavtr-'‘celui du-coq. Il ajoute qu’elle efl fijrt
clp> ^ ‘luc lorfipi’°rt coinx- jiar lc\pitd 1 a j f e :-
fôn hid elle ft-laiffb'toinbe^^ec^’a rfee^^séxTOÊ^
^tOjiir jilutoc cme1 J ’alMiidohneLia aâujuie, ^ ,
k i appliquer cdVque la-fZoalogip Britani-
ni'qûi‘ clitdü f ie u x ^ ^ K ro eft^unli ^pai ja^m ^ n ^ h sjî£)uvi|ï,ic‘HeJ
^ait tiesmifeéles dcflrufieuis aqnt'ellép'urgamnfiSuy^i'aiûiaga'ss^f/^^B
pàfcaa & prdfà Ça
Pa§e 1 ' :