qui les a oblèrvés long-temps & de fort présume les .a jamais
vus s’acharner fur les cadavres, en déchiqueter la chair, ni même
fe pofer dèflus ; & fl eft fort porté à croire quais préfèrent les
iofeétes, & for-tout les vers de ta re à toute autre nourriture: fl
ajoute qu’on trouve de la terre dans leurs excrémens.
Les corbeaux, les Vrais corbeaux de montagne ne font point
oifcaux dé ' p aflàge, & diffèrent ’ en cela plus ' ou moins des
comeflîes auxquelles on a voulu les àflocier. Ils femhlent parti*
cùlièrement attachés au rocher qui les a vu'naître , ou plutôt
fur lequel ;fls fc font appariés ; on les y voit toute d’aînée en
nombre à peu-près égal, .& ils ne l ’abandonnent jamais .entièrement
: s’ils descendent dans la plaine, c’eft pour chercher leuf
fehfiflanos ; ,mqî» îfo y JuJUmadcm pIUs rarement i etG^quéd’hiVer,
parce qu’ils évitent les grandes chaleurs, & c’cft la feule influëhêè
que la différente température-Vies làiforis paroiflè.avoir fur leurs
habitudes. Ils ne paflènt point la huit'dans les bois, comme .font
lés corneilles ; ils lavent' fe choilir, dans leurs montagnesune
retraite à fabri dm nord 5 fohs • des VoûteSr nâtùrelles, formées pat
des avances ou des enfoncemens de rocher; c e f t - Iàf'tjii’cils fë
retirent pendant la nuit, au nombre «fe quinze ou-svingtSIfs
donnent perchés for les arbrifleaux qui croilïent entre lés roéheiw
ils .font leurs nids, dans les crevaflfes-dfeies mêmes roèhèrs, .ou*
dans des trous de murailles, au haut des -vieilles tours.ahandsnnéés,
td é corbeaux, qui n y aboient", jamais paru auparavant, qui -riijr ©ut p©ik| ■«
depuis; mais tout cela ne prouve point que les corbeaux foient cle grands deftruétèurs
dé rats ,e a r ou peut être la dupe d’un préjugé dans i’Iiîe de France comme ailleurs ;
& à l’égard des rats des Mes Bermudes, il peut le faire qu’ils fe foient entre-détruits,
comme il arrive fouvent, ou qu’ils foient morts de faim après avoir tout conlommé,
ou qu’ils aient été ®Éàt|g|sV & noyés par lin coup - ie vent, en païïbnb #u#e ifïe
à l’autre, &-ceia f i n s c o r b e a u x y aient eu beaucoup de part.
^fcu^iqüçfois' fur les*, bayjgs braBjtjjg^des grands„arhres ifol'c s '^ ji
ÿ, là , femelle à qna|l demç^é': attaphç plufièuffl
gpîrt,q§s p^lieux; ifedégpûtaps p o i'
/îous, lu eut iu Jinno^iv sinlguci uiSunoiii^jci ipiôqui &- conftaiiqj’1
ils- £i\ ciityiffijj-k\i)j uqeu con|rjie, teüpterel%p.ar dcàqcgrfrffes
nièces d^pMijSes; &4Ë
i Q ^ ^ d e^Mfafls.Me»m|b.. fi l’pn^en.ooiPçjldques' Anciens;'
épmpÿnce' Æjours^ p ^m ^ '^ ç è ^ ^ ^ â ipM ^ ’ampur
PP fuite fo^pprc^p^leurs fess», ,fo p^i^j,-
é- lon'ii Jipas înanqyé-dc^d11 »coynnu ufo'r.'iiL J .aiUo'j^ifoiuji, i
I le bec * (%|^',fi> dttc^ibfui^Ic H p^fe:
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J.jn^u^jJîkVi^lLeumuç^. jjiui ju'iYV&it|_ajidaiivJcsjj.1.^11 <uts Rf?
Ic^plus latkaiss^Æ.,c<impfets-jjs^avofent Fipfemét
4çv-lt/mtlic- in-ily^lcï dam
M.^Ef-iïe ^ ^ |ujen les
grands chênes (P I ( f jf i*Cela veut'dire qu’il préfère les arbres les plus hauts, & non
i’elpèce $iu chêne ou lapins -
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(m) O p p i a n . De aucupio. 1
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