Cet oifeâu qjîf a neuf à dix’ pouces^ de longueur 'de la- pointe
du-tbec' au bout de lâ queue, en a quatorze d’enveigurE,* & la
tête fort petite, f^ ^ 'M a r c g r a v e . II fe trpuve répandu depuisja,
Gâïôlntb juiqu’au B rein, & dans les îles Caraïbes. II a la groiïèur
du mqrfô s il fautille cOfturté lâ pie & a beaucoup de fé s ‘allures »
fiiiÿânï M . Sfoarfe» 2 etl â lè ïn ljfté çri, fSh n M ^ ^ r a y e , mais
Albin SnMfè qü’fi réflbttthle dans toutes les aâtons à l’étourneau»
& il ajoute qu'on en voit quelquefois quatre ou cinq s’alfocier
pour donner la châflê à un autre'olfêau plus gros, & que Iorfqu’ils
- Font' tlié 5 Hs deyjôrênt leur proie &veC‘ Ofdfl!, chacun mangeant
à fan -rang; cependant M . Slâane, qui eft un Auteur digne de
fbi-, dit quû les trôüpiaïes vivent d’Mlèdtos.. A u relie, cela n’elt
pas abfolüfiient cOttlïâdiiîoirë ; càr tout animal qui fe. nourrit
d’autre animaux vivait*, quoique très-petits, eft un animal de
. prMev-&^i&j déYO!rem à- coup far de pfas-~ïpânâsrf® trouve
Foccafioh <Ié ië~!àIrt:--âvco par exemple j en s’affociànt
tomme les troupiales d’Albm. "
GeS oifoaux doivent kvôif les moeurs Jiis * - faciales, puifqité
FamOürqüidivife tant d autres foeiétés, fombliaü contraire relîèrrer
fes liens dé Jâ leur î bien loin d e 'fe fépâfeî dêifit à deux polir'
s’apparier & remplir làns tém o in ^ S vues de la Nature for la
multiplication de Felpèce/, on en-voit quelquefois un^très-grand
nombre de paires.far un foui arbre, & prcfqûe t ® p u ‘rs\ïiif un
arbre fart élevé & voifin des habitations, conftruifant leur nid,
pondant leurs celtia, les touvant& feignant fénr famille nailïànte. .
Ces nids font de forme cylindrique, faïpendus à Fextrêmite
des hautes branches & flottans librement dans fa ir; en-îforte -que
les petits nouvellement éclo's y font bercés COhthnièuement. mais-'
des gens.qffiÿfe croient bien au fait des intentions des oifoaux,