L a tête & la gor^e font couvertes dufïe ^ p c e e^ é * velours |
fermé par ^ /p e tite s plumes dudites y■‘çaturtes./ fétmtes^fo’ferçées)
celles de la poitrine & du dos fout pî^dbhgues:, mais "tb^jotorç
foyeufes & douces-‘ au toucher. Toutes‘ ces- plumas font-de
diverfes couleurs eoUame ' On îe voit 'dans ïa figure, & ceiy
couleurs font ehàngëantês & donnent dtffçreris‘ reflets';fëîon les
différentes inciSÊnces -36 Ja lumière'1, ée-S^jîié la.figürSriie peut
exprimer.
L a tête eft fort' petite à- proportion dubcorps ÿfifes y%ux font
èâeore plus petits & placés tr<Vÿprè> 'de^l’om-vertuici d ^ ^ ^ ,> |
. lequel ’SdvroM "être plus long & plus âptjüfé* dans îa planche
efi'tuminée enfin, Clufius affure qu’il n’y a "'que dix pennes à
Ja q u e t te , mais fans doute H ne les avcït pas comptées Æ r un
: -Æüc« «ivan t . & il eft douteux q u e e è u * qui nous vieim©n£jie-
fi; loin aient le nombre dfrTgtmr-ykiTrw.o -bw-n. a«wtrfpÆS, d’autant
que cette ^finette à une mue confideîdMe* (Stfqui dure 1
plufieurs mois chaque aimée. Ils le vachenrpendant «0JJcmj»!-L,
qui eft la fàifon des pluies pour de pays quils-habitent; mais au
commencement du moir d’apùt, ceft-à-dim après lakpon te,’ leurs
plumes reviennent, & pendant les iHÔis?4â%>tembre--'& d'diè
tobre, qui font u n temps "de calme, A vont par. trçüpes- coàimé
font tes étourneau* en. Euiopo~:ft2^.. ,. -
C e b d oifeau n’eft-pas fort répandu: on.ne léJtrouvef^pèSe
que dans la- partie d e l’Afie- où croiflênt les ,parai
culièrement da ifcie s ffeS'd’Arou ; iï n’eft^pcmit^inqonnu'-dans-
la partie de là Môüvdfo Guinée-q«i dfb Voifin^de -ces iIlv,
^puifqu’iî y a ’un nom; mais c&Jwïmmême qui. efa>-frumkgiurbïç,
fenjble’ port.er l’empreiijtp du.pâys origiuajrç.
, ^Heibigius-, loto citato.
L'art^Mofi'Ulït^oxjdufifidldifrj'fdtùi. du<PfojJis' putihlles contrées',
PWiStWïCfeM les1 épie|®pÿpnne' lieu igïfkiirSKjii-ilkrj:n< ontréi-fiif
ccs adutsiiLom ti[[uesJa<aoin ttitafauailiiL con.\ u nt K m r u y v S ^
dib<®£i?îstçft - il çert^ga qjl’ifc ne «Mms ',ufflmueip^to£ talée;
J . Ottojn Helbjg«tqui a IvQ^afMkfl*pndSroQhs^-i^rehd'.qu’il
-‘^ ^ n o Ù i n t . > d i , s lirlia l u.ewiÆStjt.\
Lï!Bîi£ÇUS'dit-^iiilKll}ii -la î y > i &
Bostcus jitsi (lïVayij; ik
. les mange (q). Les bois '
j f^ ^ î^ a r b r e s , i où le» Iuâfn^|Ça|]^bjd 6lîtt htflls
*;|égè^gSi qu’ils faver|gpatta|;Jipr ^%%‘Jü6hesj,^^^ft'è>,ds,'le tirent
ÎJfee, leurs WfôeJl^tléfiufoijj ^^.^'j^^^tlîl-midcpugiljiijdtj
l’hiremdêlté, cl||qui lui a; de
îcra«@f^^®d’autres ,qu’il -a di ■ l Iiirbrù
r le ISIS olutLabsw^T &■ ï^t5s?R)tl®' ivistt-touj^iuss
ï*4ui haut da m ™ 1
f^jJ^ïicMopie Marcg^Vbpplatçé^i&foiptip^r diç'ieejJîq|f^| parmi
(o) Tavernier remarque que I-oifëaîi de Paradis‘efl. en effet très-friand1 ide"B^)i$'1
Trnu'fèades: qui! neiMM|:qM;e^t>as de .venir s’e n '- r a i l à f i e r d a . en ^paÏÏè
que cetle noix qui efl. forte, les ’erîiÿ^J&i les fait tomber. d b tome III,
E 9 « 9 H
(p ) Syflema Natum, edit. X , <pagë- i io .
medic. Indioe orient. \ib. Y , cs.~p. 12 .
/ƒ'_J Ik jrc fe i^ fa q ^ ra i^ ^ y si^m^i^iWiaitTe avee ,'ün vcbuteaùiidès^qu^^^^iÎTnb^,
, à tei;Çf > É&. :i
dans ïa cavité un fer r©nge, après quoi on les fait fêcher à la cheminée, & on les
, ' vend à *■vil prix à des Mai-chands. 7.
( f ) Voyez Bonti us, loco citato.
« ^ W ^ g b ns aux Terres auftrales\iome,IL,\page 2 5 2 ,