2:8 2 H i s t o i r e u r e & l 'e , &c.
CL E LO R IO T RAYÉ'fâL
ET oifeau ayant-iéré%égaïdé* par M uns-comme un meïfè
& par' fes'1 autres1 Isèimrîe-Tin loriot", fa Vraie placé fem'blé^mârgüée
"entre les- loriots" & les merles ; & îelfeme d’ailleurs'" il‘fçâroît-
aütremfentî^r^p'oitioSiné'^SPî®^ ou F à ï ^ oe ^ s dÀiFÉf§éè&,
- je ‘fuis porté à^ÎH regarder plutôt®ÉijSna&"5imè efp'fétg^iîfàié '&
mitoyenne cpfèScoWnetfîtne funplë -$u$eïll^! \;
L e ^ f a y é cfT rnSms^gres*1 gu ufdmterle & imâ^^luî-'cies
proportions plus légères;*il a jê bëej,1 la quelle"“& Tes pic'd? jJlife;
"courts^ 'maiMes '"doigtsJ plus lorïgs ; là tête-eft "brûhë“ finânfent
rayéè de 'Marie; les pennes des ailes font brunes auffi, & bordées
"de blanc ; *fbué fe'fcdips =ëft' d’un bel orângé, plus'-foricl^fùï la
partie K î j^ rM r e ^ ^ fü r - l ’infénieure : le 'Mc & Ie#d#glhs"'l(§it '
à peu-ptès^de la même côtflétir., ^ '(ïés"lp{eds’sËp^|iunês.
( a ) C’eft le loriot à tête rayée de M. Briffon, lorne IlT p a g T jj^ r & .k memla
hicolor d’Aldrovande, tom 11, page 6 2 3 & 6 2 / , je ne JUts pourquoi ce dernier
Auteur li i appliq le; tinte le hicolor, vu que, félon fa defcription même, il entre
tr ÎS ou quatre couleurs dans le plumage de cet oilèau, du brun, du blanc & de
l’orangé de deux nuances. -
JF i N dit Arôïfième -Volume