tjuîfqu’Ariftote dit qu’ils pjgdjgifeht dix- (%-,'onze fois l’année, &
que ceux d’Égypte prbduifent jufqu’à douze fois fcj; l’ompourroit
GT.qijk; néanmoins qu§ les grands colombiers ^^lesr.pïgj^pl ne
produifept^uf'deuï pu «trois fc^rparianiïi’étgiient pas foK-.en ufags
du temps de«cef^^fophgèî{ji cômppie/iè ,géRte%çç>fyrniaëéi dg
quatre efpkces^4/ybfë\{iic,à4^ ramier ■(palumkfs)i^ tourterelle
( turtux))Àe ( vinago) , & i^pigeçm^ço/uiw^ur^f; -&
dq»cepdernier,dpntîij*d{tVque-ie produit eft d_pjd}3&pontes par an;
or ce produit fi fréquent ne fe trouve que dans quelques races de
nos pigeoîis de volière ; A-riftp'® n’en diftinguepas;lgs;differeneésy
& ne fait-aUcune: mention d&s variétés xfeiys pigeons;dquieflâqu^
pe,ut^ IffekCesnS'ariétés, n’exifioient- qu’en petit « nombre ; pipais il
paraît ^ p 3 î |i s ’étoient bien multiplies. du .temps. îde,i Pline;
qui paffe dés grands pigfcons dè CampanieL.&jdes«^Ufl£UX^eo -ce
^ g r a ^ q u i a cne toiënïVun,pnjr^e31ïun^Wk^i#aux^ig|^i'
dont ils racontoient l'origine &Ja ntibleife, & qifeâf-âèypjent dans
des tours placées au-deflùs du toit tdedétosadâirpns ^ ia u t^ q u â
nous ont dit ies Anciens au fiijet des-moeurs & des fiafiitudestdes
pigeons doit donc fe rapporter aux^pigeons de volière plutôt ç|M ;
GeiiXide nos colombiers, qu’on doit regarder «comme,
• / ç j Ariftote, Hiflorïa Animahim, IiB. v^ïH- eâp._'iv. V/.r
| l Ilk-. 1
(b ) Çohmibaruin amore infaniùty muft i; fup er teéla exoedijicant turres §§£ "
fmgularum & origines; nami0;vetpfes.t Ja p i exemplot >L. "Axius Eques romanus ante beiltnn
- civile, pompeïamm denarïls quadringentis jingula^paiia venditavïî, ut M. Varro tradiî ; qiivfê$
i f patriam nobilitavere, in Caippaniâ grandiffhnoe ppovenire exijlimatoe. Pline, Hijfc 1,a^
.bb. X j^ k ^ x x xY ii. , ,
• Nota. Les quatre cents deniers foixante-dix livres de noüe indipoie; .
îâ manie pour les «beaux pigeons-eft-donc encoie plus grande aujourd'hui que_du ‘
temps de Pline, car nos curieux;des payent beaucoup plus cbei.