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comparer au pigeon , & tjüe M. Briffon & e n ^ i^ n e te " ]
: deffinateur, Font appelé faifan ; le dernier volume des Ôifeaux
ï de M. Edwards n’avoit pas -encore paru, mais voici - cè'iSu’en
dit cet habile Omithologifte : « II eft de la famille des pigeohsy
» quoiqu’auffi gros quun .dindon de médiocre grandeur.......... 1,
»M . Loten a rapporté'des Indes pïufieurs de ces,©ifeau*
sHvivans. . . . . . . . . JI eft natif de-Iale de Banda. . .
» M . Loten m’a affuré.'tpfe é’eft prdpftiEtent .uii,pigeQn, &
» qu’il en’a tons les geftes & toüs les.-tonstou roucoulemehs'.ert
»icareflànf là femelle : j’avoue que je n’aurôis jamais fongô^M
? trouver un pigeon dans un oifeau de cette- grofleur fansame
telle information ( lJ'. t». ,.i
II; eft arrivé à Paris tout nouvellement, à M. le -Frince de
Souiilë, cinq de ces oifeaux vivans; iisdfofttltous' cinq fi mjC ,
femhlanslesujisaag autrcs-parda groffeur ^'îrTxiulejar q u o n 5
fiff^nFlfflfeguef' les-mies'& de& femeEès.; d’aileurs/ilsfe-ns
pondent pas, & M. M a u d u it,très- habile Naturalifte, nous a
; affiné en avoir vu pïufieurs en H o lW ^ oùlliile' pondent p l i -
plus qu’en France. Je me fouviens' d’avbîr Ifi dans quèlques
Voyages, qu’aux grandes Indes on: élevé & nourrit ces-r&jf e
dans des balîê-cours, à peu-près comme les p ô iÿ è ^ |^