â fa manière (:g), Æ ont encore -une efpèce A fifïïemeftt,, fiir-tbut
lorlqu’il doit .pleuvoir { Ju }, fi toutefois SfedififemiSBt élLautre
choie .(pie le miaulement dont je viens de parler,
g O s pifeaux ont l ’iris des yeux rougGj, le fiée rouge-firun, lé
dedans du fiée rougeâtre., les fiords du -fiée inférieur un p a t
-arqués fur leur longueur, la langue fourchue & comme' frangée
par ïe ,fie s^ s ,ïe :g é ie r tauïèuieux, précédé d’une poche formée
par la dilatation de l’oefophage, la v^ficule du fiel verte, des
£tecum très-petits & très- courts , enfin la première-phalange du
doigt extérieur foudée à celle du doigt du milieu.
. Lorfqu’ils arrivent au. printenips..ïïs fiffif fa- guo re aux infeétes
& vivent de fearafiées, de chenilles, de vermiflèaux, en'un mot,
de ce qu’ils peuvent attraper; mais leur nourriture de choix, celle
dont ils font le plus avides, ce font les cerifès, les figues ( ijy
les fcaks de fbrbier, les pois, &c. Il ne feüt que deux de ces
oifcaùx pour <léVttfteg~fa>. un ipùrvtin cerifier Lien garni, parce
qu’ils ne font que becqueter les cénlès TCs unes aprè» les autres,
& n’entament que là partie la plus muré,
Les loriots ne font point, faciles à élever ni à âppriyëifeiv.
On les prend à la pipée, à l’afireuvoir & avebdÈfferentes'--fortes
de filets.
( s ) Gefner dit quils prononcent oriot ou -loriot; B d o n , qu’ils fem’Ment dire, :
çompère loriot '; d ’a u tre s , o ^ ^ ^ u ^ d i t e n d r e ^ l o i i f o L &c. Voyez l’Hifioirè
Naturelle 'des Ôijeaux de M. Salerne, page i8 é .
(h ) Aliquando inflar fifiife omit pmfertïm imminente jpkviâ. Gefner, D e Avibus,
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( i) Céft de-là quon leur a donné en certains pays les noms de B e c f r g u e s .
<FMtQ.dy>s t &c, & c’eft peut-être cette., nourriture q u i r e n d le u rI chair M à I
manger. Jait que les figues produiiènt le même effet fur l a c h a i r des merles &
d a u tr e s o iffeâ u x . I