avec elles, <&als.ne ceffent de .crier en volant; mais ils n’oîtflrvenïB
pas les mêmes temps 4 ^ t , ^ | e & en Allemagne, car »ik,quittent
l’AHemagne en -automne ‘a^Videuis petits-,. & n’y repàroilfenf
qu-ap printemps, après avoir' paffé l’hiver chez nous;|S& Friftsh
a railon d’alïiirer qu’ils ne couvent -point’ pendant leur abfence ,•
& .qu’à leur retour- f e n e ramènent point de petits-avec-eux-,-
car les choucas ont cela de commun avec tous les autres- oifeaux,
qu’ils rie font point leur, ponte en hiver.
A l’égard des parties internes, je remarquerai feufemeritqu’ils,
ont le ventricule mufculeux, & presid^pm-ririfice lupirieur une
dilatation de l’oefophagequi leur tient lieu -de ijâfîpitgcqniiçe dans
les corneilles, mais que la-véficufe du fiel eft
Du ïefte^on les|>ïîvc facilement, onjleur apprend à parler ;ftns'~-
peine : ils fenihlent fe plaire dans l’état dcï'domeffipjté'^mais cet.
font dt^ demeftiques. infidèles qui (aehant la nourriture,fifjferffuè
qu’ils ne ] »cuvent conlommer, & emportant des .pièces dq-WoniiMi;è-
& des bijoux qui ne leurTlqSt d’aucun ulag^saH^S^ft®1^ I®
e maître fans s’enrichir eux-mêmes.
Pour achever l’hiltoue dis choucas, A-ne s agit <plu? qtfô^leC
comparer enfemble les deux races du pays, &^ajffiïèr.-àda fuites
lelon Battis triage,' les variétés & les efpgeç^éjpi^prês.
- Le Choucas. Nous n’avons en France que deux choucas,
l’un à qui je confcrve le nom de choucas pn pietfitnt** riifrffipjflB
êft 2e là groffeur d’un pigeon-, 3 a 1 ni^MâncMfre, “ quelques
traits blancs fous là gôtge',“ quelques points de rrieme ^ilpuf^.
, autour des na^fies, du cèodhl fur la partiel'p5ftérîeufé-tfe'la-tcte
& du "côu; fout fe refte eft noir, nMÎs^^^çoiitèï^ïft“plüs
fe Choucas de M. JJntîbn, - t e fera- fixième Corbeau , tàtiic I I ,
G hi-Lcrnt' 'c ' îb'S’jt: mm
: foncée'&r les patries füpérieürgsf iaVèc des téffets 'tantôt viofefô-
& .ta p it t '
Lé^C'^MioM&mtmi efpèce du'1 pays â laquelle je ïdônne fe
j, ïclifit’-de chotMk d'après -fon'nom' Anglais* >(g ) •, ■ me diffère du
précédënt q u e l ce qu’il efl unipêu-piüsSperify & -peüriêtre rndins
commun -, ^qWfl' a; Fuis Mëpâtre^tfomme le freux, 'éiulëuti'
dominante i t ’fon | il umage eft lt'tn'ÿi1,1 mélange île'
cendre. & qilfen lui nui.irquc’dês'pMjntv-lutlnt-si aiitoûf élis viïixï1
Du-ucflc 'font les mêmes moeurs, les inêm'és>habitudes,
Mtèfiie'-pôrt ,;-même 'conformation'^ nfême5 cri y ihêniés1’p ^ s ’p,
m’êÉne Jfeefe ; & l’ori n^fofeuï^guàï® \fehfep--que tes* deUx^teces
n’^paTtiennenli-à^-Ja-rmêmÆ_eipê’re1'| & p -filfient ^eg_état_
- de fe mêler1 a rco^ebèrot de produire -énfenjÈopmes individus
0 h fcra,pcii fui plis qu’une tlperc*qiri a tint d^apporisjay’qc*
ieélleddesi corbeaux & des ( corneilles ^^pÿéfeitte lâwèp. *|»rès les
même^ybiéfés ‘Aldrovandi a vu lin Italie un c Hcme v’iîpii t\ orf
. un^È^ièxn blanc ChJ ^ ra c ft appuenimint' teliiL qui ib *irdu ver-i
•dans quîlcraes cndioits tic h'Suiffc ri) & tjùc ] u ccttc lüifen
- l à AhglojsTriômïncnt choucas /deriSüilïè'^«i^Sl’m
). - SmwenGKel'Fri'feu1 oecafion défe^'oir' SBychoucasc T1 -inc qui
myofeîèibec1 jaunâtre n |||C e s choucas blancs font plus communs
hlths le1» {$ƒ§,_ frip^Y^IV^tièTOléfois même
PjBW^aLftUn^f ( c- ii/t i. u de Vq-'B, a | to II , 2 8 ,
( i > ÿ
( h) Chai letc n .E x e -a/, page 7 5 .
(I ) Avïù -t,"’ " ï j ï - L'é î é i» .’V C 1
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