L A e Q R m i L L E M A ^ T E L É E H ' <\
X Z lET Qifeau i f ni. 7 $ ) fè,ç|jltjngue gifénjent de j[a «sqrbine &
^e 'ijIa |fi^yQn^toii ,du freux par *Je$>.cpjiIçpi? 4? ÂP pîttîP^gft.» jl
a la tête, .la queue & le^ ^ e s 'ffipp beau nqir $yrfeç,_4es reflet?
frleuâttes, .& ce^oir (tçançhe (av e c^ i^ ^feèoe,de ‘,’fçap,^r.e .gri^-
blanc oui s’étend par-.dpypt & p t^dçjjiçre-, .jjepui? les ^ep^jutles
jufqu’à l’extrémité du corps ; c’eft à caufe de cejte .gfpèçe de
fcagulàiré ou de jfflant^Uj -que f a Italiens lui ont donné-ie nom
de lMfiMCcMa .( .tnoineffe ) , les; 'F^nçpB cclyi de iÇçrqeille
mantelée.
ËJIe va par frçiup^ nond>çeufes çpmme le freux, & â le eft
peut-être encore glus familière avec fhornme, s’approchant par
préférence, fur-tout pendant Phiver y des hçux habités, & -vivant
j^ors de ce qu’elle trouve ^anj f a égôuts,.;le$ frmyers, f e .
File a encfùp cala .de .cquainun avecJe f r e u x ,,quelle çfrange d f
demeure deux fois par an, & quelle peut êtie regarde©* comme
un oMeau. de paflùge ; car nous la voyons chacj « M r a H S « ^
par très-grandes trqupes fiir la frn de fautomne, & repartir au
commencement dg printemps, dirigfanj fa'joute àu nord; mais
nous ne lavons pas prépiipjnent ép qtjels §?ûx elle s’arrête: la
■ K j ^ ü e f t h. Corneille mantelée dçJVL Briffon, 'tome W ^^agevjy
queffion de cettepëlpè^ chez les A n H ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^m lôitïXatins... ILes. Modernes,
.fontnommée eh G r e c Ko&n aaoStetSîiç; en L a t i n cinëj-ea,r varia,, Hy berna,
fylveflris, Corvus femi-cineréus; en Italien, Mulacchia ovl Munacchia, ou plutôt Monâcchia;
$ai Allemand, Hol^Jrae, ScMltkrae, Mdbelkrae, Bundtekrae, Pundtekrae,, Wijitèrhrae,
^yijfkrae, Grauekrae; en Suédois, Kraoka; en Polonois, Vrpna; en Anglois, Rôyfton-
Crow, Sea- Crm , Hooded-Ûrow ; en François en. différens temps & en différentes
provinces, Gôrneïlle mantelée, emmantelée, fauvage, cendrée,di.c.
plupart- Sfe^^M^rs^dtfênt ; qu ëfîâsnaS&réfé 'flir, fa-hautes mon?
(1>J |& qtidle f lait 1( nftiid lui k s pnis & l^ulapin,, il
fàiit‘d©rî'c|t|üe ce'fQit^ifSjçfa tnoritàgneslinïia'lSiJées & peuconnues,
commet celles "dés fiOestMl®V S h e t f p i UjÈ> 1’(fcàffure:effectivement
^u’e le faft & A l f rM ji f t
les Lois, &\pajî)fr>u'{c urrcc Jur f a aulndf, & là pcmtefcrt-cacfaj
naiieinuit de'|0dfh. ccuâBKnlisIffelR^i'^iiio^Spuinï: Jlitrii - lest j
m'ênàgnés1 de1S tri fili-P ^fejjKflàTfelio. iSfât
^Æ iîfin jVjuonju'e k Ion tic ]ilusugidncl^ii«n.rl)ie* ths.'Natuiahftc.s,
elle \n c*'île* tdufâ'loi te 'de, nouiMtiiiLS -fenti autre s-dbja’ù's'} iln p *
■ feflça .^de "Boiflons {•&)\ métnei&le}. rhalF par
prèférëïïce âr
dupïptici-mile au ranw {lesatninlnwits,^etjiLiuL^BjTomme ceux
.quij-di^&ifiei&iîftlîn ‘ eltomac ÿ-drit tiou\é dpiït^k^^qrtu'|g^^
■ giains, ( mêlés- tajjeçjjsdei petites' *]oi,ërres peut
elfc plust«graiiivoreVquautre-cchdr&, & «fr’eft um|r0]dl|è|iiie>trait de
; ^ Voyez AIck-oŸaiiide, 0 //wV//o7o^^ tome I, page 7 5 6 .—SchwencHeld, Aviarïwn
page ^42. — Beion, 0 //eczc,v, page 2 8 4 , &c.
Voyez 5 /vr/V^ Zoo/o^y, page 7 ^ . Les Auteurs de cet Ouvrage ajoutent que ï
■ ' c’eft ia feule elpèee de corneille qui fettrouvè' dans ces 'île’s.s
^fiAJ^'Faflkây'Stieacapage 2 5 . ,
(e) Gefner, de Avibus, page 3 3 2 .
'■ Frrf^h'^wMMelhîuchd fort adroitement les arêtes des poiflons, que Iorfqu’on
vide les .éta-iags, elle aperçoit très-vite ceux qui reftent dans-la bpue, & quelle ia'e
- - per d fag; d©: téMps à ' les Avec ce goût, il eft tout fimpie quelle
foüvent au bord des eaux, mais on nauroit pas dû pour cela lui doimefc
fe nom de corneille aquatique ou ’de" coriieîiie marine;, :p'ûâf||té| ees iênomimtiopi
conviendroient au même titre à*ia'•A:orneiÏÏ^^q^e^^'
'cér^p^^Épl^l^des oifeaux lO T l p g 'r a l
v-pàge :4,d-s ..