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«ar-dès pfont» «es «Hewx h taifent,, & .onn^^W^rttwnJ
^s-Sr^-WetafiPî m Jm & i fls'ife moumlTenit rte fniitsfaiiyngr'.:}
4e fraifes doot-ife font t«ès-™<J^, a «æ
de fèves & i e grains de. toute Æfoèee; ils. font un,grand dégât
dans fes Ués lodqutJs font vedes.; .& quand cgs jafaiens leur
manquent « ils mangent de I herhe :• 3s fessent à ia manière des
pigeons, ceft-à-dire > de foite1- & fins relever Sa itêfe «pîapnès
W$é. fs>ufo n i 3âat fefefe^*<yi(miwt» feur chair,
«& for-totit «elfe des fondes, Mexcdfaijtei manger, on redteEdhe
foigneufement fouis mds ,, $ on en; détroit aiqtfi urne grande
jiaiîteajt peûtproduit, cpif ,nVft«y»»
de deux ou trois eenfs à chaque ponte , fan que IkSpèoe n’eft
ppmkimfe nylle part ; os en ptend à h vérité Jjeaaoeup avec
des foets dans les lieux de leu r paflàge, fur-tout dans nos ps>
vinfies miûfles _des.Eypénéest jnaje- ea «’«ft ^jiK7 da»«.jine faifon
& pendant peu de fours,
H paroît que quelque le .ramier, préfère les rfimats chauds <&
fempérés q^utfoisdbns les paysfeptourfonaux,
puifip? M. Lfonæus le met dans h Me des oifeaux quj.fe
trouvent ed'SüSde f g j ; & il-paraît auffi -quais ont pafle dW"
continent à l’autre ( h ) , car H nous eft arrivé des provinces
f â i } * * *o&B» des (feu* fles d e k Maddeine fervent.,çfe rë^tejà.'iaétrtonsliïe ,
iniiiu de pigeoi s-ramiers naturels au pays, & qui ne diffèrent de ceux d’En n«.“ •
' qu’ifs font d’une déiicateâè & dun goût plus exquis. VqggÈ ,11 •ij'n j.S jc .r ^
Jbd» Adûnfon, p a g e ^ i ^ ^ ^
%^Sb(ë) Linn. Faun. Suée, n.° i j y
(h ) A ia Guadeloupe, les graines de bois dinde qui éloient mûres, aboient attiré
une infinité de ramiers ; car ces oifeaux aiment paffionnément ces gnfees; ils s en
engraiflènt à merveilles, & leur chair en contrarie une odeur de géroffe & de
mufeade tout-à-fait agréable.. . . . Quand ces" oifeaux font gras, ils font extrêmement ~