H J,S, F O I R E S %Wk-R 'E L K E
plus;, combien, de pl3ifi1s.de pfes.:fupp.ofe c,e0eïdifference,, fur-tout
dans uné:efpèce qui femble les goûter dans toutes leurs nuances,
& en jouir plus pleinement qu’aucune autre 5 ils pondent à «Seul
jours dç drûance, prefque: toujours. deux oeufs, rarement trois-;-
& nelèyent pielque jamais que; deux, petits,; dont.ordinairement
ïun fe. trouve mâle & fiautBe?fewlfe,;iI y. en . a mêmeqluiqurs;,
& ce font les plus jeunes qui ne,pondent: qu’une fois; car le
produit du printemps efijtoùjfifirsqdus, nombreux, c’eft-à^dire * la
quantité de pigeonneaux daqsiîe même colombier plus abondante
qu’ea automne, du > moins; dans. ces. dimatsi Les meilleurs colom^-
tiers où les pigeons, fe plàifent-.& multiplient le plus, ne font’.pas
ceux qui font trop voifihs:de: nos fiabitations ; placez-les; à .quatre
ou cinq cents pas de diflance de Ia.ferm.ei, fur la partie feiplus
éfeyéerdgTipttB; ®Brenr, & me craignez pas;q]ië^t«élaigneBaent;
nuife àlÊùFmîïH^icatton;. ils aiinentles lieux paifibles., la belle
vuêyfexpofitiQni au levant, b fituation élevée où ils puiflènt jouir -i
des premiers. rayons du Soleil: jîai fouvent vu Ies. pigeons.de
plufieurs. colombiers, fitués dans le, bas d’un vallon,, en- ferrie avant.
fe leur® du foleil pour gagner; un eolombier fitué aurdeffus de: la
colline, & Sy- rendre en.fi grand nombre que léjtoh efeitjfengei
rement couvert, det ces pigeons étrangers, auxquelsdes. domicilies j
«ggienj, obligés de fairc.j>lat-0 ^, ^quelquefois mèm^fercgs^g la :
c ^ e r c£eft ffe-tom;.afepriw^nlHl- & en automne inÆ^fimlilentÇ
rechercher les premières.influences dû foleil, la pureté.dè.'lfeSpi^
les lieux élevés. Jctpûj^ ajouter-à cotte, reinn qui unc-autiç dÈfoi- i
vation, c’eft que le peuplement dtT.cçsi,“colombiers ifolés,
<St,fitués haut, efl; plus-facile, & fe'prodpjüaien plus nombreux/-
que dans les aimes mltnnbicr-,<j iai \tï tffbi‘^Oat^ÇeJU^pairts
de. p igeonn^^oeun de mes colombiers, qui par.ffa.fituation & '
êù ' ïmà P g E l ©: <M:
la. hauteur de-1k bâtifle., • était-éfeyé djenviron deux cents* pieds
ai&effiis de|;a\itresfcolombiers, ,tapdi«que ceux-ci neqproduifoÊSflj^
que le quàrt.ou le-tiès^ûî- au ceftfi-dire., *cent ou Ce«S;
trente paires; il ÆujtJeuIement avoir«:foiji veüfer à foifean-de
ptoffiqqujifréqucnteMë. prefefânce e0 j colombier*; ©fe^és & ifolés,
<& ;q®|,ne feiffe, pas* d’inqù^er les^pigfibns- fensi néanmoins pn
détraKertbeaucoup, car'.ü ne peut faifir qàe;eè$ii',fui fe fépareâf
de lautèamê»;
'Mp^ferès de": ;pigecéijd^osi;^qîbmbierÿ>qui1 n’e|f qp»à demi domef
riquéjjife 'prâeptgntdfes pi^eons*^ t®^t©;^talp-fontentieremeïit,
f a dsàtaàsius avpns;fi feït-’feyoEifé ^propagation' des variétés,
les; mélanges -&Ja-multiplication desîraèes,< quelles demanderaient
u»;V®fen^|#é®itur©i ék| u»,.autre de planches, fi-
des- cléqsuaa;& 1er repréfenter- toutes-, mats, cSmtne jetai déjà fait
f e n t i r . , p l u t ô t , utt.qbjepfdgÆriofitê Th cfatt ga’un Ikjet
J |! l iflorredkaturelle ;, & nous nous bornerons’, Xiridiquer les prin-
cipales;.brancb6s vde' cfitteifa^é-imniêttffî auxquelles on pourra
;%poitér4Îs rameaux & l e ^ p e t |^ ® s rvariétésifecéiîdairës;,.; ‘
p l i p d Curieux 'eif ce|^nr-eutfennb|^Se noni à (fous les
pïg|$iK qyi yont .prendre.leur g je» à met
^nly'granlls'tcoIliMer-. d&ix j(fe’il<;appelli nt jugeons 4™?fil
Jir/j&JnSÏL'tiennent qpe dan de petit ''coforidui L»ou to liu i^
& n à |S te^andent'* p a ïK k campagne ; fl, y ^enfe, cfe>plus grands
Ædeplus petits, par exemple, les pigeons culbutans & îes prgoeps
toS É s l (iui^l®|îtis plus petits du4oùs Ils pigeons (F \o f iù \',
Me, -que fe fpigeOn 'de ‘cofônjÊièr ■.:>* ils forît aufli plus
légers de^èfl & plus^SégagéS^ -de coips, &1‘quand ilsffemelent
âv^Vle^.qiig^^idk^tpiÔiijbjèù, ils perdent Ibabitude.'de' toiirirer
, & 'dè‘^.butei ; cd#feifol’état,‘de. captivité* forcée