H jp;‘# t o i r e N a ,T'lmk e ï 'l e , irc .f;
LE PETIT TROUPIALEkNOIR.
J ’ a i vu un auti'e ■ frowpjal&fnoir,iyenant.-d’Améî'ftjiie, maïs
.beaucoup ' plus; p e t it ;. plus petit même»;que le mauvis; il ivavoit
que fix à fept longueur, & fa queûè qui%©it>-qCfarrée,
» avoit jju e ^gvixspQucqi.fix lignes : elle débordoit les ailes d.un
poucg.
L e plumage ctoit toutmgirTans exception, mais re ’hoinaétoit
'■ ^usrfeftté’^ se n d o it dçs reflets,bleuâtres fur la tètt-^&ïlf s-parties
environnantes. On dit que cet^qifeauy s apprivoife aifémènt, &
.fflyl-saccputume â vivre'familièrement dans la maifon.
L ’oilèau le^êfentg,,Ziplanche 6o$6, fig. i , ell •uaifimblq-
Llemcnt la fimelle de ce pi tit troupialc, c a ràK tft jjn.t(fl|t^ de
.^couleur iwafe o ti noirâtre la i l f | ï& le
d’une teinte pK^-^kin^j^ji fi l'on veut 1 l u s l a
a lieu : clam ' remalisTaorl^tÊir^On -retrouve fenewma
dans le p l i a g e d q ^ ÿ g p ^ I s ^ g jïe t s J (|< us
dans le plumage .du tmâle -y mare au lieu l^ ^ y f ur le s | ‘>tûmi"s»dei
la tête', coihme dans le .m â le , ilsv-fe" Souvent fut edlîeidtfé^^
queue & des ailes.y.
- Aucun Naturalise ; que jeîlàclie, n a fait mention djàjc'ip^
eljpèce. .
wf«
/,-~'îV
J& S 2 8&
C l É l t l x
24 3
I
LETROUR1ALE A CALOTTE NOIRE. 8
W ^m -Jm iic ^ ^ âhche ri&âïf xftfé paroît être- abfolument de la
/■ Sùême elpèce#^ue!jpp,trriu.piale brun de la nguvellej E'ip^gne de
*JVCa®rifÎQE^^p,-.‘Pour^e fermer qne niée juÿe de fort, plumage,,
qu’on fe repréfente un®ifiau| cfy,n beau>» jaune>avectj une calotte t
& 4un mantea'âJIn'Q&.ÿ. La queue euoipjlemême -çeùleur fans
^ucune»tàçhe^nmaisî$^ftcijjr 'de?; aggSffaft un pceiw'égay^ du
fjyarp^U^rde.le^couv^turesi^quitapparoît à -l’extrémité des
,jfennèsi1*3 ■
. Cet oifeifâarlé hec grisi'^m^epMne teinte orangée & les-
jWeds marrorts.^ Il fe trouve au Mexique & dans l’île defCayennel