attribut.non de ï’étourneau, mais dkla pie * & par lequel . I
die diffère le plus à l'extérieur du choucas; & autres; I
caradères, par lefquds l’Iwcifana^s’éloigne du,.fonças ,.ils font
autant ou plus étrangers à, letourneau- quà la pie^ > r
D ’ailleurs, ’cet oifeau cherche les lieux habites, eft familier-
comme. la-pie, jafe de même & a la yoix^peççante : fa chair eft ,
noire & de fort bon ,goûtv . .
— T :—
L A V A R D I O L
' S e B A lui a donné le nom à^oifeçtu ide Paradis.,^ comme .ij
ÿ donne -à pn I<[uc tous, les «Lu«. étrangers à longue J
& à ce litre la vardide le méritoit bien, puifque À
plus de deux fois auffi Ipngioe^que'toUtfeefte^d^t®i^6G^
IflgfiH’é'tfepoe* J a j u hi t c du-lsEf jufqua* Ickti unité
mais il faut av oüt.i^îùe^nr_rp.-H‘u< n tft po^g^^feiminei-dans ^
' foifeau de Paradis, fes plus^grandâ^peiinà etantvgauiies duj,
barbes dans toute leur longueur, fans parler de 'pMeurs autres
; v ' u-sv. -' .... ^ • • “
, ü e blanc eft la. couleur dominante 4e- eetroifeau>: il.-ne faut-
excepter* que la tête & foAfett»«<jpi;'fenÇ'WMra'
de pourpre très-vifs ,jes.piedf3qui font; d’u n i.r^&didr^lesfpi^'
dont les grandes pennes ont des; barbes noires-,. & Ies; deux
pennes du milieu <k la cpcuejqui ixcèdtut:;dc;bfeaupou]i>tputc$,
les autres-} do qui ont- du - nom- p fe ^ d e d a ^ c ^ ^ d c p a is-- Lui
baie jüfqu’à la moitié de leur longueur.^ ' ' ^ '
Les yeux de ïaJ^diole;.fprÿ«yiftJ & entQurés,4f^.fe^c-b fe-
“ / ƒ ( ni ' 1 t ’ l'ijlePapo de M Brifl >n ' > U, j * ’-,. ° n Appelle
&' yarthoë;'£<w-fu{fi$ŸâfJïo?<!. ’