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sine du .'¥. ferrugineus de Mac Leay; niais dans
celui-ci les élytres sont bordées de jaune orangé,
tandis que dans le Variegatus elles sont grisâtres
près de la suture et noires à l’extrémité.
Nouvelle-Hollande.
G enr e MEGAMERÜS, Mac Leay.
H m’a été indiqué comme le genre Megamerus
de Mac Leay; mais j ’ignore s’il a été publié dans
quelques ouvrages. Dans ce cas, il serait bien
possible que notre insecte eût été connu de cet
entomologiste. Il est du reste fo rt remarquable
en ce q u ’il semble tenir to u t à la fois des Prionus
e t des Chrysomélines. Par son f a d e s il ressemble
beaucoup à u n L o n g ico rn e , e t il est probable
que malgré ses caractères de Chrysoméline, il vit
à la manière des Priones. Les cuisses postérieures
sont renflées comme dans les Sagra.
M. PRIONESTHIS, Boisduval.
Fuscus, mandibulis exsertis, antennis longioribus;
thorace le d convexo, postice subcoarctato ;
elytris lalioribus, castaneis, punctato-rugulosis.
B ru n , avec les mandibules saillantes et les
antennes longues; corselet lisse, convexe, un peu
rétréc i en arrière ; élytres assez larges, d’u n b ru n
clair, irrégulièrement chagrinées.
Long. 11 lignes. Larg. A 4 lignes.
Ce bel insecte est d’un b ru n m a rro n , plus clair
sur les élytres comme chez le Prionus coriarius et
la plupa rt des autres Prioniens. La tète est petite ,
rugueuse, avec les yeux saillants, arrondis, n u lle ment
échancrés; le.s antennes sont longues, uu
peu plus courtes que le corps, composées de
onze articles, dont le second est beaucoup plus
court que les au tre s, qui sont à peu près égaux;
les mandibules sont saillantes, pointues e t tran chantes;
les palpes sont grands, d’un b ru n marron
; le labre est recouvert d’un duvet fauve
abondant. Le corselet est lisse, convexe, nn peu
rétréci en arrière, presque cylindrique, un peu
plus large que la tè te , mais plus de moitié plus
étroit que les élytres. L’écusson est assez prononcé
et velu. Les élytres sont presque carrées
antérieurement, avec l’angle huméral saillant, un
peu arrondi ; elles sont ai’roudies à 1 extrémité
et un peu .sinuées sur les côtés; leur surface est
luisante, couverte de points et de petites rides qui
se confondent. Le dessous du corps et les paUes
sont b ru n s , recouverts d’un p etit duvet grisâtre
soyeux. Les cuisses postérieures sont tres-ren-
flées, et p résentent au milieu de leur côté interne
une dent peu saillante. Le.s tarses sont spongieux
e t garnis de poils fauves.
Décrit sur un individu unique qui nous paraît
être une femelle et qui a été pris dans le nord de
la Nouvelle-Hollande.